01 Octobre 2001 - 23 H 10
Mon Doux Jésus +
Vierge Marie, Mère de la Fécondité +++
Mon enfant, courage, tout devient clair. Je te bénis pour que tu puisses, dans cet amoncellement de férocité, retenir ton cœur, car celui-ci a parlé, et l'on blasphème le Nom de Mon Fils, Jésus ; de Ses Conseils, de Ses Paroles, on rejette le sens ; on piétine Ma douceur et Mon Sourire. Croyez-vous, gens de biens, que Mon Fils ne vous observe pas, qu'Il ne tient pas compte de tous ces rejets que vous Lui faites en portant sur vos frères un jugement indigne ? Où sont-elles les belles paroles que vous aviez prononcées :
"En cela comme en toute chose que la Reine du Très Saint Rosaire soit glorifiée" ?
Vous n'écoutez pas votre cœur, vous écoutez ce que
vous décidez, et cela toujours au Nom de Mon Fils. Mais Lui, le Très-Haut,
l'Enfant de la Crèche si pauvre et si démuni, Il vous a montré l'exemple qu'il
faut suivre. Ce n'est pas en l'occurrence la pauvreté en soi, le manque
d'argent pour certains et pas pour d'autres, non, c'est en plus le manque de
cœur qui vous appauvrit ; c'est de ce manque que
Je fais référence, car il est dit : Heureux les pauvres en esprit, ils
seront riches dans les Cieux. Ce n'est pas du cœur qu'ils seront pauvres, c'est
de leur condition d'homme à accepter en plénitude l'offrande que Dieu vous
fait : Sa Royauté pour que vous veniez à Lui. Amen !
Restez dans l'Amour de votre Dieu. Restez unis, Je
vous l'ai déjà souvent répété. Aimez vos frères sans les juger, car le Juge
sera impartial le jour venu, et, tout ce qui vous a conduit à réfuter vos amis
et vos frères en Jésus-Christ, sera votre souffrance, votre considérable
souffrance. Aimez-vous, vous ai-Je dis ! Je ne vois pas en quoi Mes
enfants, qui eux vous aiment, puissent vous disconvenir de la sorte. Je vous avais
donné, en ce jour du 24 Janvier, un frère en Christ qu'aujourd'hui vous
condamnez. Je vous avais donné tant de choses que vous n'avez pas acceptées.
Rubis sur l'ongle, vous devrez rembourser la dette ; vous serez condamnés
au tribunal de Dieu, car Je suis Dieu et Juge, Dieu et Roi, et tout homme, de
quelque condition qu'il soit, de quelque souche sociale, se doit de respecter
ses frères : de ne pas le juger et de lui donner l'Amour, même si cela ne
vous plaît pas ; c'est ainsi.
Amen !
Merci pour ceux qui avec leur cœur sont venus à la
Fête. Thérèse, Mon enfant-Roi, Docteur de l'Eglise, présidait cette Fête, et,
dans ce défilé composé de toutes races, de tous Mes Amis, Ses Amis, car elle a
dit que vous étiez tous ici dans son jardin de fleurs, de roses multicolores,
et qu'elle était votre sœur pour toujours. Je ne M'étendrai pas sur la
participation des Ordres, car, si certains sont venus honorer Dieu par Thérèse,
d'autres se sont exclus de cette célébration Pontificale où tous étaient
conviés. C'est Dieu qui décide de tout, et, si vous souhaitez son approbation,
priez, et Il vous donnera toujours la clé qui ouvrira votre porte. Mais la Foi
est faible, l'homme occupé ou plutôt préoccupé par ses affaires, et il en
oublie celles de son Dieu. Quand comprendrez-vous que Dieu doit-être premier
servi ? Il vous donne à chaque fois que votre cœur appelle, et vous
voudriez encore qu'Il vous donne, alors que vous refusez de Lui obéir, de Lui
faire plaisir. Car un père n'est-il pas heureux lorsque ses enfants partagent
le gâteau Anniversaire ? Il les a tous autour de lui, et tous ne font
qu'un dans la famille ; l'Eglise, c'est un peu ça, c'est une grande
famille et en plus le chef en est le Christ, Jésus le Crucifié, Jésus de
Nazareth Ressuscité d'entre les morts. Mais vous, vous ne faites qu'un avec le
Christ. Alors, vous vous retirez des pas que Je vous ai tracés, Je souffre
encore de toutes ces divergences. Appelez-Moi, Je viens ! Je vous appelle et
votre réponse reste négative. Dites Oui à Dieu et Dieu vous comblera. Je vous
aime. Jésus. Amen !
Dans la croisade de l'Amour, Je souhaite des
enfants doux et humbles de cœurs, des enfants de l'obéissance à Mon Nom, et que
tout homme se tourne avec Amour vers Moi en respectant et en aimant ses frères.
Ton appartenance à la Militia Christi était voulue
par Dieu, les hommes ont décidé autrement. Mais Mon Amour sera toujours égal,
Mon fils, Je t'aime. Amen !
Voici pour ce jour de Sainte-Thérèse. Elle te
bénit par Mes Mains de Mère au Nom de Jésus-Christ, son Amour, Dieu qu'elle
aime toujours, et comme elle L'a toujours aimé depuis qu'elle est venue sur la
Terre. Parce qu'appelée par Dieu, elle vivait de Moi, en Moi et pour Moi. Je
vous bénis Mes enfants, Je vous porte sur Mon Cœur et souhaite tout bien pour
vous qui Me rendez Royale Gloire sur la Terre et aux Cieux. Merci pour votre
compréhension. Merci pour votre dévouement. Merci pour tout ce que vous ferez
pour Moi en vous attachant à Moi et non aux hommes, car peu en ce monde aiment
vraiment Dieu. Moi, Je vous aime tous. Alors, à vous de vous aimer et vous aimerez Dieu. Tout autre comportement ne M'intéresse pas. L'Amour, c'est Tout, c'est Jésus,
Dieu Un et Trine. L'Amour, c'est ce qui fait vivre dans la Paix et la Joie.
Sans l'Amour, rien n'existe, rien ne se crée, tout se détruit. Voilà Mes chers
enfants, que ceux qui se reconnaissent ici soient bénis, car Je souhaite
toujours le meilleur pour tous.
Amen !
Réconciliez-vous, ne vous déchirez pas. Soyez
francs et aimables, les divergences sont dues au manque d'humilité et au
surcroît d'orgueil. Amen !
Jésus, Roi des cœurs, qui aime tous Ses
enfants. Amen !