22 Mars 2002 - 0 H 39 ( GMT+1)          Sainte-Léa

Mon Doux Jésus +

Marie, Mère des Pauvres et des Petits +++

 

Ma souffrance est celle que Je donne encore aujourd'hui. Je souffre des mésententes des hommes et des femmes qui, affairées à leurs soucis de possession, avilissent en elles, c'est-à-dire en leurs âmes, la Rédemption que J'ai donnée à Jérusalem au Moment de Ma Passion. Combien faudra-t-il encore que Je demande, suppliant les hommes pour qu'ils reviennent à Moi ? Je confie à Mon Eglise tout ce cheminement vers Mon Cœur et vers le Cœur de Ma Sainte Mère, Ma Maman si pure et si aimante de ses enfants. Cette Mère-là, Mes enfants, il faut la chérir comme du Miel, du nectar, le nectar du Nectar. Aimez-la, et surtout ne la repoussez pas dans des retranchements que vous auriez inventés, car Elle porte en Elle, non seulement son Fils, mais aussi son Epoux, le Saint-Esprit de Dieu qui est Lumière et qui est Dieu en son Sein. Voilà pourquoi Je demande à Mon Eglise, par son Ministère et par sa Doctrine, employant le droit Canon et les prérogatives qui lui sont propres, de promulguer sans tarder le Dogme de la Dame de Tous les Peuples. Pourquoi ? Mais, Mes enfants, pour arrêter la guerre, cette guerre qui guette à votre porte, à toutes vos portes, là où Dieu est absent dans les cœurs, là où l'on blasphème et outrage Dieu en Son Fils, en Son Esprit, en Sa Mère.  Amen !

 

Je vous donne le pardon de vos péchés si vous en avez le courage, mais ce courage, vous savez, J'en ai eu, Moi qui n'avais jamais péché et qui ai été cloué sur la Croix après toutes les méchancetés, outrages et punitions que l'on M'a infligés, et qui est Mort suspendu à la Croix. Mes enfants, il faut vous bousculer pour accomplir ce que Ma Maman, au Nom de Dieu, c'est-à-dire de Mon Père, de Mon Esprit et de Moi-Même, a révélé et demandé à Ma servante Ida(*). Je souhaite que cette Année Jubilaire du Ciel soit l'Année Sainte qui recevra ce Don pour l'Eglise tout entière, pour le Salut et le renouvellement de la Rédemption. Oui, Avocate, parce qu'elle parle à Dieu ; Co-Rédemptrice, parce qu'elle M'a porté en son Cœur du début à la Fin, de l'Agonie à la Résurrection ; et qu'elle accomplit en ce siècle tant de travail envers ses enfants, qu'elle distribue tant de grâces de conversion, de confession, de grande dévotion à son Cœur et au Cœur de son Jésus, le Christ Sauveur du Monde.  Amen !

 

Je vous demande de partager avec vos frères ces quelques lignes pour que vous compreniez mieux, ainsi, vous orienterez dans le bon couloir ceux qui détiennent le flambeau, le courage et l'abnégation. Je veux dire combien Mon Cœur saigne de tant de convoitises, de mal vivre et de malnutrition. Aimer ses frères, c'est tout d'abord les nourrir, bien sûr, et c'est essentiel, de Ma Parole, car Je suis le Verbe, mais aussi de nourriture pour leurs corps décharnés et appauvris par tant de misère. Malgré tous les progrès de la Science dont se targuent les hommes, peu a été fait pour nourrir tous Mes enfants. J'ai multiplié Moi-Même la nourriture alors que Je n'avais rien, mais les peuples si pauvres et qui n'ont rien s'inventent des armes qu'ils multiplient ; mais cela, Mes chers enfants, ce n'est pas consommable, ça rouille et fait mourir. Alors, allez-vous vous relever, vous les nantis des temps modernes, les roitelets du monde qui ont décidé d'en découdre pour asseoir leurs pouvoirs et leurs richesses ? NON ! Je n'accepterai pas bien longtemps ce genre de comportement. Non ! Je ne souffrirai pas encore longtemps en voyant cette misère s'abattre sur la Création. Je donnerai un avertissement, un seul, mais sachez bien que Mon Cœur est trahi, transpercé, et que coule en Mes veines l'amertume qui Me saisissait sur le Mont des Oliviers. Ce n'est pas chose facile pour Dieu de faire voir Sa Puissance, Je voudrais tellement que soit simplifiée l'écoute de Mes enfants. Mais voilà, personne, Je dis effectivement personne au vu du petit nombre qui M'écoute, personne n'écoute, ni Mes promesses, ni Mes différents avertissements que J'ai Moi-Même donnés et que Ma Maman avec Saint Michel ont répété maintes fois.  Amen !

 

Pour ce qui est de l'attitude à prendre pour les événements futurs, Je dis cela parce que la question se pose dans le cœur de Mes enfants et, comme Je suis un Dieu d'Amour et de Miséricorde, Je vous dis ceci : Ne travaillez pas pour vous mais travaillez pour Moi. Demandez-Moi de vous guider sans vous attacher à une idée et Je vous donnerai l'Onction qui vous fera partager avec Moi, votre Dieu, le désir de Mon Cœur pour que vous l'accomplissiez.  Amen !

 

Adorez, Priez, Louez, faites des sacrifices et chantez des Louanges à Dieu et à Marie. Les Anges entonneront vos chants et vos cœurs seront en Joie.  Amen !

 

Je remercie du Fond de Mon Cœur, celles et ceux qui ont acquit une parcelle de terre pour faire élever une Croix ; si cela a pu se réaliser, c'est que c'était Moi, Jésus votre Sauveur, Rédempteur, Ami et Frère, qui vous y ai invité, qui ai procédé à la vente et qui ai permis cette acquisition. Rassure Ma Fille, dis-lui que Je l'aime d'un Amour Fou, et que si elle doit partager, qu'elle partage avec son Dieu. Je lui donnerai selon ses besoins, toujours et en tous lieux. Je la précéderai, Je bénirai sa route, et elle aura joie dans son cœur. L'argent, il est à Dieu ; le principal n'est pas de le laisser dans les coffres d'une banque, mais de se rappeler que tout vient de Dieu et que tout revient à Dieu. Donc, dans l'état du Monde, il n'est pas conseillé de faire fructifier ses dividendes dans des actions, mais de protéger cet argent sur des comptes ouverts tels que Caisse d'Epargne ou autre, mais pas d'obligations, pas d'actions, pas de boursicotage, seulement de l'Argent propre, disponible et sain. Je donne cette orientation pour que vous sachiez que par l'Argent il est facile de pécher par orgueil, par avarice, par appât du gain et par soumission à Satan. Donc Je Me répète : tout doit être "clean", pas un sou ne sera perdu, Parole du Seigneur.  Amen !

 

Voilà, Mon cher fils, en cette fête de Léa, Sainte-Léa, Je te donne Ma Sainte Bénédiction en regard à ta complaisance en Dieu. Je bénis ta grand' Mère qui naquit au Ciel ce jour-là, mais aussi, et c'est un dû, celle qui portait le Nom de Léa et qui était là pour accueillir ton autre aïeule.  Amen !

 

Merci Jésus, Merci Marie. Merci Ô Mon Dieu pour toutes les Merveilles que Vous accomplissez dans nos cœurs ; soyez grandement remercié, Loué, Béni pour tout ce que Vous nous accordez chaque jour. Nous Vous bénissons, Ô Seigneur, Votre Nom est Béni.  Amen !

 

 

Jésus, Marie, Joseph, opérant dans la sérénité jusqu'à ce que les âmes reviennent à Dieu.  Amen !

 

 

(*)  Ida Peerdeman : hollandaise qui reçu les messages et la visite de Notre Dame sous l'Appellation de Notre Dame de Tous les Peuples, à Amsterdam

 

 

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