17 Juin 2001 - 4 H 27
Mon Doux Jésus
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Marie, Mère de
la Miséricorde Divine +++
Voilà,
Mes chers enfants, vous êtes venus au Pied de la Croix Glorieuse plantée à la
Haute-Butte. Que de joie dans le Ciel à chaque montée vers Dieu. Honorer la
Croix, c'est honorer Jésus, et, comme Il vous le commande, vous êtes venus. Oh !
pas bien longtemps, mais vous êtes venus voir et comprendre, le cœur ouvert à
toutes les possibilités. Eh bien oui ! Je suis là, toujours et pour
toujours, sur cette Montagne bénie et sacrée, sur cette Terre de Dozulé,
piétinée par les uns, bénie par les autres, respectée par ceux qui aiment le
Seigneur et Roi de Gloire, Jésus-Christ. Amen !
Je
distribue Mille grâces en ce haut-lieu ; bien sûr, ce n'est pas le seul
endroit, mais ici, sur cette Montagne, Je suis heureux et fier de Mes enfants
qui écoutent Ma Parole, Celle que Je suis venu donner au Monde pour qu'il se repentisse de tous ses péchés, cette Parole que J'ai donnée
à Ma servante si joyeuse de vous avoir rencontrés. Ce lieu, c'est celui de la
réconciliation ; c'est difficile pour les hommes de se réconcilier entre
eux, c'est pourquoi Je souhaite être visité en ce lieu, car Je donne cette
grâce de la réconciliation, d'abord avec soi-même, puis avec Dieu. Vos péchés,
vous ne vous en séparerez que lorsque vous aurez compris qu'il faut beaucoup
aimer les autres ; peu importe leur attitude, ce qui compte c'est de les
aimer comme Je vous aime, c'est-à-dire d'un grand cœur ; que celui qui ne
pèche pas soit indulgent avec les autres. Parmi vous, souvent, vous trouverez
difficiles les attitudes diverses des gens qui vous entourent, cela, donnez-le
Moi, car il M'appartient, et Je rectifierai par une grâce particulière que seul
J'ai le pouvoir de donner, selon la faute et selon le cœur que l'on met à vouloir
le bien des autres, et que seul le Père, dans Sa Bonté, peut arracher des
entrailles les vices et les certitudes. Vous n'êtes pas venus pour condamner,
pour faire souffrir les autres par votre égo, votre possession de la vérité,
car Je suis la Vérité et Je suis le seul à la donner. Amen !
La
patience, si elle était appliquée dans ce monde, le Cœur de Dieu en serait
honoré, mais pour cela il faut comprendre son frère, ne pas lui donner d'ordre,
ni de gémir sur son propre compte. Vous avez été frappés en ce jour passé par
une telle attitude. Je vous promets, avec vos prières et seulement ainsi, Je
donnerai en son temps le repentir voulu par Dieu, car toute blessure, toute
agressivité à l'encontre des miens, Je la prends sur Moi. Ne vous inquiétez pas
pour cela, Mon Cœur a été blessé si souvent de telles attitudes. Amen !
Je
vous aime, Mes enfants, continuez votre marche vers Dieu, Celui qui vous
appelle des Ténèbres à la Lumière vous bénira chaque jour si vous L'aimez par
vos frères, et multitude de grâces se déverseront en vos âmes si vous aimez le
Crucifié, le Ressuscité, chaque jour et pour toujours. Je vous bénis en ce jour
de la Fête Dieu. Amen !
Et
qu'en cela, comme en toutes choses, Dieu et la Reine du Très Saint Rosaire
soient glorifiés. À jamais ! Amen !
Bénie
soit cette journée qui commence, cette journée que Dieu voulue pour être honoré
par tous les fidèles en procession, dans chaque cité, dans chaque paroisse,
seulement en ce jour où Il sort de Son Tabernacle pour accueillir en Son Sein
les hommes qui se divisent, qui s'éloignent et se perdent. C'est ce jour-là que
Je viens à votre rencontre, par une grâce toute particulière donnée par Mon
Père de vous rencontrer, en passant parmi vous. Voilà, Mes chers enfants, ce
que Je tenais à vous dire en ce jour de Fête, et de vous remercier pour
l'attention que vous avez eue de venir en procession à la Croix et au-devant de
Moi à Caen. Bonne Fête. Je vous aime et vous dis à bientôt. Amen !
Je
vous bénis tout spécialement en ce jour glorieux. Amen !
Jésus, Roi des Cœurs, Roi de Gloire et Maître de tous,
Marie, Co-Rédemptrice, Avocate, Médiatrice de toutes grâces, au
Pied de la Croix,
Dans le Cœur de Dieu et des vivants. Amen !