13 Mai 2011 – 4 H 59 (GMT+2)

Mon Doux Jésus +

Marie, Reine des Cœurs +++

 

Merci à tous Mes enfants qui depuis hier M’honorent dans Mon Sanctuaire de Notre-Dame de Fatima. Oui, Mes chers enfants, veillez et priez pour la conversion des pécheurs, pour que les guerres qui pourrissent la vie de Mes enfants soient jugulées, que le Mal recule par vos prières incessantes.  Amen +

 

Lors de la grande guerre, Je suis apparue ici à Fatima devant Mes 3 pastoureaux qui obéissaient promptement à Mes demandes ; que de grâces ils ont obtenues pour tous ! Et vous-mêmes qui lisez avec amour ces lignes depuis des années, mais aussi depuis quelques jours, veillez et priez, ne laissez pas le Mal vous dominer en rendant grâce à Dieu pour tous ses Bienfaits, et Il vous protégera partout où vous irez. Ne craignez pas ! Priez pour Mon Vicaire le Pape Benoît, il a besoin de toutes les âmes pour prier pour lui, car le Monde de la Finance ne le supporte plus, il ne l’a jamais supporté. Et la France, par son chef qui a visité sa Sainteté, n’est pas à l’abri. Qu’a dit le Saint-Père : Aimez vos frères, aimez votre prochain comme vous-mêmes. Eh bien Non ! Ils s’aiment eux-mêmes, mais pour eux seuls. Ne donnez pas de perles aux pourceaux, à ceux dont la vindicte dépasse l’entendement. Ces paroles comme « Casse-toi pauvre C… ! » ne sont pas dignes d’un chef d’État. La République a dit : égaux entre eux, cela va du plus petit d’entre tous jusqu’au sommet de l’État, mais aujourd’hui on a perdu le sens de la valeur, le sens du respect, le sens de la fraternité qui ne peut se vivre que dans l’Amour, et ce n’est pas dans les loges où ils se nomment frères qu’ils ont l’Amour avec eux. Non ! ils ont le Mal en eux et avec eux, ils rédigent des lois scélérates contre le peuple dont les Ministres ont la charge. (Entre parenthèse : Ministre veut dire serviteur). Vous voyez comme vous êtes servis. Non ! vous êtes desservis, et ceux qui dirigent le font dans le sens de leurs intérêts mais surtout pas dans l’intérêt du peuple français. Il en est de même pour les autres pays où les loges prolifèrent pour donner aux lois cette « saveur », ce sel que l’on écrase sous ses pieds ; ce mauvais choix que avilit non seulement ceux dont ils ont la charge, mais eux-mêmes.  Amen +

 

Qu’en sera-t-il lorsqu’il faudra se présenter devant le Maître de la Moisson ? auront-ils lié les gerbes ou auront-ils paresseusement attendu les poches remplies des deniers des pauvres. Alors que J’ai Moi-Même été pauvre, et que J’ai demandé aux riches de donner leurs biens pour que le peuple ait à manger, que personne ne manque de pain, que les enfants grandissent dans la sainteté, dans l’Amour du Dieu Créateur. Voilà pourquoi J’ai envoyé Marie, votre Reine, pour vous avertir de cela, car qu’était la grande guerre sinon l’application directe de ce que Je viens de vous dire ! Aimez et priez ! Combattez le Mal par la prière du Rosaire, par l’Adoration véritable, dans l’Oraison du cœur qui vous unira à Mon Cœur, au Cœur de Ma Maman Marie de Nazareth et au Cœur de Joseph qui ne fait qu’un avec son Cœur et avec le Mien. Revenez à de vraies valeurs, à de vrais langages, à de vraies solutions qui respectent le Créateur. Et pour vous qui votez les lois, il en est de même : pensez à faire la Volonté de Dieu et à l’appliquer partout, y compris dans vos votes, car vous serez jugés sur ce que vous aurez fait et sur ce que vous n’aurez pas fait et que vous auriez du faire. Chacun est responsable de son âme, mais les chefs ont aussi la responsabilité des âmes de leurs sujets. La France est une terre chrétienne et elle doit le rester, elle ne doit se soumettre à aucune forme qui la ferait perdre sa vocation. Alors, gouvernants de tous les pays, n’oubliez jamais cela : Dieu est tout, Il est partout, dans toutes les Nations Il doit-être respecté dans ses attributs(*), c’est-à-dire dans ses Ministres de son Église. Oui, Mon Église est bafouée par ses adversaires, mais aussi par ceux qui sont à charge des âmes et qui ont de grandes responsabilités dans Mon Sacerdoce ecclésial. Car Je suis le Maître de la Moisson, il n’y en a pas d’autre. Ne cherchez pas ailleurs ce que vous avez dans Mon Église et par Mon Église. Elle fut créée sainte et elle doit rester sainte, c’est la première de ses vocations : être au service des hommes et des femmes dans le besoin.  Amen +

 

Je vois des Ministres de Mon Église s’introduire dans les loges. Mais que vont-ils y faire sinon combattre ce pour quoi ils ont été nominés ? Il ne faut pas renier le sacerdoce dont Je vous ai pourvu ; votre Mission est de rendre l’Église sainte par ses enfants dont vous avez la charge et le devoir de guérir leurs âmes appauvries par les décisions de la franc-maçonnerie que vous côtoyez et qui est au service du Malin. Cela vous le savez, mais vous n’écoutez pas votre conscience. Je Me demande parfois si vous avez encore une conscience ! Pourtant chacun en a la propriété, chacun individuellement. Alors, écoutez-la, elle vous guidera pour que vous puissiez guider les autres ; qu’ont fait Mes Apôtres ? ils ont porté la Bonne Parole, mais ils étaient sains de corps et d’esprit. Ah oui ! il y eu Judas Iscariote qui s’est laissé entraîner par le Mauvais. Est-ce cela que vous voulez : lui ressembler ? Eh bien, Je vous le dis : vous êtes des Judas, lorsque vous vous engagez sur cette mauvaise route, et c’est tout un peuple qui se perd à cause de vos envies. Restez fidèles à Celui qui a donné sa vie pour vous, que vous soyez prêtres ou simples citoyens qui souvent pourraient vous donner la leçon, mais cela vous ne l’admettez pas, votre orgueil démesuré vous en empêche. Oh ! heureusement qu’il y a encore des prêtres et des Évêques qui restent dans la sainteté, ce sont Mes Amis comme tout un chacun qui aime, qui donne, qui instruit dans le sens charitable sans jamais rien demander en retour. Soyez de ceux-là, et vous répandrez autour de vous Ma Sainteté, Mon Amour et Ma Persévérance dans l’épreuve. Aimez l’Église, aimez Mes prêtres, aimez vos frères d’un Amour qui vient de l’Amour, c’est-à-dire de Dieu Lui-Même.  Amen +

 

 

Je vous bénis avec Marie et Joseph. Je SUIS ! Et en cette Fête où il fut demandé de prier pour les conversions et pour arrêter la guerre, Nous vous bénissons au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.  Amen +

 

Que la grâce de ce jour parvienne jusqu’à vous qui priez avec tous ceux qui sont venus à Fatima.  Amen +

 

 

(*) THÉOL. : Les attributs de Dieu. Les perfections qui sont de son essence.

 

 

Fin :       5 H 47

 

Durée : 48 mn

 

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