ALERTE ! LES MICRO-PUCES DANS
LES MÉDICAMENTS,
ET LES
DANGERS TERRIFIANTS QUI Y SONT LIÉS !
Chers amis,
VOICI QUE COMMENCENT À PRÉSENT À
DÉBARQUER DES PILULES CONTENANT DES MICRO-PUCES RFID ACTIVES (donc, qui reçoivent mais aussi envoient des ondes et
des données à tout-va) !
LE MOUVEMENT A DÉBUTÉ AVEC LA MULTINATIONALE
PHARMACEUTIQUE MAFIEUSE, NOVARTIS… AUX USA NAZIS, BIEN ENTENDU. MAIS IL
SE POURRAIT FORT BIEN QU’IL SE PROLONGE CHEZ NOUS !!!
C’EST KODAK (une multinationale du cartel industriel mondialiste,
donc) QUI A INVENTÉ LA TECHNOLOGIE CONSISTANT À METTRE DES MICRO-PUCES DANS
LES PILULES. Ces micro-puces « se dissoudraient soi-disant dans
l’organisme »… ce qui, évidemment, n’est pas sans risque.
IL EXISTE D’AILLEURS DES DANGERS
TERRIBLES :
1) Nous savons que LES ONDES RADIOFRÉQUENCES ÉMISES
ET/OU REÇUES PAR LES PUCES RFID CASSENT LES HÉLICES D’ADN ET PEUVENT PROVOQUER
DES TUMEURS ET DES CANCERS
(cf.
et
http://www.antichips.com/cancer/index.html
Ce fait est trop peu connu, mais il mérite, avant toute
chose, d’être signalé lorsque l’on parle de soins de « santé » !
Le premier article ci-dessous, bizarrement, n’en parle même pas…
2) LES MICRO-PUCES CONTIENNENT DES MÉTAUX LOURDS ET NOCIFS POUR
L’ORGANISME. C’est
encore plus vrai dans le cas de micro-puces actives, qui contiennent une petite
batterie. Il va sans dire que des micro-puces dans l'organisme ne sont
absolument pas recommandées si l'on souhaite conserver la santé...
3) LE BUT RÉEL ET ÉVIDENT DE CES MICRO-PUCES NE
SERA DONC CERTAINEMENT PAS DE GARANTIR LA SANTÉ ET LES SOINS DU PATIENT (BIEN
AU CONTRAIRE !), MAIS DE FAIRE CONSOMMER DAVANTAGE DE MÉDICAMENTS AU
PATIENT, de façon médicalement imposée et dictatoriale si nécessaire, afin
de rapporter davantage d’argent à l’industrie putride !
4) CES « PILULES PUCÉES » PERMETTRONT
« L’OBSERVANCE OU LA COMPLIANCE PHARMACEUTIQUE », C’EST-À-DIRE DE
FORCER LE PATIENT À PRENDRE SON MÉDICAMENT, QU’IL LE VEUILLE OU NON !
Suppression des libertés, encore et toujours… et ce
concept ignoble est déjà présent dans nos pays, notamment en France où des
multinationales pharmaceutiques ont déjà reçu l’autorisation des autorités
sanitaires pour cette observance/compliance pharmaceutique (cf. article 3
ci-dessous)!!!
5) CETTE TECHNOLOGIE PERMETTRA AUSSI À L’INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE DE "S’INTRODUIRE DANS LE DOMICILE DES PATIENTS"
(rappelons que certains scanners
peuvent capter les ondes RFID à plus de 10 mètres !) et
de recueillir des données privées qui pourront être utilisées dans des buts
commerciaux ou autres…
6) CE SYSTÈME POURRA NON SEULEMENT ÊTRE ÉTENDU AUX
HÔPITAUX ET AUX SOINS DE SANTÉ, MAIS AUSSI AU MONDE DE L’EMPLOI
(les employeurs scanneront
incognito leurs futurs employés afin de s’assurer que ceux-ci n’émettent pas de
données médicales provenant d’une pilule pucée), ET IL POURRA MÊME ÊTRE
UTILISÉ PAR… LA POLICE
(repérage des personnes
conduisant sous influence de médicaments ; repérage de personnes
suspectées de « terrorisme », etc.) !!! EN D’AUTRES TERMES,
CETTE TECHNOLOGIE EST DONC BIEN UNE TECHNOLOGIE QUI TUE LA VIE PRIVÉE ET LES
LIBERTÉS !
Enfin, et peut-être surtout, il faut signaler que LE
DANGER EST D’AUTANT PLUS RÉEL QU’IL EXISTE DÉJÀ, EN FRANCE PAR EXEMPLE, UNE LOI
QUI PERMET DE TRAITER CERTAINS PATIENTS DE FORCE, SANS LEUR CONSENTEMENT !
IL S’AGIT DE LA LOI TRAITANT DES
PATIENTS PSYCHIATRIQUES (voir
l’article 4, ci-dessous) !!! Ceci a été voulu par le Sarkonazi, qui
mélange désormais maladie mentale et criminalité, associe les malades mentaux
aux criminels, et qui supprime les libertés via des MESURES DE RÉPRESSION ET D’ÉTAT-POLICIER
(voire même de géolocalisation) !
Pire : CETTE LOI AMÈNE UNE INDUSTRIALISATION DU
SECTEUR DE LA PSYCHIATRIE, VOIRE DES SOINS DE SANTÉ (et historiquement, nous
savons que c’est l’industrie qui finança les nazis et leurs atrocités,
notamment au niveau « médical » avec les « anges de la
mort » et autres savants-fous des camps de concentration ! On risque
donc de retomber dans un scénario aussi effroyable que celui-là !).
ON PARLE MÊME DANS LA LOI DE « ZONES FERMABLES »
(= ZONES D’ENFERMEMENT OU DE DÉTENTION DES PATIENTS) !!!
APRÈS LES MALADES MENTAUX ET LES
PATIENTS EN PSYCHIATRIE, À QUI SERA-CE LE TOUR ? Les autres personnes malades ? Les
prisonniers ? Les écoliers, lycéens et étudiants ? Les jeunes des
banlieues ? Les Roms ? Les immigrés (légaux ou non) ? Les
chômeurs ? Les employés ?
CE QUE CECI SIGNIFIE EST DONC TRÈS
CLAIR : LAISSER CETTE TECHNOLOGIE ET CE SYSTÈME PUTRIDE ARRIVER CHEZ NOUS
CONSTITUE LA GARANTIE ABSOLUE QU’ON L’UTILISERA TÔT OU TARD CONTRE L’ENSEMBLE
DE LA POPULATION, COMME MOYEN DE CONTRÔLE GÉNÉRALISÉ, ET AVEC TOUS LES DANGERS
(SANITAIRES, ANTIDÉMOCRATIQUES, LIBERTICIDES, ETC.) QUE CELA COMPORTE !
Il est donc IMPÉRATIF que les populations exigent
UNE INTERDICTION TOTALE de ces puces RFID – à tous les niveaux - afin
qu’elles deviennent, au niveau européen et de par des lois inflexibles et contraignantes,
absolument illégales !
ÉVIDEMMENT, NE NOUS FAISONS AUCUNE
ILLUSION : IL FAUDRA BATAILLER FERME, CAR NOUS AVONS VU QUE L’U.E. EST
TOTALITAIRE ET BASÉE SUR DES PRINCIPES NAZIS, ET QU’ELLE DÉFEND LE CARTEL
INDUSTRIEL NAZI DES PRODUITS PHARMACEUTIQUES, CHIMIQUES ET PÉTROLIFÈRES !
MAIS À NOUVEAU, SANS SOULÈVEMENTS ET INSURRECTIONS
POPULAIRES INFLEXIBLES ET INTRAITABLES, ON NE PARVIENDRA À RIEN, ET LES
HORREURS SONT GARANTIES.
À bon entendeur…
Les 4 articles, ci-dessous :
BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET
BONNE MORT ! Vic.
P.S. :
Merci à la personne qui m'a signalé ces articles... elle se reconnaîtra.
ARTICLE 1 : http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=13218
L’INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE VA COMMENCER À INSERER DES MICRO-PUCES DANS DES MÉDICAMENTS
18 novembre 2010 | Auteur: Jo
L’ère du MICRO-PUÇAGE PHARMACEUTIQUE est maintenant devant
nous. NOVARTIS AG, L’UNE DES PLUS IMPORTANTES SOCIÉTÉS PHARMACEUTIQUES DANS LE
MONDE, A DEVOILÉ UN PROJET AFIN DE COMMENCER A IMPLANTER DES MICRO-PUCES DANS
DES MÉDICAMENTS DANS LE BUT DE CRÉER UNE TECHNOLOGIE DE « PILULE
INTELLIGENTE ».
La technologie de micro-puçage est BREVETÉE PAR PROTEUS
BIOMEDICAL à Redwood City, Californie. UNE FOIS ACTIVÉE PAR L’ACIDE DE
L’ESTOMAC, LA MICRO-PUCE INTÉGRÉE COMMENCE À DÉTECTER SON ENVIRONNEMENT ET À ÉMETTRE
DES DONNÉES À UN RECEPTEUR UTILISÉ PAR LE PATIENT. CE RÉCEPTEUR EST ÉGALEMENT
UN ÉMETTEUR QUI PEUT ENVOYER LES DONNÉES PAR INTERNET A UN MÉDECIN.
L’IDÉE DERRIÈRE TOUT CELA EST DE CRÉER DES « PILULES INTELLIGENTES »
QUI PEUVENT DÉTECTER CE QU’IL SE PASSE DANS LE CORPS ET DÉLIVRER CETTE
INFORMATION AU MÉDECIN DU PATIENT. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer
ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement
étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. CETTE
MÊME TECHNOLOGIE POURRAIT ÉGALEMENT BIENTÔT SE RETROUVER DANS DES PILULES
FABRIQUÉES PAR D’AUTRES SOCIÉTÉS PHARMACEUTIQUES.
Les meilleurs
programmes mis en avant…
En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de
NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de
questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, NOVARTIS NE
PRÉVOIT APPAREMMENT PAS DE RÉALISER DES ESSAIS CLINIQUES QUI POURRAIENT PRENDRE
EN COMPTE LES PROBLÊMES DE SÉCURITÉ LIÉS À L’INGESTION DE MICRO-PUCES. « Novartis
ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de
prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters.
« À la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de
bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. »
http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108
Mais j’ai une question : QUELS PRODUITS CHIMIQUES OU
QUELS MÉTAUX LOURDS SONT-ILS PRÉSENTS DANS LA MICRO-PUCE ELLE-MÊME ? Une
micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source
d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite BATTERIE OU un
genre de CONDENSATEUR. LES MATÉRIAUX UTILISÉS DANS LES CONDENSATEURS ET LES
BATTERIES, À MA CONNAISSANCE, SONT TOXIQUES POUR LE CORPS HUMAIN ET NE
DEVRAIENT JAMAIS ÊTRE AVALÉS.
LES MICRO-PUCES NE SONT PAS DE LA NOURRITURE, ET LE FAIT DE
LES AVALER SEMBLE DANGEREUX POUR VOTRE SANTÉ, PARTICULIÈREMENT SI VOUS INGÉREZ
PLUSIEURS MICRO-PUCES PAR JOUR.
La confidentialité
des données
Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui
transmettent des données concerne leur CONFIDENTIALITÉ. SI CES MICRO-PUCES ÉMETTENT
DE L’INFORMATION, ALORS CETTE INFORMATION PEUT ÉVIDEMMENT ÊTRE COLLECTÉE PAR
TOUT CE QUI SE TROUVE À PROXIMITÉ, Y COMPRIS ÉVENTUELLEMENT PAR DES INDIVIDUS
PEU SCRUPULEUX OU DES ORGANISATIONS QUI POURRAIENT EN FAIRE UNE MAUVAISE UTILISATION.
Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un
détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le
but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ».
Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de
déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits
pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.
DES AGENTS GOUVERNEMENTAUX POURRAIENT ÊTRE ÉQUIPÉS DE
« SCANNERS À MICRO-PUCE PHARMACEUTIQUE » QUI DÉTERMINENT QUELLES
PILULES VOUS PRENEZ EN CE MOMENT. CECI POURRAIT ÊTRE UTILISÉ AFIN DE VIOLER
VOTRE VIE PRIVÉE EN PARTAGEANT CETTE INFORMATION AVEC D’AUTRES AGENCES
GOUVERNEMENTALES OU MÊME EN LA VENDANT À UN TIERS, COMME DES SOCIÉTÉS DE
MARKETING.
JE DOUTE CLAIREMENT DU FAIT QUE LES DONNÉES TRANSMISES PAR
CES MICRO-PUCES DANS CES PILULES SERONT CODÉES CAR LE CRYPTAGE NÉCESSITÉ UNE VÉRITABLE
PUISSANCE DE TRAITEMENT, ET DANS CES TOUTES PETITES MICRO-PUCES, IL N’Y A PAS
VRAIMENT DE PLACE POUR UNE UNITÉ DE TRAITEMENT OU UNE SOURCE D’ÉNERGIE.
Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts,
non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.
Souvenez-vous de
prendre vos médicaments
MAIS LA PARTIE LA PLUS EFFRAYANTE À PROPOS DE CES
MICRO-PUCES MÉDICALES EST LE FAIT QUE CETTE TECHNOLOGIE SERA UTILISÉE AFIN DE
S’ASSURER QUE LES GENS PRENNENT BIEN LEUR TRAITEMENT. Les compagnies pharmaceutiques
perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients
qui oublient de prendre leurs pilules.
Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient
de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques
provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.
CETTE TECHNOLOGIE DE PILULE MICRO-PUCE INTELLIGENTE VA DONC
PROBABLEMENT ÊTRE UTILISÉE POUR TRAQUER LES PILULES QUE LES PATIENTS AURONT
PRISES AFIN QU’IL LEUR SOIT « GENTIMENT RAPPELÉ » DE PRENDRE LES ÉVENTUELLES
PILULES QU’ILS AURAIENT OUBLIÉES DE PRENDRE. DANS LE DOMAINE DU MARKETING, CELA
S’APPELLE UN « PROGRAMME DE CONTINUITÉ ». C’est un moyen destiné à
s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.
Dans ce contexte, LE MICRO-PUÇAGE DES PILULES PROFITE AUX
COMPAGNIES PHARMACEUTIQUES, MAIS PAS NÉCESSAIREMENT AUX PATIENTS. C’EST PARTICULIÈREMENT
VRAI LORSQUE L’ON CONSIDÈRE CES PRODUITS PHARMACEUTIQUES QUI SONT NOCIFS POUR
LA SANTÉ HUMAINE - ET NOUS SAVONS TOUS QUE LE MARCHÉ PHARMACEUTIQUE EST REMPLI
DE PILULES DONT ON A PLUS TARD DÉCOUVERT QU’ELLES ÉTAIENT EXTRÉMEMENT
DANGEREUSES VOIRE MORTELLES (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).
Le futur : les
scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des
employeurs
Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant
à propos de tout cela : LES EMPLOYEURS QUI RÉALISENT DES ENTRETIENS POUR
DES CANDIDATS À UN TRAVAIL POTENTIEL POURRAIENT ÊTRE CAPABLES D’ACHETER (OU DE
FABRIQUER) UN SIMPLE SCANNER À MÉDICAMENTS QUI DÉTECTE LA PRÉSENCE D’UN SIGNAL
DE TRANSMISSION D’UNE MICRO-PUCE PHARMACEUTIQUE.
CECI POURRAIT ÊTRE TRÈS UTILE POUR DES EMPLOYEURS QUI NE
SOUHAITENT PAS ENGAGER DES PERSONNES SOUS TRAITEMENT. Ils vous invitent pour un
entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission
médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données
médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et
« nous vous recontacterons ».
Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de
l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour
les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être
un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions).
Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette
technologie; Je dis juste que C’EST UNE MÉTHODE QUI SERA PROBABLEMENT UTILISÉE
PAR LES EMPLOYEURS AFIN D’ÉCARTER LES EMPLOYÉS QUI SONT SOUS TRAITEMENT.
LES POLICIERS POURRAIENT ÉGALEMENT UTILISER UN SCANNER
SIMILAIRE AFIN DE DÉTERMINER SI UN CONDUCTEUR SUR UNE SCÈNE D’ACCIDENT POURRAIT
ÊTRE AFFECTÉ PAR DES MÉDICAMENTS. Voilà une utilisation que je cautionne. Les
routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui
sont littéralement drogués aux médicaments. À propos, le problème est en fait
bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien
n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous
médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème
existe).
Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces
informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent,
dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple.
C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne
nécessite aucune action de la part du sujet test. LE POLICIER APPUIE SIMPLEMENT
SUR UN BOUTON, PATIENTE DEUX SECONDES, ET PEUT ALORS DÉTERMINER SI VOUS ÉMETTEZ
DES DONNÉES MÉDICALES. Jusque-là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté
de « conduite sous traitement ».
Une autre raison de
ne pas prendre de médicaments
Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses
et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques
à micro-puces. POUR CERTAINES PERSONNES, LES PROBLÈMES DE VIE PRIVÉE SONT LES
PLUS IMPORTANTS DE TOUS, CAR ÉVIDEMMENT, QUI SOUHAITE ÉMETTRE DES DONNÉES SUR
LE FAIT QU’IL PREND DES MÉDICAMENTS ?
Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et
la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les
médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de
trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. NE MISEZ PAS
VOTRE VIE (ET VOTRE VIE PRIVÉE) SUR LES PILULES DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE.
OPTEZ POUR UN MODE DE VIE HOLISTIQUE ET SAIN BASÉ SUR DES ALIMENTS BIOLOGIQUES,
NUTRITIFS, DE L’EXERCICE RÉGULIER ET LE REFUS DE TOUS LES PRODUITS CHIMIQUES
(SYNTHÉTIQUES) D’ORIGINE HUMAINE, et vous n’aurez probablement jamais besoin de
produits pharmaceutiques durant votre vie entière.
L’ÈRE DU MICRO-PUÇAGE DES PEUPLES ET DU MICRO-PUÇAGE DES MÉDICAMENTS
SE TROUVE DEVANT NOUS. Étant donné ce que fait
l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les
scanners corporels :
http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html
VOUS POUVEZ CLAIREMENT IMAGINER CE QUE BIG BROTHER FERA AVEC
VOS DONNÉES MÉDICALES QUE VOUS POURRIEZ ÉMETTRE DEPUIS L’INTÉRIEUR DE VOTRE
CORPS.
En fait, L’IDÉE MÊME D’AVOIR UNE MICRO-PUCE QUI ÉMET DES
DONNÉES DEPUIS L’INTÉRIEUR DE VOTRE CORPS POURRAIT VOUS FAIRE SIGNALER COMME
TERRORISTE POTENTIEL PAR LA TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des
parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur
nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie »
http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html
La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement
manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). NE DEVENEZ PAS UN
SUJET TRAÇABLE ET MICRO-PUCE DE L’INDUSTRIE MÉDICALE QUI SOUHAITE TRANSFORMER
VOTRE CORPS EN UN CENTRE DE PROFIT PAR PRODUITS CHIMIQUES.
Sources :
Article original : http://www.naturalnews.com/030341_microchips_drugs.html
Auteur : Mike Adams
Traduction : la-matrice pour Conspipedia
ARTICLE 2 : source : http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-kodak-invente-la-puce-rfid-a-avaler-433.html
KODAK INVENTE LA
PUCE RFID À AVALER
Edition du 01/03/2007 - par Dirk Basyn
Les laboratoires de Kodak viennent de déposer auprès de
l'Office des brevets américains (U.S. Patent & Trademark) pour une PUCE
RFID QUE L'ON PEUT INGÉRER AVEC UN MÉDICAMENT. Pour le fabricant américain,
cette PILULE « À ANTENNE » offrirait de nombreux avantages: on
pourrait, grâce à un scanner, suivre le cheminement de la potion dans le corps,
constater les interactions possibles avec d'autres médicaments, VÉRIFIER QUE LE
PATIENT A BIEN PRIS SON REMÈDE... ou n'en a pas abusé.
Bonne nouvelle tout de même, la puce devrait se
désintégrer au moment de la digestion.
Il y a tout juste un an, un médecin belge se proposait
d'implanter une puce RFID dans la bouche de ses patients afin de faciliter
l'identification des corps en cas d'accident ou d'attentat.
ARTICLE 3 : source : http://www.lemonde.fr/old-societe/article/2006/12/25/les-labos-veulent-entrer-au-domicile-des-patients_849190_3226.html#ens_id=824239
LES
"LABOS" VEULENT ENTRER AU DOMICILE DES PATIENTS
25.12.06 | 11h46 • Mis à jour le 25.12.06 |
12h23
PROGRESSIVEMENT, LES FIRMES PHARMACEUTIQUES S'INFILTRENT
DANS L'ESPACE PRIVÉ DES PATIENTS. LE GOUVERNEMENT S'APPRÊTE À AUTORISER LES
LABORATOIRES À DÉVELOPPER DES "PROGRAMMES D'AIDE À L'OBSERVANCE" à
destination des malades, afin de les inciter, par contact téléphonique ou
visite à domicile, à bien prendre leurs médicaments. Inséré dans un projet de
loi transposant une directive européenne sur le médicament, qui sera discuté le 11 janvier par l'Assemblée nationale, CE PROJET SUSCITE L'OPPOSITION DE LA REVUE MÉDICALE INDÉPENDANTE
PRESCRIRE ET L'INQUIÉTUDE DES ASSOCIATIONS DE PATIENTS. L'inspection générale
des affaires sociales a exprimé elle aussi ses réticences : dans un
rapport publié en septembre, elle affirmait que "dès lors qu'un programme
est initié par un laboratoire (...), il ne pourra pas échapper au soupçon de
biais en faveur des produits du promoteur".
PRATIQUES À GRANDE ÉCHELLE AUX ÉTATS-UNIS, LES PROGRAMMES
D'OBSERVANCE THÉRAPEUTIQUE ONT FAIT LEUR APPARITION
DISCRÈTE EN FRANCE, PROFITANT D'UN VIDE
JURIDIQUE. Depuis
Pour l'heure, ces programmes concernent des pathologies
chroniques (hypertension, sclérose en plaques...) et visent soit à apprendre au
patient un geste technique (comme une injection sous-cutanée), soit à l'inciter
à prendre son traitement de façon appropriée. Proposés au patient via son
médecin traitant, ces programmes ne sont pas directement dispensés par la firme
pharmaceutique mais par un prestataire payé par elle, comme une infirmière ou
une société d'assurance en cas de relance téléphonique.
Face à la multiplication des demandes des firmes, le
ministère de la santé a pris l'option de réglementer ces programmes, en
officialisant le contrôle effectué par l'Afssaps. "On s'est retrouvé devant le fait accompli, les programmes
d'observance existent, autant les encadrer plutôt que de laisser faire", explique-t-on dans l'entourage du ministre de la santé, Xavier
Bertrand. Signe des temps, les considérations économiques ne sont pas
étrangères à ce feu vert : "Quand des gestes techniques sont
difficiles à apprendre, est-ce à l'assurance-maladie d'endosser ce coût ou au
laboratoire d'assurer le "package" de la prise en charge de son
produit ?", s'interroge ainsi le ministère de la santé.
CES ARGUMENTS SONT LOIN DE CONVAINCRE CEUX QUI S'INQUIÈTENT
DE L'INFLUENCE CROISSANTE DES LABORATOIRES DANS TOUS LES SECTEURS DE LA SANTÉ.
POUR LA REVUE PRESCRIRE, LA POURSUITE D'UN TRAITEMENT MÉDICAL EST UNE AFFAIRE DÉLICATE
QUI NE PEUT ÊTRE DISCUTÉE QU'ENTRE UN PATIENT ET SON MÉDECIN ET NON CONFIÉE À
UN LABORATOIRE, JUGE ET PARTIE.
ACTEUR DE SANTÉ
"CES PROGRAMMES NE SONT QU'UNE NOUVELLE STRATÉGIE DE
PROMOTION DÉGUISÉE DES FIRMES, DOUBLÉE D'UNE FORME DE RÉTENTION DES
PATIENTS", dénonce le docteur Philippe Foucras, membre de Prescrire. La
revue dispose ainsi d'un témoignage d'un médecin dont une patiente suivait un
programme d'observance pour le Forstéo, prescrit contre l'ostéoporose. Quand
des vertiges sont apparus, le praticien a demandé à sa patiente de suspendre le
traitement quand l'infirmière payée par le laboratoire lui conseillait au
contraire de le poursuivre... La patiente a finalement changé de médecin.
Pour les militants de Prescrire, LES PROGRAMMES D'OBSERVANCE
NE POURSUIVENT QU'UN SEUL OBJECTIF : ACCROÎTRE LES PROFITS DE L'INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE. Selon un site d'information médicale anglais, les firmes
perdraient 30 milliards de dollars par an du fait des arrêts prématurés des
traitements. Le syndicat français des firmes pharmaceutiques, les entreprises
du médicament (LEEM), récusent pourtant l'argument : "Les programmes
d'observance sont réalisés dans un objectif de santé publique, pour que les
patients prennent bien leur traitement, non pour faire vendre plus de boîtes,
indique-t-on au LEEM. Notre éthique nous interdit de pousser à la consommation
au-delà de la posologie et des indications médicales."
Avec les programmes d'observance, c'est une place de
véritable acteur de santé que revendiquent les firmes pharmaceutiques auprès
des patients. CETTE ÉVOLUTION, si elle semble inéluctable à beaucoup, N'EST PAS
SANS INQUIÉTER : "Il y aura à l'avenir moins d'argent pour la santé,
donc les laboratoires vont s'imposer, analyse Christian Saout, vice-président
du Collectif interassociatif sur la santé (CISS) et représentant des usagers.
Il vaut mieux encadrer ce mouvement, mais pas à n'importe quel prix : nous
sommes pour l'aide à l'apprentissage des gestes techniques mais contre les
interventions psycho-sociales directes auprès des patients, qui doivent rester
de la compétence exclusive des professionnels de santé."
Cécile Prieur
ARTICLE 4 : source : http://www.jerpel.fr/spip.php?article306
NON AUX 3 P : POLICE, PSYCHIATRIE RÉPRESSIVE, PEUR
Analyse, réalisée par le service juridique de la Ligue des
Droits de l’Homme, du projet de loi pour la révision de la loi régissant
l’hospitalisation psychiatrique.
Novembre 2010
Par Jérôme P.
Ci-dessous, l’analyse, réalisée par le service juridique
de la Ligue des Droits de l’Homme, du projet de loi pour la
révision de la LOI RÉGISSANT L’HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE.
(Analyse reçue via le collectif Non à la Politique de la
Peur)
(Sur ce sujet, voir aussi : Si c’est un Homme :
Appel contre les soins sécuritaires.)
« Projet de loi relatif aux droits et à la
protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et à leurs
modalités de prise en charge » - Analyse critique et premières réponses :
DEPUIS LE 2 DECEMBRE 2008, DATE DU 1ER DISCOURS DU PRÉSIDENT
DE LA RÉPUBLIQUE SUR LA PSYCHIATRIE, LE GOUVERNEMENT AVANCE de manière opaque et cauteleuse VERS UNE RÉFORME À VISÉE SÉCURITAIRE DU SOIN PSYCHIATRIQUE. Un
texte intitulé « projet de loi relatif aux droits et à la protection des
personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et à leurs modalités de prise
en charge » est en voie de validation. Il est porteur de modifications de
fond annoncées à la loi du 27 juin 1990 (relative aux droits et à la
protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs
conditions d’hospitalisation).
CE TEXTE PRÉTEND ŒUVRER POUR LE BIEN DU PATIENT ET DE SON
ENTOURAGE, ET RÉAJUSTER LA LÉGISLATION SUR LES PRATIQUES PSYCHIATRIQUES DE LA
LOI D’INTERNEMENT. IL EST AISÉ D’Y LIRE UNE
ORIENTATION SÉCURITAIRE ET UN GRAND RISQUE D’HYGIÉNISME GÉNÉRALISÉ.
Ce projet de loi introduit diverses dispositions
nouvelles, dont essentiellement deux : le TRAITEMENT OBLIGATOIRE DANS LA
COMMUNAUTÉ ET LA POSSIBILITÉ DE RÉTENTION POUR ÉVALUATION
DE 72 HEURES DANS LE CADRE HOSPITALIER.
IL RÉORGANISE LE SOIN PSYCHIQUE AUTOUR DU « SOIN
SANS CONSENTEMENT », AVEC UN POUVOIR ACCRU DU PRÉFET ET DU DIRECTEUR D’HÔPITAL.
IL NE FAIT QUE RENFORCER LE PROCESSUS DE DURCISSEMENT SÉCURITAIRE AUQUEL NOUS
ASSISTONS DEPUIS DEUX ANS avec la création de 4 nouvelles Unités pour
Malades Difficiles et de chambres d’isolement supplémentaires, de ZONES « FERMABLES » et de la vidéosurveillance dans les
établissements, annoncées en décembre 2008 par Sarkozy, et qui sont déjà
réalisées ou en bonne voie de l’être.
De plus, la circulaire du 11 janvier 2010, confirmée de
fait dans ce projet, fait passer les psychiatres sous les fourches caudines des
préfets chargés de s’assurer de la compatibilité de la levée des mesures
d’internement avec les impératifs d’ordre et de sécurité publics.
Enfin, LE DIRECTEUR D’HÔPITAL, DE SON COTÉ, DEVIENT
OMNISCIENT PUISQU’EN CHARGE NOTAMMENT DE DÉCIDER DES SUITES À DONNER EN CAS DE
NON OBSERVANCE DU SOIN SANS CONSENTEMENT AMBULATOIRE.
Les « soins sans consentement », notamment ceux
hors hospitalisation complète, que propose ce projet de loi équivalent à une pieuvre faisant des lieux de soin, du domicile et des espaces
d’hébergement associatifs des ESPACES DE CONTRÔLE ET DE CONTRAINTE. La défense
sociale et la collocation à domicile ne sont guère loin. LES SOINS SANS
CONSENTEMENT EN AMBULATOIRE NOUS PLACENT AU CŒUR D’UNE SOCIÉTÉ DE SURVEILLANCE,
D’UNE « PSYCHIATRIE CRIMINELLE » VOULUE PAR LE CHEF DE L’ÉTAT
(DISCOURS DU 6 OCTOBRE 2009) ET FONT PLANER LA MENACE D’UN HYGIÉNISME GÉNÉRALISÉ.
MAIS, C’EST AUSSI UNE « PSYCHIATRIE INDUSTRIELLE » QUI SE DESSINE
AINSI, CONCEVANT LE PATIENT COMME UN OBJET DE SOINS SOUS TUTELLE (n’oublions pas la tutelle à la personne, mais aussi un certain
usage possible de la personne de confiance), COMPLIANT, MÉDIQUE ET GÉOLOCALISABLE.
Ajoutons que « soins sans consentement » est
une formulation qui consacre UNE FUSION AUTOMATIQUE ET POURTANT DISCUTÉE ET
DISCUTABLE ENTRE TRAITEMENT ET DÉTENTION OU LIMITATION
DE LIBERTÉ, AUX PLANS DU DROIT ET DE LA JURISPRUDENCE.
Ce projet de loi introduit également des modifications
diverses pour les HO et les HDT (Hospitalisations d’Office et sur Demande d’un
Tiers) censées convenir aux familles et aux psychiatres. Nous soulignerons plus
particulièrement qu’il prévoit un RÉGIME SPÉCIAL POUR les personnes en cas
d’antécédent d’internement en Unités pour Malades Difficiles, ou pour les
personnes déclarées pénalement irresponsables suite à des actes criminels. LE
FICHIER NATIONAL DES MALADES MENTAUX SERAIT AINSI DE FAIT LÉGALISÉ. Le pouvoir
en place souscrit toujours à la version initiale de LA LOI RELATIVE À LA PRÉVENTION
DE LA DÉLINQUANCE (Loi n° 2007-297 du 5 mars 2007) ASSIMILANT MALADES MENTAUX ET CRIMINELS. Quels que soient l’histoire de l’aliénation mentale et les
faits divers tragiques, surexploités par les grands médias et bon nombre
d’hommes politiques, la dangerosité n’est pas une particularité de la maladie
mentale. Plus encore, ON FAIT DU FOU UN INDIVIDU DANGEREUX comme virtualité
d’actes délictueux ou criminels, ET ON DONNE A LA SOCIÉTÉ DES DROITS
POTENTIELLEMENT REDOUTABLES SUR CET INDIVIDU à partir de ses variables pathologiques et non de ses actes.
La sortie de ces patients internés par décision du
préfet, ne pourrait être recommandée que par un collège de 2 psychiatres
et d’un cadre de santé (rappelons-le sans pré-requis de compétence spécifique
en psychiatrie et qui est mis en place ici comme sbire du directeur). Il s’agit
là d’une illustration supplémentaire de la POLITIQUE ACTUELLE SYSTÉMATIQUE D’ÉCRASEMENT
DES PROFESSIONNALITÉS (qui vaut également dans les milieux de l’enseignement,
de la justice, etc.).
Ce projet de loi qui nous est présenté relève donc d’une
préoccupation sécuritaire, bien qu’il prétende être sanitaire, et prétend
légaliser un état donné, perverti, des pratiques psychiatriques. Il s’inscrit
bel et bien dans la lignée de contre réforme ayant la
volonté d’éradiquer plus de cinquante ans d’évolution d’une psychiatrie portée par l’exigence de la qualité de malade et de sujet de
droit du patient psychiatrique dans le cadre de la politique de secteur.
NOTRE PROTESTATION RADICALE CONTRE CE PROJET DE LOI NOUS
PERMET EN MÊME TEMPS UN RAPPEL DES PRINCIPES DÉMOCRATIQUES ET TECHNIQUES QUI
NOUS ANIMENT.
LES MESURES DE CONTRAINTE SANITAIRE À LA PERSONNE NE
PEUVENT ÊTRE FONDÉES SUR LA DANGEROSITÉ SOCIALE – PIERRE ANGULAIRE DES LOIS
LIBERTICIDES DITES DE « TOLÉRANCE ZÉRO » CRIMINALISANT LES
« FOUS », LES SDF, LES JEUNES (SURTOUT DE BANLIEUE) etc.-, mais sur
l’état de nécessité clinique. Toute loi dont le propos relève d’une contrainte,
même de soins, doit être une loi de
protection de la personne et non une loi de police donnant lieu à une mesure de sûreté sous la houlette du préfet.
Le recours à toute privation de liberté nécessite la supervision et l’aval de
la justice en matière de protection des citoyens. La législation psychiatrique
ne doit plus être une législation d’exception. Il s’agit de répondre à l’état
de nécessité de soin psychiatrique dans le cadre du droit commun. En aucun cas,
la décision, l’application et la
gestion d’une telle disposition ne peuvent relever du préfet. Nous ne voulons pas de « soins sans consentement »
qui soit une mesure de sûreté, qui plus est
administrative.
NOUS DÉNONÇONS L’EXPLOITATION POLITIQUE À DES FINS SÉCURITAIRES
DE LA SOUFFRANCE DES MALADES ET DE CEUX QUI EN SONT PARFOIS AUSSI LES VICTIMES.
Nous dénonçons la baisse des moyens et la perte de culture de ce soin
spécifique à travers les réformes et autres restrictions budgétaires de ces
dernières années avec pour conséquence la disparition de fait de la politique
publique de secteur psychiatrique et l’abandon de nombreux patients à leurs
seules ressources ou à celle de leur entourage.
EN CONCLUSION, NOUS SOMMES RÉSOLUMENT OPPOSÉS À CE PROJET
ET À L’INSTRUMENTALISATION DE LA PSYCHIATRIE AU PROFIT D’UNE POLITIQUE SÉCURITAIRE.
POUR NOUS, LA CONTRAINTE NE PEUT ET NE DOIT ORGANISER
LA PSYCHIATRIE. Nous ne nous
laisserons pas embarquer dans un nouveau grand renfermement opérant aussi bien
dans les institutions que sur le territoire. NOUS APPELONS TOUTES LES FORCES
MOBILISÉES DANS LES CHAMPS DE LA SANTÉ, DU SOCIAL, DE LA JUSTICE, DES DROITS DE
L’HOMME À S’OPPOSER RADICALEMENT À CE PROJET QUI RENFORCE UNE POLITIQUE INTOLÉRANTE, RÉPRESSIVE, FONDÉE SUR LA PEUR ET L’ÉLIMINATION."
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