5ème JOUR

 

 

 « NEUVAINE de PÈLERINAGES »

 

DIMANCHE 26 NOVEMBRE 1989

 

 

DOZULÉ

 

 

LE CHRIST-ROI

 

A.R.T.

 

ADVENIAT REGNUM TUUM

 

 

Pèlerins de Dozulé et du Christ-Roi, j’emprunte comme entête de cette conférence la devise d’une

Religieuse (de Saint Thomas de Villeneuve), la Vénérable Pauline-Louise de Pinezon. Née à Rennes en 1752, et morte en odeur de sainteté à Lambesc (région d’Aix-en-Provence) en 1820. Elle l’avait échappé belle en 1793 ! L’échafaud la recherchait !

Quelle royale devise au service 1989-1993 du Christ-Roi !

Et au service de la Royale Croix Glorieuse (de Dozulé) qui est à l’antipode de “l’échafaud-emblème” de la Terreur 1793 ; et qui est le céleste antidote contre les futures terreurs qui, inévitablement, menacent les années 1990-1993 et autres, si. l’Église de la “Croix Salvatrice” ne réussit pas, à temps, à s’opposer efficacement aux Démons d l’athéisme et de l’immoralisme mondiaux le rempart et la victoire de la Croix du Christ-Roi !...

“Arrière, Satan ! La Croix de Jésus est là !”

Et c’est justement parce que, à n’en pas douter, les Forces occultes, les Ténèbres sont déchaînées, comme jamais, contre le Christ-Roi, et contre Sa Croix ; c’est parce qu’elles donnent l’impression, le frisson, qu’elles sont à la veille de l’emporter sur la Barque-Église, qu’il est extrêmement urgent que soit élevée la Grande Croix Glorieuse qui semble bien révélée et décrétée, pour ces temps, qui sont nos temps, par le Ciel !

Oui, il est grand temps que soit élevé le Grand Mât, et que s’élèvent, contre les pires tempêtes et contre le pire Ennemi, les Grands Bras en Croix.

PREMIÈRE RÉFLEXION

Sur ce, voici ma première réflexion,

À partir de 1972, la Barque de Saint Pierre navigue plus que jamais sur des flots en furie et infestés de “bateaux pirates”, d’ennemis. En langage biblique, la mer est le repaire de toutes sortes de monstres qui veulent engloutir les navigateurs de Dieu et leurs projets.

C’est si la Barque-Église est ballottée et “battue” comme jamais, depuis 1972, par d’infernales tempêtes et vagues (dogmatiques, morales, contestataires) qui. mettent en péril cette Nef apostolique qui a pour nom : “L’A.R.T.”, “L’ADVENIAT REGNUM TUUM”.

Notons-le : “L’Occident-chrétien-européen” a toujours été, - à cause de Rome surtout et de la Fille aînée de l’Église - la proue de cette sainte Barque militante.

Or, voici que depuis l’aurore du Mardi-Saint 1972 - un 28 Mars - quelque chose de très extraordinaire et significatif s’est passé sur... Dozulé, cette cité la plus stratégique et la plus en proue, aux yeux de Dieu, en cet Occident-européen…

“L’affaire DOZULÉ”, affaire sérieuse et pas ordinaire, pour avoir fait l’objet de l’ouverture - 13 Mai 1984 - d’une Enquête Canonique Diocésaine, sous l’instigation… d’un Pape, Jean-Paul II.

“L’Évènement-Message-Dozulé” n’était-il pas, et n’est-il pas toujours de nature à être pris au sérieux : en nos temps de tempêtes et de craquements et de bouleversements de toutes sortes, en nos temps, certes soudaines espérances, mais aussi d’imprévisibles et tragiques incertitudes des lendemains…?

N’est-il pas grand temps qu’il soit soumis à un sérieux et canonique discernement ?

De la part d’hommes de Dieu et d’esprits avertis sur les Évangiles des “derniers temps”, et sur… les signes actuels des temps ?

Sans doute, le temps et l’adage de Gamaliel (Actes 5, 38-39) travaillent pour “l’affaire Dozulé” (“si elle n’est pas de Dieu, elle tombera d’elle-même, mais si elle vient de Dieu... !”).

Le Message lui-même de Dozulé en 21ème apparition ne dit-il pas expressément : “En vérité Je vous le dis : le ciel et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront point”. Si l’homme n’élève pas la Croix, Je la ferai apparaître, mais il n’y aura plus de temps”. C’était un 1er novembre 1974.

Mais je me dis : c’est clair ! Ce ne sera plus la Croix Glorieuse … de Miséricordes !...

Et je me dis : Dieu sait quelle multitude de “réconciliations” aurait opérées déjà par Sa Grâce, une telle Croix Glorieuse, dès qu’Elle aurait été érigée et bénie par l’Église ! !

Et quelle immense perte d’âmes, du fait de tout “le temps de miséricorde” qu’ont fait perdre : la sagesse et la réflexion”, la prudence, le silence (la conspiration du silence) sur l’Evénement-Dozulé !

En la 34ème apparition, Madeleine rapporte :

“Après un regard triste et grave vers le ciel”, Jésus en la Chapelle des Sœurs, un vendredi 19 septembre 1975, à 16 H 00 - heure à laquelle Mère Supérieure et Sœur J. doivent être reçues par Monseigneur - porte sur Madeleine et deux personnes présentes, choisies par les sœurs, un regard d’une grande tristesse, et dit à Madeleine en regardant l’assistance et en “avisant”, à n’en pas douter, l’intime et grave réunion de l’Évêché : “N’employez pas le moyen de la sagesse et de la réflexion, mais écoutez la folie du Message. Car c’est par ce Message qu’il plait à Dieu de sauver le monde... Le temps s’écoule, et Mon Message reste dans l’ombre. S’il en est ainsi, le nombre des sauvés sera petit. Mais vous, qui n’exécutez pas la Parole de Mon Père, votre châtiment sera grand, car c’est par le nombre des sauvés que vous serez jugés...

Le moment est venu où Je dois verser dans les cœurs humains Ma Miséricorde, mais que ceux qui ont la charge du Message sachent bien que ce sont eux qui M’en empêchent puisqu’ils laissent le monde dans l’ignorance...”

Puis en reprenant un visage rayonnant de bonté et de douceur, Jésus sourit et dit : “Je suis le Dieu de Bonté et d’Amour, Ma Miséricorde est Infinie. Si Mes Paroles aujourd'hui sont cruelles, ce n’est pas pour vous condamner. Mais au contraire, Je veux sauver le monde par Mon Message” (34ème app.).

C’était en septembre 1975. En novembre 1989, une telle supplique, un tel Message du Ciel. – si vraiment il est du Ciel ; s’il est : le Cœur de Dieu et la Miséricorde Infinie en personne ! - aurait-il avec le temps, moins de poids et moins de raison d’être ?

Ne serait-ce pas plutôt le contraire ?

Oui, le temps a travaillé pour ce Message en le rendant plus suppliant et plus urgent que jamais, quelles que soient les vertigineuses conversions de l’histoire Est-Ouest… ! qui ne sont que trompeuses tant qu’il n’y a pas la véritable et surnaturelle “conversion”, le repentir, du côté de “l’Ouest” aussi bien que de “l’Est” !

De façon imprévue, miraculeuse, le soleil d’octobre 1917 de Fatima a resplendi sur l’Est, sur l’Europe et sur le monde, dans les jours mêmes anniversaires de l’octobre 1917 bolchévique !

Mais par pour nous - pas pour le Ciel ! – que d’incertitudes, que d’événements inconnus nous attendent avant que se réalise le “mais mon Cœur Immaculé triomphera” !

Soyons sûrs ! Le Message dozuléen, dans tout son contenu, n’a rien perdu avec le temps aux yeux de Jésus et de Marie, de sa raison d’être et de sa fiabilité même depuis le 7 novembre 1989 ! À leurs yeux, les deux oracles dozuléens que je tiens à joindre ici aux textes cités plus haut, ne sont nullement périmés, soyons-en sûrs !

- (4 juillet 1975 “Mon Message ne doit pas dormir à l’ombre d’un tiroir, mais il doit être Vérité et Lumière pour le monde entier” (33ème app.)

- (7 juillet 1978) “Vous à qui J’ai demandé d’annoncer Mon Message, vous êtes coupables de laisser le monde dans l’ignorance de ce qui doit arriver bientôt. Ne vous appuyez pas sur votre propre réflexion. Pourquoi luttez-vous, puisque Je vous ai donné Ma Grâce dogmatique ? Par Pitié, Je vous demande de M’écouter, Mon Cœur déborde de Miséricorde.”

Je conclus cette première réflexion : chers pèlerins du Christ-Roi et de Dozulé supplions de tout cœur les Cœurs de Jésus et de Marie pour que, de tout cœur, les hommes de Dieu, les hommes du Règne, de 1’A.R.T., exercent “leur art, leur Grâce dogmatique”, à élucider l’Événement-Message-Dozulé qui n’est à … éluder pour aucune raison...

Car, étudié en lui-même - et en Esprit et Vérité - par des Pasteurs accrédités, et vérifié à ses fruits notoires en beaucoup d’âmes, “l’Événement-Message-Dozulé” révèle son Esprit.

Quant aux ombres extérieures à l’Événement lui-même, inévitables à la longue au sein d’un troupeau sans pasteurs, elles n’empêchent nullement les Pasteurs de “discerner” la lumière intérieure du Message, et... de faire la lumière sur “l’affaire Dozulé” pour le plus grand bien du Peuple de Dieu, et pour la plus grande gloire de la Croix Glorieuse du Christ-Roi..

Pour que l’Esprit de Dieu dessille les yeux des hommes de Dieu qui ont à décider, je viens dans mon zèle pour le Règne du Christ-Roi et de Sa Royale Croix, je viens de pratiquer l’art d’être... “ ânesse de Balaam” ! (Nombres 22, 28 à 31) et ce n’est pas la première fois !

DEUXIÈME RÉFLEXION

Je vais passer à ma deuxième réflexion qui n’est pas moins capitale :

Sachez que chaque grande réflexion et chaque menu-propos de mon présent entretien ont pour leitmotiv, pour fil conducteur, la devise du 5ème jour : A.R.T. : ADVENIAT REGNUM TUUM ; et sont autant d’occasions de crier ensemble à chaque fois la prière quotidienne révélée :

que Ton Règne arrive... Amen, Viens Seigneur Jésus !” (10ème et 28ème app.).

Dans cette conférence sur le Christ-Roi et sur... Dozulé, j’en viens à une vérité fondamentale et indiscutable : le Règne du Christ-Rédempteur est arrivé à son sommet par la Croix Glorieuse du Golgotha.

Ne porte-t-Elle pas à jamais sa carte d’identité :

l’I.N.R.I. (Jésus de Nazareth Roi des Juifs, où le “I” équivaut à “J”) ?

Oui, à jamais, la Croix du Golgotha proclame :

Jésus de Nazareth est Roi d’Amour et de Gloire, Roi des cœurs, des Nations et de l’univers, par sa Croix Glorieuse. “Ad Lucem per Crucem ! (“À la Lumière par la Croix”). Vérité - et voie - qui vaut aussi bien pour tout le grand Corps mystique du Christ - et donc pour nous - que pour la Personne même du Fils de l’Homme !

Mais tout au long de mon épître “sur le Règne du Christ par Sa Croix” ma pensée sera sans cesse mue, en quelque sorte, par “un courant alternatif” circulant dans un sens puis dans un autre, dans le sens de la foi fondamentale, dogmatique et traditionnelle en la Croix Glorieuse du Golgotha - laquelle inclut nécessairement le Sacrifice Eucharistique -, et, alternativement, dans le sens d’une foi libre et légitime en la “révélation privée dozuléenne”, et en son Message céleste de la “Grande Croix Glorieuse (avec Sanctuaire à son pied)”.

Message qui, répétons-le une fois de plus, n’a pas été condamné par le Magistère romain, auquel cette “révélation privée” s’adressait en définitive et essentiellement (en 33ème app.).

Aussi la voie est-elle toujours ouverte, en Église Universelle, à ce courant (“alternatif”) émis par le Message dozuléen de la Grande Croix Lumineuse ; courant qui, loin de nuire à la Foi dogmatique et ecclésiale émise par la Grande Révélation biblique et canonique (touchant le Mystère de la Croix Glorieuse), ne fait que la renforcer et l’actualiser pour nos temps par les oracles actuels (1972-1978) du Maître et Seigneur Lui-même de la Révélation évangélique et apostolique.

Sur cette lancée, c’est le cas une fois de plus d’adresser une prière à nos Évêques.

Il appartient, depuis 1972, aux Pasteurs - n’ont-ils pas Grâce dogmatique” ? (48ème app.) - de travailler à “discerner : l’Esprit” d’un tel Message de Croix Glorieuse, et le bien-fondé (ou non) du courant dozuléen qu’expérimentent de plus en plus un bon nombre de petites âmes et de cœurs droits, et filialement respectueux des ordonnances épiscopales (envers et contre tout) ; courant qui, chez eux, alterne, ou si vous aimez mieux, marche sans problème et parfaitement, avec la Foi catholique de toujours en la Croix Glorieuse du Christ, au Mystère Pascal.

Et je m’empresse de dire : pour un bon nombre de disciples et pèlerins de Dozulé, c’est leur foi dozuléenne, ce don de Dieu, qui, sans tarder, a opéré en eux “la charité”, le repentir, la conversion !

C’est même le courant de foi dozuléenne qui, pratiquement, a révélé, en beaucoup, le Mystère pascal, la Croix Glorieuse du Rédempteur, et qui les a rendus promptement perméables à l’enseignement évangélique et ecclésial sur cette chose essentielle de la Foi catholique !

Au pied de l’humble Croix actuelle de la Butte, ou simplement en lisant l’humble mais lumineux Message textuel dozuléen, les esprits et cœurs de beaucoup, prêtres ou fidèles, sont sortis, parfois en un rien de temps, des ténèbres des incertitudes ou ambiguïtés qui les empêchaient de comprendre, de “voir” le traditionnel Message évangélique et apostolique, le Message eucharistique et crucial qu’est la bienheureuse Passion du Christ, et qu’est la Croix Glorieuse du Golgotha, “Bienheureux les cœurs purs, ils voient Dieu”.

Bienheureux ce Message 1972-1978 de la Croix Glorieuse (et du Sanctuaire à son pied) qui produit de tels fruits !

Et voilà que ma plume, pour ce “5ème jour de la Neuvaine de pèlerinages dozuléens”, en cette conférence sur le Christ-Roi et Dozulé, a été amenée à discerner les deux genres de FOI et de RÉVÉLATION qui, en nos âmes dozuléennes, marchaient de pair, à notre insu et sans problème.

J’ai été amené - et j’en bénis le Seigneur - à découvrir que c’était justement ce “courant alternatif” qui était la source de nos nouvelles énergies de FOI et de CHARITÉ, de PAIX et de JOIE, dont nos vies témoignent depuis qu’elles ont été saisies par le Christ de Dozulé !

Et imaginez-vous : ce “discernement”, qui, depuis bien des semaines, me trottait par la tête, a trouvé, presque subitement, l’aurore même de ce 8 novembre où je vous écris, a trouvé de providentiels éclaircissements et confirmations.

En ce mercredi de la 31ème semaine liturgique, je suis à même de lire et méditer au Bréviaire (Liturgie des Heures), à l’office matinal des Lectures, un providentiel extrait de “la catéchèse baptismale de saint Cyrille de Jérusalem”, intitulé : “la foi et les charismes”. Je cite :

“Le NOM de “FOI” est unique, mais il désigne deux réalités distinctes. Le premier genre de foi est celui qui se rapporte aux dogmes... Il y a un deuxième genre de foi : celui qui nous est donné par le Christ à titre purement gracieux. À certains est donné, grâce à l’Esprit, le langage de la Sagesse de Dieu ; à d’autres, toujours grâce à l’Esprit, le langage de la connaissance de Dieu ; l’un reçoit dans l’Esprit le don de la foi ; un autre encore des pouvoirs de guérison.

“Cette foi qui est conférée par l’Esprit à titre gracieux n’est pas seulement dogmatique ; elle réalise ce qui est au-dessus des forces humaines. Celui qui possède une telle foi dira à cette montagne : Passe d’ici là-bas, et elle y passera…

“Cette foi dans une âme accomplit les plus grandes choses en un rien de temps... L’âme embrasse les limites de l’univers, et, avant la fin des temps, elle voit déjà le jugement et l’accomplissement des promesses”. Toi, donc, possède cette foi qui dépend de Dieu et qui te porte vers Lui ; alors tu recevras de Lui cette foi qui agit au-delà des forces humaines.” (Fin de citation).

À la lumière d’un tel texte de saint Cyrille de Jérusalem, reconnaissons avec enthousiasme, chers pèlerins de la Croix Glorieuse de Dozulé, que le Saint-Esprit, en nous conférant ce Don précieux purement gracieux, de la foi dozuléenne, nous a gratifiés d’une foi privilégiée, d’une foi à double volet, car cette foi dozuléenne nous a donné d’accéder à une foi fondamentale et à une piété combien plus vives et éclairées que jamais, par rapport :

- et au Mystère même de la Croix Glorieuse et Royale du Christ, ou Mystère Pascal,

- et par rapport aux Mystères Eucharistiques

1°) de la Présence Réelle, Corporelle du Fils de l’Homme,

2°) du Saint Sacrifice, ou Sacrifice sacramentel du Corps et du Sang du Seigneur, et,

3°) de la Sainte Communion, ou (du Repas sacrificiel du Seigneur) Mystères Eucharistiques, qui, depuis la Cène et le Calvaire, ne font qu’un avec le Sacrifice de la Croix, avec le Mystère Pascal, à travers les siècles.

Chers Amis combien nos âmes et vies baptismales, sacerdotales et religieuses, pour se refaire en foi et piété eucharistiques, avaient besoin de “l’Evénement-Dozulé”, d’un Christ-Jésus sortant de Son silence eucharistique !

Oui, la Sainte-Hostie de nos tabernacles de nos autels, de nos Ostensoirs, c’est vraiment “Quelqu’un” ! un Vivant ! c’est Jésus de Marie, de Nazareth, de la Croix et du Ciel ! Ah ! comme “Elle”- l’Hostie - mérite d’être traitée “royalement”, divinement !

Combien nous avions besoin - moi le premier - de cette providentielle “expérience religieuse eucharistique” qu’a vécue l’humble convertie et voyante Madeleine, afin d’appendre ou réapprendre à “expérimenter” et à vivre, nous aussi - selon la mesure gracieuse départie à chacun de nous par l’Esprit-Saint - les Rayons de Jésus-Hostie !

Rayons qui s’appellent vives foi et piété eucharistiques :

- pour ce “Jésus-caché”,

- pour ce Vivant Jésus, réelle ment et totalement présent, Corps et Ame et Divinité !

- pour ce Cœur divin tout brûlant d’Amour de Son Père et de nous tous !

Rayons que Jésus appelle, “le goût de la Sainte- Eucharistie” (10ème app.), don que Jésus de Dozulé nous apprend à demander, pour nous et pour les autres, dans “le 3ème Pitié mon Dieu” de la prière quotidienne dictée par Lui.

Madeleine, par ses cahiers ; témoigne magnifiquement de ce “goût de l’Eucharistie” dont Jésus l’a douée deux ans avant... 1972, et qu’Il a promis de lui continuer toujours après le cycle des Apparitions (c’était le 6 Octobre 1978, en 49ème app.) :

vous ne Me verrez plus, et cependant Je continuerai de vous visiter par Mon Corps et par Mon Sang”.

Chers Amis, en nos visites au Saint-Sacrement, avoir “le texte en mains” ; lire, méditer par exemple la 7ème apparition, le récit par Madeleine de sa toute première expérience divine de l’Apparition de Jésus en Personne : et aussi, le récit de la 26ème apparition, avec le saisissant témoignage de Madeleine, ne peut pas contrister Jésus, mais ne peut que toucher Son Cœur, et L’aider à toucher notre cœur, et à nous faire sentir qu’Il nous visite…

Chers Amis et pèlerins du 5ème jour, avec vous ma lettre s’est attardée sur le genre de foi privilégiée (eucharistique) dont Jésus a gratifié la servante et prophète de Sa Croix Glorieuse, et dont Il veut gratifier, à leur mesure, les heureux disciples de Dozulé.

Cette longue réflexion eucharistique n’a pas été un hors-d'œuvre, une digression dans cette méditation sur Dozulé et sur le Christ-Roi.

D’une part l’Evénement et tout le Message de Dozulé historiquement et Divinement, ne sont-ils pas nés des visites du Cœur Eucharistique à Madeleine, qui ont fait de Dozulé un vrai nouveau Paray-le-Monial. ? Et c’est le cas de rappeler que le Message essentiel de Dozulé, la Grande Croix Glorieuse, est textuelle ment inséparable du “Sanctuaire de la Réconciliation à construire au pied” (8ème app.),

et d’autre part, historiquement et divinement Jésus (de la Cène et du Calvaire) n’a-t-Il pas institué l’Eucharistie précisément pour faire régner et rayonner - en Église et par elle sur toutes les Nations - jusqu’à ce qu’Il revienne en Gloire et en Justice, Sa Croix (Glorieuse) de Miséricorde ?

Or, en ces temps qui sont nos temps l’Événement-Message-de-Dozulé témoigne nettement d’une chose :

le Cœur Eucharistique pressé de voir Son Église eucharistique répandre les trésors de l’Infinie Miséricorde de la Croix Glorieuse de façon beaucoup plus efficace et beaucoup plus ample qu’elle ne réussit à le faire, et qu’elle ne réussira à le faire à temps par ses apostolats modernes et ordinaires, à la base, si zélés qu’ils soient !

Et c’est justement, me semble-t-il, de ce tourment actuel du Cœur Eucharistique du Christ-Roi, du Maître et Seigneur de l’Histoire et de la Rédemption du monde, qu’est né, par volonté du Père des Miséricordes, l’Événement-Message-Dozulé, cet oracle pressant adressé à l’Église, à cette Ministre et Dispensatrice universelle de la Croix Glorieuse et de Ses trésors infinis :

élevez, d’urgence, la royale Grande Croix Glorieuse,

la grande et ultime

Croix Missionnaire des derniers temps !

Par sa Grâce spéciale et céleste, cette Grande Croix de lumière et de Salut, étendra prodigieusement le champ d’action et de Miséricorde, les divines puissances :

et du Golgotha, et de l’Eucharistie, et de l’Église !

À l’Église d’aujourd’hui, à l’Église post-conciliaire, si soucieuse d’être plus que jamais “Lumen Gentium”,

Gaudium et Spes”, Lumière des Nations, leur joie et espérance, l’Evénement-Message-Dozulé de par Dieu, de par le Père du “Fils de l’Homme”, et de tous les fils d’ homme, ne serait-il pas venu révéler Miséricordieusement à l’Église catholique et eucharistique de la Croix de Jésus-Christ, l’ART, l’ART des arts, l’ART actuel en notre monde d’aujourd’hui, de faire Régner, connaître et aimer et agir au maximum ce “Mystère de Dieu et du Salut”, ce Mystère qui fut caché en Dieu pendant si longtemps, et qui reste encore caché pour une multitude malgré 20 siècles d ‘Incarnation-Rédemptrice et ecclésiale... ?

D’où, chers pèlerins de la Croix Glorieuse, notre cri. des plus véhéments en cette fête 1989 du CHRIST-ROI :

“QUE TON RÈGNE ARRIVE, Ô GRANDE CROIX GLORIEUSE”

“A.R.T.”

Puissent mes deux grandes et pauvres réflexions sur Dozulé-Christ-Roi conforter sur des bases solides notre foi privilégiée en Dozulé, et notre inlassable espérance de voir s’élever, en Église et par elle, la Croix du Christ-Roi de l’univers, la plus royale, la plus universelle et la plus miséricordieuse que le monde ait jamais connue !

Mais avec tout cela, chers Amis, quelle place et quel temps nous reste-t-il encore, en cette conférence de 5ème jour, pour de menus-propos de circonstance... ?

En bref, en voici deux :

1°) - Le SONGE fameux du Fondateur des Salésiens

- Monseigneur Pican est Salésien - le “songe” de la “Barque de Saint Pierre” en péril et en Victoire, le “songe” des “Trois Blancheurs” (l’Eucharistie, la Vierge Immaculée et le Pape), n’a cessé d’être, en filigrane, présent tout au cours de mes réflexions.

Grâce à l’art merveilleux du Seigneur, vous trouvez ici : l’image du “songe” et la notice idoine.

Dans son humilité, Saint Jean Bosco dit qu’il ne faut pas attacher trop d’importance à de saints rêves N’empêche que ce songe du 30 Mai 1862 dépeint merveilleusement, et de façon prophétique, la réalité profonde de tout notre XXème siècle vue en 1989...

Et en notre 5ème jour de neuvaine de pèlerinages cette image est providentielle pour dépeindre à nos yeux mieux que par de grandes réflexions - les trois “arts”, les trois volontés actuelles et missionnaires de l’invisible Maître à bord de la Barque de Saint Pierre, et du Salut du monde (l’Eucharistie, Marie, le Pape).

En cette fin de siècle, et de 2ème millénaire de l’Évangile, la Réalité “rêvée” par Saint Jean Bosco est vraiment en marche

- témoin : les récents mouvements (charismatiques) de l’Esprit, que l’Église reconnaît être de puissants souffles eucharistiques et adorateurs et marials...

- témoin : les notoires “visitations mariales” actuelles, qui interpellent sérieusement l’Église, et dont témoigne ; entre autres, la nouvelle revue “Chrétiens Magazine” patronnée par un Père René Laurentin...

- et témoin : les inlassables et efficaces pérégrinations apostoliques d’un Jean-Paul II, ce grand Pape missionnaire, et grand précurseur du grand Avent du Grand Avènement Glorieux !

Oui, sans calcul de l’Église, mais par dessein du Ciel, nous vivons, comme jamais : l’ère, le règne des Trois Blancheurs, qui, dans l’unité d’une trinité, conjuguent merveilleusement leurs célestes et terrestres efficacités, pour que, envers et contre tout, malgré les vagues adverses (athéisme, laïcisme, immoralisme, ignorantisme religieux, intégrismes antichrétiens) qui, de l’extérieur, se déferlent contre la Nef de “l’Église-Croix-Glorieuse”, et malgré les vagues, qui de l’intérieur (contestations de toutes sortes) contestent et gênent la grâce et l’autorité du Pape, ce Maître à bord de la Barque Saint Pierre après Jésus-Christ il semble bien que le Fils de l’Homme, la Mère de l’Église (et de la Paix du monde) et que le Vicaire de Jésus-Christ mobilisent, d’urgence, comme d’un seul “cœur” : les fidèles disciples (prêtres et fidèles) de l’authentique et intégral Mystère pascal (ou Croix Glorieuse) et toutes les forces vives de l’Église (parmi les jeunes et anciens), pour la victoire de la Barque-Croix Glorieuse, pour la Victoire et le Règne du Christ-Roi, du Christ-Vérité-Voie-et-Vie, des cœurs et des peuples !

Il nous semble bien : le Mystère de “l’Événement-Message-Dozulé” se place nettement et divinement, dans cette céleste et terrestre mobilisation générale ; pour qu’advienne plus que jamais - car le temps presse, et la Charité du Christ presse ! - Ton Règne, ô Christ-Roi, ô Christ-Croix-Glorieuse “A.R.T.” ! Adveniat Regnum Tuum !

2°) - Et voici mon second menu-propos. En très bref, car les médias se sont chargés de fournir force détails et images sur “l’événement majeur et soudain”.

Il s’agit des événements de “l’Est”. En ce 13 novembre, où je conclus ma lettre, nous devons avant tout les attribuer à “l’Événement Fatima 1917” .sur la Russie…

Quel raz-de-marée a bouleversé d’un seul coup l’Est et l’Ouest européens !

Un colossal Empire, aux pieds d’argile, s’est, pratiquement, écroulé, de façon euphorique et non tragique, Dieu merci, et “Marie Merci !”

Tandis que “le Royaume-Église” du Christ-Roi et de Marie Reine (de Pologne, de Russie, de France), une Barque sans armes mais porteuse de toutes les âmes, a tenu et règne plus que jamais malgré tous les assauts du dehors et du dedans contre elle !

Mais, attention, Occident chrétien ! Église de l’Ouest ! ô Fille aînée de l’Église, ô Patrie privilégiée de Paray-le-Monial, de Lisieux et de... Dozulé !

Les vertigineux “événements qui s’en sont suivis “à l’Est” sont espérance (bénissons-les, le Christ-Roi et Fatima !). Mais ils sont aussi : crainte.

C’est l’heure de l’Église et de la Croix de Jésus Christ quand croule un Empire sans Dieu !

L’Église de Dieu et de la Croix Glorieuse, va-t-elle émerger et se dresser, dans toute la stature du Christ et dans toute la puissance de la Croix, comme le plus grand et l’unique Signe d’espérance et de paix d’un monde de Peuples secoués par de tels mouvements sismiques ?

Sans une conversion vraie et chrétienne de l’Est, sans une Conversion vraie et plus difficile que jamais de l’Ouest chrétien, les événements européens et mondiaux sont autant, et plus, de crainte que... d’espérance ! Que l’on pense à la Chine et à son revirement !...

Si sincère et providentiel que soit le “Cyrus” des temps présents, le Michel Gorbatchev, il n’est pas le maître des… lendemains...

Fatima veut que l’Église catholique aide ce “Cyrus” ! et aide puissamment le Cœur Immaculé, la Reine de La Paix à triompher des vrais virus et vraies peurs et craintes que sont les péchés d’un monde soi-disant chrétien...

En TF1, hier 12, dimanche soir, les informations et images idylliques et euphoriques du raz-de-marée de la liberté se terminaient sur les… affrontements violents en U.S.A. entre les partisans héroïques du respect de la vie dès sa conception et les partisans de l’avortement. (Vatican II qualifie l’avortement de “crime abominable” au même titre que l’infanticide. (Constitution Gandium & Spes n° 51 § 3)

Oh ! Ce “cri, silencieux” qui ne cesse de monter, de crier vers le Ciel ! ! !...

C’est l’heure plus que jamais de l’Église héroïque d’un Jean-Paul II !

Les maux et problèmes cruciaux à “l’horizontale” ne peuvent être guéris et palliés que par la ... verticale, que par la Grande Croix Glorieuse révélée et décrétée par le Maître et Seigneur !

 

Aux grands maux, les grands remèdes

De Grâce, que l’Église permette au Fils de l’Homme

d’achever dans l’homme la Victoire de la Croix !

et qu’au NOM de JÉSUS tout genou fléchisse sur la terre et dans les cieux !

 

Chers pèlerins de la Croix Glorieuse, cette conférence nous a surtout fait prendre conscience d’une chose : de la grâce spéciale et précieuse qui nous a été donnée, à vous et à moi, “d’avoir foi. aux paroles qui “sont sorties de la bouche de Madeleine”. Je viens de citer une parole de Jésus et Madeleine, en 26ème apparition.

Je ne saurais mieux conclure cette conférence, cette découverte, cette méditation, qu’en laissant la parole - textuellement - à Jésus et à Madeleine, aux deux paragraphes principaux de cette 26ème app de Vendredi 14 mars 1975 (en plein cœur du Carême) :

1°) Jésus sourit à Madeleine et dit :

“Persévérez, Madeleine, dans la prière, le jeûne et l’abstinence ; persévérez sans craindre les railleries et les médisances qui vont s’élever contre vous, car peu ont foi aux paroles qui sont sorties de votre bouche, mais le prêtre peut témoigner que sur votre visage se reflète la Présence Invisible. Après ces jours de jeûne, vous aurez la charge d’une lourde tâche.”

Chers Amis, heureux est-il ce prêtre, l’abbé L’Horset d’avoir été un témoin privilégié ! Dans son nouveau poste d’obéissance, à plus de 80 km de Dozulé, il vit toujours en, son cœur sa grande grâce spéciale d’avoir été le prêtre-témoin, et d’avoir partagé avec Madeleine, la charge d’une lourde tâche, et de la partager toujours !

2°/ Écoutons maintenant ce vibrant témoignage, que la voyante et prophète a écrit le soir même de cette 26ème app. :

“Le Seigneur a souri et a disparu,

Son regard est plein de bonté, d’une douceur inexprimable, personne n’a un regard comme celui-là, limpide, plus limpide que le regard d’un enfant. Son visage est sans rides, pourtant les traits sont marqués. Il parait avoir une trentaine d’années. En le voyant, on a l’impression qu’il est à la fois Chair et Esprit et quel Esprit ! Pureté, Limpidité, Sainteté transparaissent à travers tout Son Corps. Quand Il parle, Il ne cherche pas, ne se trompe jamais n’hésite jamais, pur et clair comme la Croix que j’ai vue, clarté sans ombre, fraicheur sans rides, limpidité sans tache. Impossible à exprimer, que ma joie intérieure lors de la communion où j’ai ressenti pour la première fois Sa présence.”

Ah ! chers Amis, quand nos Communions et visites au Saint-Sacrement sont arides, lisons et goûtons les deux vivants textes cités. Et s’il plait à Dieu, nous goûterons, expérimenterons à notre tour - et pourquoi pas les mains croisées sur la poitrine ? - l’indicible JOIE qu’a Jésus d’être AVEC nous, et de nous PARLER de Sa CROIX et de nous charger... de LA porter !

En tout cas, que les Alléluia de nos Messes et Communions et de notre foi Dozuléenne, montent vers le Seigneur ! Et que nos visages et paroles reflètent l’Invisible Présence du vivant et vibrant Cœur de .Jésus qui est “l’ÉVÈNEMENT de DOZULÉ !” Pour que monte au plus tôt, entre terre et ciel, la Grande Croix Glorieuse, qui sera pour la plus grande Gloire de Dieu et la plus grande paix des hommes, ce qui fera l’objet de notre prochaine conférence d’Avent.

 

Du Rêve à la Réalité ?

 

Tout au long de sa biographie, Don Bosco relate ses “songes” ou “rêves” qui ont fait couler beaucoup d’encre depuis un siècle. Dans un livre paru en 1838 (puis en 1939) Don Lemoine, Don Amadéi et Don Céria en ont relaté environ cent-vingt. Ces “songes” que l’on qualifierait de prémonitoires aujourd’hui, Don Bosco en les commentant a invité à une sage réserve : “On dit qu’il ne faut pas s’occuper des rêves : je vous dis que, dans la majeure partie des cas, je suis moi aussi de cet avis. Parfois cependant, bien qu’ils ne nous révèlent pas des choses à venir, ils servent à nous faire connaître comment dénouer des affaires très embrouillées et à procéder en diverses occasions avec une véritable prudence. Il est alors permis d’en tenir compte, pour ce qu’ils offrent de bon...”

Dans les notes de son autobiographie, le Père Francis Desramaut précise utilement : “Même attitude affirmée en 1885, trois ans avant sa mort. À cette époque Don Bosco parlait d’expérience. Il a toujours affirmé d’ailleurs avoir été providentiellement guidé par de tels rêves soit dans la fondation de son œuvre, soit dans son orientation. Souvent il en racontait, soit qu’ils aient été réels, soit qu’il se servît d’un “genre littéraire” pour la formation spirituelle ou pédagogique de ses collaborateurs ou de ses enfants. Il est certain que, aussi bien la théologie, qui a à se pencher sur bien d’autres cas semblables présentés dans l’histoire de la sainteté chrétienne, que la psychologie et l’investigation du subconscient ont leur mot à dire en la matière. Homme de Dieu, Don Bosco savait lui, que le Seigneur a mille façons de guider ses apôtres.”

 

 

Le “songe” le plus connu de Don Bosco est celui des trois blancheurs :

·        L’Eucharistie : la célébration des Mystères du Christ-Sauveur. Don Bosco invita à la Communion précoce et fréquente des jeunes, allant ainsi à l’encontre de la rigueur janséniste qui prédominait alors chez les braves curés piémontais. En France, Mgr de Ségur œuvrait dans la même direction. Il faudra attendre 1908 pour que PIE X exige que les tout-petits s’agenouillent à la Table- Sainte.

·        La Vierge Marie : “c’est elle qui a tout fait, elle est le secours des chrétiens”, disait-il.

·        Le Pape qui était son ami et qui lui demandait de prier fréquemment pour lui.

DON BOSCO Souvenirs autobiographiques - Ed Médras Paul

 

Saint Jean Bosco qui mourut en 1888 fit construire une grande Basilique en l’honneur de Marie Secours des Chrétiens à Turin en Italie. Parmi d’autres caractéristiques, il y a deux coupoles représentant des silhouettes d’anges. Chaque ange porte une bannière. Sur l’une d’elles se trouve la date de la “BATAILLE de LÉPANTE 1571”. L’autre ange porte une bannière avec la date non précisée de 19 - - (les deux derniers chiffres sont en blanc).

Saint Jean Bosco avait vu dans un songe prophétique que le village de Lépante avait été sauvé des Musulmans (qui menaçaient toute la civilisation catholique) grâce à l’intervention de la Sainte Vierge Marie, intervention obtenue grâce à la récitation du Rosaire.

Saint Jean Bosco eut aussi songe qu’avant que le XXème siècle ne s’achève, il y aurait un événement parallèle à la Bataille de Lépante, grâce à une nouvelle intervention de la Sainte Vierge par la récitation du Rosaire.

13 ans avant la fin de 19 - - : nous y sommes. Le Pape Jean-Paul II a déclaré cette Année Mariale de 15 mois, dont l’ouverture le 6 Juin 1987 lui permit de dépasser tous les précédents taux d’écoute en mondovision grâce aux satellites, par une “récitation mondiale du Rosaire” à travers tous les continents de notre planète. “Comme Marie a dû sourire !”…

 

Note :

Le 11 février 1988 (Fête de Notre-Dame de Lourdes) le Saint Père nommait le premier “Salésien de Don Bosco” français Monseigneur Pierre PICAN, Évêque de BAYEUX-LISIEUX

“Réjouissez-vous, car le temps est proche où le Fils de l’Homme reviendra dans la Gloire. Réjouissez-vous, réjouissez-vous sans cesse dans le Seigneur. Que votre joie soit connue de tous les hommes à cause des Paroles que vous venez d’entendre, à cause de Mon Nom.” (14ème app.)

 

 

Votre Religieux le 13 Novembre 1989

Père Constant DEROUARD (MSM)

 

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