« La France est toujours le Pays que
J’aime et chéris particulièrement »
JÉSUS
à Marcel VAN : (Vietnam : 1928-1959)
Jésus lui parlait depuis l’âge de sept ans. Religieux chez les
Rédemptoristes, il meurt à trente ans dans un camp communiste avec d’autres
religieux.
Daniel Ange
écrit de lui :
« VAN, c’est
la sainteté pour aujourd’hui. (...) La sainteté des pauvres, des petits.... À
la suite de Thérèse, le Seigneur t’a préparé, VAN, à accueillir la génération
2000. (...) Tu es un petit prophète, un maître spirituel pour notre temps... »
Prière
dictée par Jésus à Marcel VAN :
Jésus :
"Petit
enfant de Mon Amour, écoute, Je vais te dicter une prière, et cette prière, Je
veux que les Français me la récitent :
"Seigneur Jésus, aie compassion de la France,
daigne l’étreindre dans Ton Amour et lui en
montrer toute la tendresse.
Fais que, remplie d’Amour pour toi,
elle contribue à Te faire aimer de toutes
les nations de la terre.
Ô, Amour de Jésus, nous prenons ici
l’engagement de Te rester à jamais fidèles
et de travailler d’un cœur ardent à
répandre Ton Règne dans tout l’univers.
Amen ! "
"Ô Mon
enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que Je veux
entendre de leur bouche. Elle est sortie de Mon Cœur brûlant d’Amour et Je veux
que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, Mon enfant, Je
veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français."
"Mon
enfant, la France est toujours le Pays que J’aime et chéris particulièrement. J’y
rétablirai Mon Amour."
"En
contemplant la fleur, ta sœur aînée, (Ste Thérèse de L’Enfant-Jésus),
souviens-toi de prier pour que le Pays que J’aime et chéris particulièrement
ait le courage de se sacrifier pour le "Règne de Mon Amour."
"Pour
commencer à répandre sur elle Mon Amour, Je n’attends désormais qu’une
chose : que l’on M’adresse assez de prières. Alors, Mon enfant, de la
France Mon Amour s’étendra dans le monde. Je Me servirai de la France pour
étendre partout le Règne de Mon Amour."
(J’avais manifesté déjà ces
choses à une ou deux âmes, mais toi, mon petit enfant, tu les ignorais encore ;
c’est
pourquoi Je te les dis maintenant).
Mon enfant, J’aime beaucoup la France...
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