FAUT-IL REMETTRE
L'AURÉOLE GRATUITEMENT, PUISQU'ELLE EXISTE,
OU FAUT-IL DÉTOURNER LES DONS DES PÈLERINS À L'ÉGLISE
VERS LES CAISSES DE LA FRANC-MAÇONNERIE, EN LEUR APPORTANT PLUSIEURS MILLIONS
D'EUROS DE TRAVAUX ?
Très
vite, l'inscription des célèbres paroles de la Vierge « Je suis l'Immaculée Conception » est ajoutée.
En 1956, le chanoine Salvat fit inscrire
au bas de la statue l'inscription en langue bigourdane. Il faut dire que la
Vierge s'est adressée en ces termes à Bernadette, et non en français. Dans le
même temps, en 1958, les grilles de la grotte sont supprimées et l'autel en
argent, remplacé par un autel en marbre plus sobre.
L'inscription en français a été enlevée par Mgr Théas Évêque de Tarbes et Lourdes entre le 17 février
1947 et le 12 février 1970.
Ses propres propos : « Adapter
Lourdes aux temps nouveaux ».
En janvier 1996, pour la première fois, la statue est descendue pour
restauration. De nos jours, l'inscription en français est enlevée. Seule
subsiste l'inscription bigourdane, que de
nombreux pèlerins prennent pour de l'espagnol.
Facile
à remettre en place avec l'échelle des pompiers, plutôt que de les faire racler
le sol et débarrasser les détritus. Il
faut savoir ce que l'on veut !
Par
deux fois le Gave est sorti de son lit, la deuxième fois plus encore. Si rien
n'est fait pour remettre l'Auréole de Notre-Dame, il se pourrait bien que la
troisième crue emporte le pont déjà fragilisé. Que ceux qui ont autorité pour
faire réaliser cette pose au-dessus de la Vierge en soient conscients et
informés.
Que
la charité ne soit pas détournée vers les ennemis de la Sainte Église.
Pèlerins indignés.