8ème JOUR

 

« NEUVAINE DE PRIÈRES »

 

DIMANCHE 25 FÉVRIER 1990

 

DOZULÉ

 

« SI SCIRES DONUM DEI »

« Si tu savais le DON DE DIEU...» (qu’est Dozulé)

 

 « ET SI SCIRES QUIS EST...»

« Et si tu savais QUI EST CELUI qui te parle...» (à Dozulé)

 

Chers pèlerins de la Croix Glorieuse, c’est un 31 Janvier 1990, en la fête de Saint Jean Bosco, que je prends la plume pour le 8ème Jour de votre Neuvaine de Prières et de montées à Dozulé :

Ce sera un 25 Février, un 8ème Dimanche de Temps Ordinaire.

Cette 8ème montée, je la place sous le thème et titre :

“SI SCIRES DONUM DEI !” (Jean 4, 10)

“Si tu savais le DON DE DIEU”

Avec comme sous-titre :

“SI SCIRES QUIS EST…”

“Si tu savais QUI EST ... CELUI qui te parle”

Cet épisode évangélique de “l’eau vive” et de la Samaritaine, qui ne le connaît ? Et on ne se lasse pas de le savourer...

Pour se rendre de la Judée en Galilée, Jésus doit traverser la Samarie en passant près du “puits” - dit de Jacob - qu’alimente une source d’eau vive... La fatigue et la soif poussent Jésus à s’y arrêter et à demander à une Samaritaine venue y puiser de l’eau : donne-moi à boire !”

La femme est stupéfaite de voir ce “Juif” parler et demander ainsi un service à une Samaritaine, une quasi païenne pour les Juifs.

Mais d’emblée, ce “Jésus” transpose et transcende cette question d’eau et de soif en greffant sur elle la “Bonne Nouvelle” qu’IL est : “(Femme) si tu savais le DON DE DIEU !”, et que Je suis la vraie EAU VIVE que Dieu donne au monde.

“Si tu savais qui est Celui qui te dit : “Donne-moi à boire !”, c’est toi qui l’en aurais prié, et Il t’aurait donné de l’Eau vive”...

Et d’emblée, à “mon tour”, chers Amis, je transpose ces deux paroles d’or : “Si tu savais le don de Dieu !” et “Si tu savais qui est Celui qui te parle !” je les transpose du clavier-Évangile au clavier-Dozulé.

Oui, tout de suite, ma foi dozuléenne va vous dire, en une toute première réflexion, pourquoi j’ai choisi ce texte de Saint Jean, ces deux paroles d’or, comme titre et sous-titre de toute cette présente conférence.

PREMIÈRE RÉFLEXION

“Si tu savais”, ô toi, chrétien, qui que tu sois ; toi qui te dis disciple de Jésus de Nazareth et du Calvaire, de ce Calvaire d’où découle - à l’insu des trois quarts de l’humanité - depuis près de 2000 ans, un fleuve d’Eau Vive et de Vie éternelle qui irrigue les peuples et les siècles ; “Si tu savais le don de Dieu” qu’est pour toi et pour le monde entier, et pour ces temps qui sont nos temps, qu’est : “l’Evénement-Message-Dozulé” !

Et “si. tu savais”, ô chrétien, et toi aussi, et toi surtout, mon frère non chrétien, pour qui Jésus de Nazareth et du Calvaire est un inconnu, ou un très mal connu, “si tu savais qui est” Celui qui est apparu et a parlé à Dozulé (de 1972 à 1978), justement pour être mieux connu et plus aimé de toi, ô chrétien, et pour être, sans plus tarder, connu et aimé de toi, ô mon frère incroyant et non-chrétien !

Et toi, le confident de ce Jésus de l’Évangile et de la Croix, toi le fidèle, toi le prêtre, le convive de ce Jésus “si tu savais ce don de Dieu” : Dozulé, ce Grand Signe du Fils de l’Homme, cette Grande Croix Glorieuse, ce “grand pardon” de Dieu, ces grands bras de la Tendresse infinie ouverts à tous !

Et “si tu savais, ô homme de Dieu, qui est Celui qui a parlé” publiquement à Madeleine, et donc à toi, pour que tous sachent Dozulé ; si tu savais, ce moderne Aimant Divin qui attire toute misère !

Dites-vous bien : Si vraiment DOZULÉ était de Dieu, et Projet de Dieu, DOZULÉ serait alors, par sa Croix et son Sanctuaire : un nouveau et suprême “PUITS DE JACOB” et la nouvelle et suprême “SOURCE DES RENCONTRES” desquelles le Cœur de Dieu brûle, entre Celui qui a parlé à la Samaritaine, et toutes les innombrables “âmes Samaritaines” du grand Peuple de Dieu 1972, et 1990... ! ! !

Ô Eglise d’aujourd’hui, et toi, ô monde de péchés et de détresses, “si tu savais”, si tu pouvais goûter ce suprême “don de Dieu” - ultime peut-être ! - “ce projet de Dieu”, cette Croix Glorieuse qui, par elle-même et par son sanctuaire de Célébrations et de Réconciliations, serait le céleste et ecclésial et efficace instrument nouveau et moderne de la grande et universelle Miséricorde ! !

Ô Église, instrument et ministre de ma Rédemption, et de ma Croix Glorieuse, “si tu savais” “qui est celui” qui te parle à Dozulé, à toi et au monde entier ! Or, tu as toute “grâce dogmatique” (48ème app.) pour savoir, et toute Autorité pour faire savoir !

Ô Mon Épouse, “Si tu savais” quelle soif des âmes brûle le Cœur de Celui qui te demande : “Donne moi à boire”, donne-moi les âmes, donne-moi cette Croix voulue par mon Père le premier, et pour cause ! Donne-moi cette CROIX par laquelle J’attirerai, et toi-même avec Moi, attirera

TOUT À MOI ET AU PÈRE !

“Si tu savais”, ô mon Épouse bien-aimée, tu serais la première au monde à “M’en prier”, à Me demander : “ô Croix Glorieuse, Amen, viens Seigneur Jésus, Maranatha(Apoc. 22, 20 et 1 Cor. 16, 22 et l0ème app. de Dozulé) ! Tu serais la première à Me dire :

OUI et MERCI !

Soit dit pour ma première réflexion.

DEUXIÈME RÉFLEXION

Voici ma deuxième réflexion qui va se rapporter à la fête même de ce 31 Janvier.

Saint Jean Bosco, cet extraordinaire apôtre et pédagogue de la jeunesse, de celle surtout qui a le plus besoin de la tendresse de Jésus et de Marie et de Mère de l’Église et des prêtres, est des plus sympathiques à l’Église universelle, plus encore en nos années 1988-1990 que dans les années 1888 où il s’éteignait !

Dieu sait, si ce Saint moderne doit être sympathique au nouvel Évêque de Bayeux-Lisieux (Dozulé), qui était Religieux de son Œuvre Salésienne, et qui œuvrait déjà dans ce diocèse, à Caen avec un zèle remarqué.

Si vraiment Dozulé est du Ciel, ce Saint Jean Bosco, d’un seul cœur avec Notre-Dame Auxiliatrice, doivent être l’un et l’autre, - et Thérèse de Lisieux avec eux - doivent être de célestes avocats pour la Cause de Dozulé, et pour que le rêve, le projet du Père Céleste devienne réalité, pendant qu’il est encore temps !

Moi qui aime tant, et Saint Jean Bosco et Dozulé, je me dis : le grand Saint doit être “dans son 31” au Ciel pour souffler à l’oreille du Pasteur, du “Supérieur” : ô mon fils, si tu savais Dozulé, ce don de Dieu, et si tu savais ( qui te parle à Dozulé !...

Peut-être, dans votre sagesse d’en-bas, trouvez-vous extravagante une Croix qui monterait si haut dans le ciel ! !

Mais, nous, d’en-Haut, nous ne pouvons que bénir l’infinie Sagesse du Très-Haut, de ce qu’Il a jugé bon et juste que la terre (l’Église, l’homme) en vienne enfin à exalter, à glorifier le Fils de l’Homme, le Très-Haut Fils de Dieu, en proportion des extravagances et folies divines d’Amour de son Incarnation et de Sa Crucifixion !

D’en-Haut, en pensant à la terre, à l’Église militante, il nous paraît que plus tôt ce Signe de contradiction, ce Signe du Fils de l’Homme qu’est la Croix de Jésus-Christ, sera élevé glorieusement et hautement sur le monde, et plus tôt il sera la Lumière des Nations, (Lumen Gentium).

À l’occasion de “Son 31”, Saint Jean Bosco en son Ciel doit sourire de ce qu’un simple petit Religieux de l’Église enseignante se soit plu à prêter à l’Église d’en-Haut de telles paroles ... !

Chers Amis, en fin de cette réflexion “salésienne” il me plaît encore de souhaiter une chose, une chose mariale :

Monseigneur Pican ayant été promu Évêque un 11 Février de Notre-Dame-de-Lourdes, j’aime à penser, qu’au moins dans le diocèse de Bayeux-Lisieux, il sera fait mémoire de Notre-Dame-de-Lourdes. Car, en “Prions en Église” sous prétexte que ce 11 tombe un Dimanche je ne vois aucune mention de Notre-Dame-de-Lourdes ! ! Vous me direz, bien sûr, que la piété mariale des prêtres inspirera leur homélie du 11...

Chose certaine, le Pape qui, un 11 Février, a nommé Monseigneur de Lisieux-Bayeux (Dozulé) porte en son blason une Grande CROIX et un M...

C’est heureux que dans votre montée priante vers la Haute-Butte, en passant par le petit oratoire marial d’entrée, et au pied de la Croix, spontanément monte vers Jésus et Marie une fervente prière, et pour Monseigneur et pour Madeleine !

Et maintenant mes réflexions ou menus-propos - plus ou moins menus ! - aussi bien dans cette conférence que dans la 9ème et dernière de la Neuvaine vont porter sur deux questions :

1°) Pourquoi Dozulé ? Cette “action directe” de Jésus ?

2°) Pourquoi une si grande Croix décrétée par Jésus, et demandée à l’Église ?

Mes ferventes réflexions à partir de cette 3ème d’aujourd’hui, et par toutes les réflexions que je réserve pour le 9ème Jour, vont être d’humbles essais de réponses à ces deux questions.

TROISIÈME RÉFLEXION

POURQUOI “DOZULÉ” ?

Pourquoi le Père Céleste aurait-Il, de façon inattendue en 1972, décidé cette “action directe” du ciel, une action engageant et le Père et le Fils et l’Esprit-Saint ? et une Action engageant l’Église militante ?

À partir de l’Événement du 28 Mars 1972 (la première apparition de la Grande Croix lumineuse) et de tout le Message de Dozulé (1972-1978) ; pratiquement à partir du récit par Madeleine et de ses cahiers, rédigés ponctuellement sous dictée de Jésus, le plus souvent, et sous transcription, sur le champ, par des Religieuses, des Paroles que Madeleine prononçait tout-haut de la part du céleste Visiteur, il est légitime et possible à de simples esprits religieux, sans être de grands clercs, mais pourvu qu’ils soient des esprits et des cœurs non fermés d’avance, mais ouverts d’avance à des “révélations privées sérieuses” (qui ont vite fait de susciter sur le champ une attention sérieuse de l’Église, ne serait-ce que dans la personne d’un prêtre témoin, et judicieux surnaturellement) je dis qu’il est légitime, même à des sans-grades, et même avant une réponse définitive de l’Église officielle, pourvu qu’il y ait un sincère et filial respect des ordonnances officielles de l’Évêque du lieu relatives à la Discipline publique à observer par les prêtres et fidèles “sur les lieux” ; oui, je dis qu’il ne leur est interdit, ni par Vatican II, ni par le nouveau Code canonique, de se pencher en vrai fils de l’Église et en communion de l’Église et de l’Esprit-Saint, (de l’Esprit de Discernement), sur un Message et texte tel que Dozulé qui n’est pas clandestin mais bien connu, et qui n’est pas un livre fermé, mais un livre ouvert à tous.

Si “l’Evénement-Message-Dozulé” est parole de Dieu, il n’est pas à mettre dans un tiroir ! On n’enchaîne pas la Parole de Dieu !

Et quand il s’agit d’un Message d’une telle portée, d’un tel enjeu pour le Destin du monde, d’un tel enjeu pour la Gloire de Dieu, pour la Gloire de la Croix du Christ-Rédempteur, et pour le salut des âmes, le travail de “discernement des esprits” (Dozulé est-ce esprit de Madeleine ? Est-ce l’Esprit-Malin ? ou est-ce.., l’Esprit de Dieu ?) est un des plus urgents apostolats et besognes de la part de l’Église pastorale !

Et celle-ci, justement, ne peut pas s’offusquer, mais ne peut au contraire que se réjouir, quand au sein du Peuple de Dieu : de simples prêtres, de simples religieux, très soucieux d’être fidèles au texte (tel que présenté et défendu par Madeleine, la première responsable et concernée), et fidèles aux textes des ordonnances épiscopales officielles, s’expriment, selon leur grâce particulière, à titre de conseillers religieux des consciences près de petites âmes attirées, de toutes parts et spontanément, par ce don et pardon de Dieu qu’est le Message et Croix Glorieuse de Dozulé, et qui ne demandent (ces prêtres et religieux) qu’à s’exprimer près des Pasteurs et Évêques en tout esprit de communication.

Ne peut-on pas dire, lorsque surtout il s’agit de “révélations privées” (bien entendu sérieuses, c’est-à-dire, examinées par l’Église) que l’Autorité de l’Église, dans son travail de discernement n’a rien à gagner à être autoritaire, mais a tout à gagner à se montrer, si j’ose dire, démocratique, respectueuse de la “voix du peuple” de Dieu !

“L’Esprit (de Dieu) souffle quand Il veut et où Il veut”. Et Il demande à l’Église que nous sommes tous, mais surtout à l’Église dogmatique et pastorale :

“N’éteignez pas l’Esprit, mais discernez(1 thess. 1, 6 ; 4, 8), c’est-à-dire : “n’empêchez pas l’Esprit de produire ses fruits” (1 thess. 5, 19), Mais plutôt :

rendez grâce à Dieu pour l’action sanctifiante de l’Esprit” (2 thess. 2, 13)

Cette 3ème réflexion de ma part revient à dire :

En pensant à la “révélation privée dozuléenne”, et aux “révélations privées en général” qui se vivent de nos temps, et à leur emprise ou audience sur les âmes en Église d’aujourd’hui, et en pensant tout en même temps à l’Évangile du Puits de Jacob, à l’audience et prise immédiate de Jésus sur l’âme de la Samaritaine, alors qu’Il aura si peu d’emprise, ce Jésus, sur les prêtres et Docteurs de la Loi, ne peut-on pas dire, sans, vice de ma part :

...de nos temps encore, Jésus, en Église, aurait-Il beaucoup plus d’audience et de chance près des “âmes samaritaines” que près de nos Docteurs en Israël, tant il est vrai que ceux-ci, dans l’affaire de Dozulé particulièrement, traitent comme des Samaritains, comme des “hors communion de l’Église” - et cela prématurément sans un examen sérieux et prolongé des dossiers et des fruits authentiques de Dozulé - les âmes qui sont gagnées tout de suite, dans leur conscience de pécheurs et de pécheresses, par le message de la Croix dozuléenne du repentir, et qui tout de suite, sans fausse honte ni respect humain se font, comme la Samaritaine, les messagères et apôtres du Message et de ses fruits ?...

Chers Pèlerins de la Croix Glorieuse et de la 8ème montée, puisez réconfort et confiance dans le lumineux évangile qui vous accompagne aujourd’hui : “Si tu savais le Don de Dieu - qu’est DOZULÉ - et Celui qui te parle en ce Message !”

Et puisez réconfort et enthousiasme dans le comportement spontané et empressé de la Samaritaine, cette messagère de la Bonne Nouvelle.

En cette 8ème montée, priez la Croix Glorieuse de Dozulé avec toujours plus d amour pour Elle, et pour l’Église et ses Pasteurs !

Pour ne pas vous fatiguer, votre Conseiller religieux arrête là pour aujourd’hui son entretien...

Il s’apprête à vous entretenir pour votre 28 Mars 1990, pour votre 9ème montée de la Neuvaine, par des propos les plus concrets sur les pourquoi de Dozulé et de sa Grande Croix Glorieuse, et sur les bienfaisances incalculables de cette “révélation privée” dont l’Église aurait bien tort de se priver, alors que “la révélation-Dozulé” est toute, pour le plus grand réconfort de l’Église et pour le plus grand Salut des âmes et du monde ! Soit dit : aussi bien pour d’autres “révélations privées” en nos temps, et mariales, celles-là...

Ô vous, chers Pèlerins de la Croix Glorieuse, vous qui savez et goûtez le “Don de Dieu” : “Dozulé”, priez pour l’Église et le monde.

À l’heure où une telle turbulence de peuples souffle sur l’Est de l’Europe, et sur le Moyen-Orient et l’Extrême-Orient, sur l’avenir de l’Europe et de la paix mondiale, et à l’heure où après la sècheresse catastrophique souffle sur la France un vent catastrophique, ce n’est pas le moment pour l’Église de se priver, et de priver le monde de cette “révélation privée Dozulé”, et “de laisser dormir à l’ombre d’un tiroir ce Message”, alors qu’il doit être “Vérité et Lumière pour le monde entier” (33ème app.).

Et alors qu’il se vérifie au jour le jour :

“Vous vivez le temps où chaque événement est le Signe de la Parole écrite” (28ème app.), de la Parole écrite dans les Évangiles sur les “derniers temps”, et de la Parole écrite dans le Message de Dozulé : “Vous vivez le temps (évangélique) où Je vous disais : “il y aura sur terre des bouleversements de tous genres...” (33ème app.) “Ne voyez-vous pas que le moment est venu (“de travailler pour faire élever la Croix Glorieuse”) à cause des phénomènes qui s’ensuivent”. (34ème app.).

Ô Eglise, ô monde “si tu savais le Don de Dieu, la Miséricorde, la protection, la paix de Dieu qu’est Dozulé, ce décret et secret de Salut, pour les temps que nous vivons et vivrons” ! l’Humanité ne trouvera pas la Paix, tant qu’elle ne connaîtra pas Mon Message et ne le mettra pas en pratique.” (36ème app.).

Chers Amis de la 8ème montée, je vous accompagne de tout cœur et de toute ma prière dans les Cœurs de Jésus et de Marie.

“VOS AMICI MEI ESTIS, SI FECERITIS QUÆ EGO PRÆCIPIO VOBIS”

“Vous êtes Mes Amis, si vous faites ce que Je vous commande”

 

Votre Religieux,

Père Constant DEROUARD (MSM)

 

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