17 Décembre 2000 - 23 H 43 (GMT+1)           Bonnelles (Essonne)

Mon Doux Jésus +

Vierge Très Pure, Mère de la Miséricorde +++

 

Je suis la Mère de Dieu, Celle qui depuis 2.000 années a mis au monde l'Enfant-Jésus, Mon Fils Bien-Aimé, Celui que J'ai porté en Mon Cœur d'abord, et dans Mon Sein jusqu'au Calvaire. Je L'ai porté Mon Divin Fils, sans jamais douter de ce que Dieu voulait. Sachant que Je serai la Mère de Dieu, Je priais sans cesse le Seigneur Dieu pour Lui rendre Gloire, et Il M'a donné ce Fils, ce Jésus que l'on a Crucifié sur le Mont du Golgotha, arrachant Sa Chair et Son Sang pour le bien de l'Humanité tout entière. Je L'ai porté jusque-là ; un glaive Me transperçait le Cœur, ce Cœur si aimant qui donna à Dieu toute complaisance dans l'accomplissement de Son Dessein.  Amen !

 

Oui Mon fils, Je suis comblée lorsque vous M'apportez par vos prières vos souffrances et vos joies, votre réconfort. Je vous aime tant. Alors Je suis Bienheureuse, doublement Bienheureuse, lorsque vous faites ainsi preuve de bravoure et d'obéissance à Sa Sainte Volonté. Je vous remercie beaucoup, en ce temps de Noël, de prier encore et encore afin que vous ne soyez qu'un avec Mon Cœur dans le Cœur de Dieu.  Amen !

 

Ma Divinité qui a triomphé de la Mort est assujettie à vos blasphèmes, à vos mensonges et à vos ego. Je voulais en cette fin d'Année Jubilaire entendre Ma Tendresse, Ma Divine Tendresse, mais ce ne fut que mensonge et hypocrisie. Pourquoi toujours vouloir être, toujours vouloir supplanter Ma Royauté ? Lorsque Je viens visiter Mes enfants, c'est d'abord pour leur apporter Mon Pardon, Ma Vérité et Mon Amour. Je ne suis pas Celui qui oblige Mes enfants à tomber sans raison. Rappelez-vous, Je suis le Dieu Vivant, Celui du Partage et de la Tendresse, celle qui ondoie Mes enfants avec Majesté ; elle n'est pas celle qui avilit ceux qui la reçoivent, mais celle qui réconforte et fortifie Mon Amour en leurs cœurs.  Amen !

 

Quand comprendrez-vous que Je suis le Tout et que rien ne M'échappe des faux semblants et des faussetés accomplies sous Mon Regard ? Je sais qui est vrai et qui est faux. Le vrai, celui qui M'aime avec son cœur repenti avec ses tripes qui vibrent pour Moi. Celui-ci est Mon fils bien-aimé, celui que le Père gardera dans Son Cœur. Mais celui qui s'est adonné à de fausses doctrines, à de faux-semblants, celui-là recevra la mesure la plus faible, correspondante à l'Amour et la vérité qu'il aura donnés face à Moi, à ses frères qui n'attendent que Moi. Je veux la Vérité ! Je la soutiendrai devant tous, devant Mon Père. Et Lui, dans Sa Puissance, donnera Sa Mesure. Je vous souhaite autour de Mon Cœur, repentants s'il en était besoin, mais fidèles et droits, obéissants à Mes 10 Commandements : tu ne mentiras pas, tu ne convoiteras pas le bien d'autrui, que ce soit le matériel comme le spirituel. Vous devez accepter que les hommes qui sont devant vous vous considèrent comme vous devez l'être ; dans ce tumulte entretenu par la médisance, l'injure à Mon Nom est blasphème.  Amen !

 

Je désire vous entretenir de ces propos pour que vous corrigiez sans perdre de temps la route que vous prenez et qui vous éloigne de Mon Cœur. Revenez à Dieu, ouvrez votre cœur et dites la vérité, rien que la vérité, et Mon Cœur sera en joie.  Amen !

 

Je hais le Mensonge, comme Je hais celui qui transgresse Mes demandes. Tout sera au grand jour et tout sera révélé. Alors, si vous voulez Me suivre, appelez-Moi, Je viendrai tout renouveler en vos cœurs et en vos âmes. Il ne suffit pas de dire Dieu je T'aime. Il faut aussi avoir souci de la droiture sans laquelle l'âme se perd.  Amen !

 

Merci, Mes enfants, de respecter avec un grand cœur les paroles ici prononcées. Je vous bénis et vous dis à bientôt.  Amen !

 

 

Jésus, l'Enfant-Roi de la Crèche qui vous aime.  Amen !

 

 

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