VERS UN
NOUVEAU SCANDALE DU SANG CONTAMINÉ
Les « sème-la-mort »
s’activent :
Après la
proposition déposée au le Sénat d’un projet daté du 8 juin 2012 sur
l’Euthanasie, voici que l’on va transfuser du sang contaminé
(Une fois n’a pas suffit !!!)
On nous avait promis le changement, mais ces hommes et femmes élus n’ont
pas besoin d’aller loin dans les études, il leur suffit d’appliquer ce qui
s’est décidé dans les ateliers occultes. Et nous n’en sommes qu’au début !
À peine désignée ministre de la santé du gouvernement Hollande-Ayrault, Marisol Touraine a annoncé son intention de mettre fin dans
les mois qui viennent à l’interdiction faite aux homosexuels masculins de
donner leur sang.
"On
peut et on doit revoir cette politique (...). La sécurité doit être assurée, il
n'est pas question de prendre le moindre risque en terme de transfusion mais le
critère ne peut pas être (...) l'inclination sexuelle", a-t-elle
déclaré, à l'occasion de la Journée mondiale des donneurs de sang.
Cette
annonce souligne avec force la nature mortifère et nihiliste de l’idéologie du
soi-disant antiracisme qui ravage notre pays depuis trop d’années.
Car enfin,
est-ce bien le rôle du ministre de la santé de prendre une mesure censée
réduire une discrimination ? Et depuis quand le don du sang serait-il
l’instrument du progrès de l’égalité ? N’a-t-il pas pour objectif de
soigner, de soulager ou de rendre la vie à des personnes malades, affaiblies ou
accidentées ?
Or les
faits sont têtus, n’en déplaise à Marisol Touraine.
En France,
entre 12 et 18% des homosexuels masculins seraient contaminés par le VIH,
contre 0,1% du reste de la population, selon les experts. Comment la ministre
peut-elle alors affirmer que « le critère de l'orientation sexuelle n'est
pas en soi un risque » ?
De plus, il
existe une période muette d’une dizaine de jours, entre le moment où la
personne a été en contact avec le virus et le moment où le virus circule dans
le sang et donc devient détectable. Une dizaine de jours pendant lesquels on ne
peut détecter le VIH dans le sang donné.
Or, à notre
connaissance, Marisol Touraine n'en a pas dit un mot.
Ainsi donc,
puisque par transfusion le risque de contamination par le VIH est de
100%, cela signifie que la ministre de la santé joue à la roulette russe avec
les malades, par idéologie.
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