16 Janvier 2003 - 6 H 53
Mon Doux Jésus +
Marie, Reine de France, ND des Victoires +++
Passé le temps où vivait sur la terre de France
Mon Peuple bien-aimé, Mon Peuple qui chérissait Dieu qui lui donnait son Amour,
sa Tendresse, sa Royauté. Oui, Peuple de France, vous avez été proche de Dieu,
vous L'avez vénéré, glorifié en vos âmes et en vos cœurs. N'était-ce pas ainsi
que vous receviez, pour votre Pays, les grâces venues du Ciel !?
N'était-ce pas par Marie que vous obteniez toute diligence pour vos
travaux !? Amen !
Souvenez-vous de cette Consécration que vous fîtes
à Marie, Ma Mère, Ma Reine. Vous la couronniez Reine de votre Pays, Notre-Dame
des Victoires. Sous ce vocable voulu par Dieu et donné par l'Esprit-Saint au
Roi Louis XIII, la France prononçait le Vœu d'être sous la protection de Marie,
Reine de France. Amen !
Ma Royauté fut alors acceptée en les cœurs de Mes
enfants. Plus tard, sous le règne de son fils Louis XIV, enfant de la
Miséricorde venu au Monde par une grâce spéciale du Ciel, et l'intervention de
Saint Joseph qui donnait ce nouveau Roi à la France, Mon Cœur a demandé d'être
honoré ; aussi, il fallut attendre bien longtemps, laissant les grâces en leur
lieu, sans pouvoir sortir de cette ornière où l'avait conduit ce refus
d'obéissance, ce refus donné à Dieu qui laissa à la remorque des autres Pays ce
Pays si cher à Mon Cœur et qui M'avait trahi.
Amen !
J'ai donné tout Mon Cœur lorsque J'ai donné
naissance à ce fils qui fut un Roi dominé par l'orgueil, ce qui lui a causé
bien des soucis, des guerres, des famines ; puis par la suite, votre Pays a connu, deux siècles plus
tard, la Révolution. Amen !
Pour un Non à Dieu, pour un refus d'obéissance, le
Pays de Mon Cœur fut plongé dans les Ténèbres, dans les exécutions sommaires,
dans la Terreur. Ce n'est qu'en 1872 (*) que Mon Cœur fut honoré sur la
Capitale, Vœu fait par la France de construire une Basilique au lieu dit des
Martyrs, sur le "Mont des Oliviers français" où moururent tant de fidèles, tant de consacrés à Mon Nom,
Jésus-Christ, Vœu qui apporta à la France entière un sursaut de la Foi, un
retour vers Dieu. Amen !
Aujourd'hui, Mes chers enfants, Je ne suis plus
écouté, Je suis banni des livres scolaires, Je suis oublié, blasphémé, réduit à
rien. Et pourtant Je voudrais tellement aider Mon Peuple, Mon Peuple de France,
par un retour glorieux à Ma Royauté, à Mon Cœur. Amen !
J'ai demandé à plusieurs reprises la marque de Mon
Cœur sur le pavillon de la France, qu'il y soit brodé Mon Cœur couronné
d'épines et surmonté d'une Croix, d'un feu et d'une plaie béante qui renouvelle
par Mon Sang les trésors de Ma Miséricorde. Et jusqu'à ce jour, la France par
ses dirigeants reste muette, il s'ensuit des catastrophes, on pompe le fioul,
les bateaux s'échouent, polluent la terre et la mer ; les rames sont
délaissées, rangées sur les plats-bords, plus personne ne veut ramer dans le
courant du Seigneur, à contre-courant des voluptés de ce monde, oubliant Dieu
et faisant sans Lui ; on voit le résultat, et tous ces maux sont le
résultat de puissances infernales laissées en action par non respect de Mes
Demandes, par non respect de Mes Commandements.
Amen !
Souvenez-vous du 1er Commandement qui
est, Je vous le remets en mémoire :
"Tu aimeras ton Dieu plus que tout !"
Déjà celui-ci n'est pas appliqué, on aime ses
poches remplies, son ego justifié ; et Mon Cœur transpercé, Lui qui a tant
souffert pour vous est ignoré, repoussé, banni de vos cœurs. Oui, Peuple de
France, réveille-toi, prends en main ta destinée, regarde ton Dieu par la Reine
de France, par sa protection, par son Sacerdoce Royal qui n'attend qu'un geste
de vos dirigeants pour ondoyer votre Pays de la Royauté de Mon Fils. C'est par
Marie, votre Mère et votre Reine, que vous obtiendrez tout pour votre Pays.
Mais pour cela, il faut honorer son Fils, faire ce que Lui a demandé et
réclamé. Soyez obéissants à ses Demandes et à ses Commandements.
Réjouissez-vous, si vous vous complaisez à faire tout ce qui a été demandé. Je
vous assure de Ma Prière, Moi, la Reine de France et du Monde, de l'Eglise et
de l'Univers. Amen !
Voici pour ce jour, pour votre salut, les grâces
que Je viens vous donner : la possibilité d'être écouté de Dieu dans ses
demandes. Cette grâce est importante en ces jours de détresse, en ces jours où
dort la France. Oui, elle dort la France, elle est seulement éveillée pour dire
Non, mais elle sommeille pour dire Oui, elle ne se décide pas, elle boude Ma
Royauté, elle boude Ma Miséricorde ; calculatrice, elle croit s'en sortir
elle-même. Non, Mes enfants ! tout est donné par
Dieu. Rien ne se fait dans l'harmonie si ce n'est Dieu qui le donne. Je donne
Mon Cœur pour que soit glorifié Mon Nom sur ce Pays qui reçu par Mon Eglise, en
la personne de Mon Evêque Saint Remi, le Baptême de la France par son Roi
Clovis qui menait avec Dieu la France, le Pays Franc à la victoire. Amen !
Victoire tu régneras, lorsque Dieu aura son Peuple
avec Lui, lorsque ce peuple païen se tournera vers Lui, délaissant les ombres
tenaces qui le sclérosent, qui le tiennent à l'écart, dans les ténèbres.
Réveillez-vous peuple de France ! Réveille-toi, fille Aînée, bien-aimée de
Mon Cœur ! si tu savais comme Je t'aime, combien
J'ai besoin de ton Amour, de ta reconnaissance envers Moi, tu accepterais sans
broncher, sans ombrage le délice que Je te propose, la grâce surabondante qui
ruisselle de Mon Cœur. Amen !
Je veux verser le Feu de Mon Amour sur le Monde.
J'ai choisi la France, parce que fille aînée, fille spirituelle, 1ère élue,
pour qu'elle-même soit le flambeau de la victoire de la lumière contre les
ténèbres. J'attends le Oui de son Cœur, le Oui de la France, le Oui de Mon
Eglise. Amen !
Hommes d'Eglise, c'est à vous de prendre le relais
de Ma Royauté, c'est à vous de demander implicitement réparation pour les
outrages et blasphèmes dans le Monde, c'est à vous de porter aux dirigeants de
l'Etat cette demande expresse.
Amen !
Toute Ma Royauté Illuminera le Monde, lorsque vous
aurez, par votre intervention, réalisé ce qui vous a été demandé : de
glorifier Dieu à la hauteur de son Martyre, à la dimension symbolique du
Golgotha ; à cette hauteur réelle où Dieu fut crucifié :
Prenez-vous par la main, prenez les décisions qui
réjouissent Mon Cœur et le Cœur de Ma Maman Marie, Reine de France. Acceptez
Mes propositions. Priez l'Esprit-Saint pour vous en convaincre. Je vous bénis
pour tout cela. Amen !
Hommes d'Église, consacrés à Mon Divin Cœur, soyez
des hommes responsables, maîtres avec le Maître, cœur à cœur avec Moi. Amen !
Jésus, Marie vous le demandent et vous
aiment. Amen !
(*) Voté à
l'Assemblée Nationale le 23 Juillet 1873 à la majorité de 244 voix.