ALERTE ! LES MICRO-PUCES DANS LES MÉDICAMENTS,

ET LES

DANGERS TERRIFIANTS QUI Y SONT LIÉS !

 

Chers amis,

 

VOICI QUE COMMENCENT À PRÉSENT À DÉBARQUER DES PILULES CONTENANT DES MICRO-PUCES RFID ACTIVES (donc, qui reçoivent mais aussi envoient des ondes et des données à tout-va) !

 

LE MOUVEMENT A DÉBUTÉ AVEC LA MULTINATIONALE PHARMACEUTIQUE MAFIEUSE, NOVARTIS… AUX USA NAZIS, BIEN ENTENDU. MAIS IL SE POURRAIT FORT BIEN QU’IL SE PROLONGE CHEZ NOUS !!!

 

C’EST KODAK (une multinationale du cartel industriel mondialiste, donc) QUI A INVENTÉ LA TECHNOLOGIE CONSISTANT À METTRE DES MICRO-PUCES DANS LES PILULES. Ces micro-puces « se dissoudraient soi-disant dans l’organisme »… ce qui, évidemment, n’est pas sans risque.

 

IL EXISTE D’AILLEURS DES DANGERS TERRIBLES :

 

1) Nous savons que LES ONDES RADIOFRÉQUENCES ÉMISES ET/OU REÇUES PAR LES PUCES RFID CASSENT LES HÉLICES D’ADN ET PEUVENT PROVOQUER DES TUMEURS ET DES CANCERS

 

(cf.

http://www.next-up.org/pdf/ReuterEnergieDesRadioFrEquencesEndommageADN20122004DocAssociesInterviewVideoPrAdlkofer.pdf

 

et

 

http://www.antichips.com/cancer/index.html

 

Ce fait est trop peu connu, mais il mérite, avant toute chose, d’être signalé lorsque l’on parle de soins de « santé » ! Le premier article ci-dessous, bizarrement, n’en parle même pas…

 

2) LES MICRO-PUCES CONTIENNENT DES MÉTAUX LOURDS ET NOCIFS POUR L’ORGANISME. C’est encore plus vrai dans le cas de micro-puces actives, qui contiennent une petite batterie. Il va sans dire que des micro-puces dans l'organisme ne sont absolument pas recommandées si l'on souhaite conserver la santé...

 

3) LE BUT RÉEL ET ÉVIDENT DE CES MICRO-PUCES NE SERA DONC CERTAINEMENT PAS DE GARANTIR LA SANTÉ ET LES SOINS DU PATIENT (BIEN AU CONTRAIRE !), MAIS DE FAIRE CONSOMMER DAVANTAGE DE MÉDICAMENTS AU PATIENT, de façon médicalement imposée et dictatoriale si nécessaire, afin de rapporter davantage d’argent à l’industrie putride !

 

4) CES « PILULES PUCÉES » PERMETTRONT « L’OBSERVANCE OU LA COMPLIANCE PHARMACEUTIQUE », C’EST-À-DIRE DE FORCER LE PATIENT À PRENDRE SON MÉDICAMENT, QU’IL LE VEUILLE OU NON !

 

Suppression des libertés, encore et toujours… et ce concept ignoble est déjà présent dans nos pays, notamment en France où des multinationales pharmaceutiques ont déjà reçu l’autorisation des autorités sanitaires pour cette observance/compliance pharmaceutique (cf. article 3 ci-dessous)!!!

 

5) CETTE TECHNOLOGIE PERMETTRA AUSSI À L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE DE "S’INTRODUIRE DANS LE DOMICILE DES PATIENTS"

 

(rappelons que certains scanners peuvent capter les ondes RFID à plus de 10 mètres !) et de recueillir des données privées qui pourront être utilisées dans des buts commerciaux ou autres…

 

6) CE SYSTÈME POURRA NON SEULEMENT ÊTRE ÉTENDU AUX HÔPITAUX ET AUX SOINS DE SANTÉ, MAIS AUSSI AU MONDE DE L’EMPLOI

 

(les employeurs scanneront incognito leurs futurs employés afin de s’assurer que ceux-ci n’émettent pas de données médicales provenant d’une pilule pucée), ET IL POURRA MÊME ÊTRE UTILISÉ PAR… LA POLICE

 

(repérage des personnes conduisant sous influence de médicaments ; repérage de personnes suspectées de « terrorisme », etc.) !!! EN D’AUTRES TERMES, CETTE TECHNOLOGIE EST DONC BIEN UNE TECHNOLOGIE QUI TUE LA VIE PRIVÉE ET LES LIBERTÉS !

 

Enfin, et peut-être surtout, il faut signaler que LE DANGER EST D’AUTANT PLUS RÉEL QU’IL EXISTE DÉJÀ, EN FRANCE PAR EXEMPLE, UNE LOI QUI PERMET DE TRAITER CERTAINS PATIENTS DE FORCE, SANS LEUR CONSENTEMENT !

 

IL S’AGIT DE LA LOI TRAITANT DES PATIENTS PSYCHIATRIQUES (voir l’article 4, ci-dessous) !!! Ceci a été voulu par le Sarkonazi, qui mélange désormais maladie mentale et criminalité, associe les malades mentaux aux criminels, et qui supprime les libertés via des MESURES DE RÉPRESSION ET D’ÉTAT-POLICIER (voire même de géolocalisation) !

 

Pire : CETTE LOI AMÈNE UNE INDUSTRIALISATION DU SECTEUR DE LA PSYCHIATRIE, VOIRE DES SOINS DE SANTÉ (et historiquement, nous savons que c’est l’industrie qui finança les nazis et leurs atrocités, notamment au niveau « médical » avec les « anges de la mort » et autres savants-fous des camps de concentration ! On risque donc de retomber dans un scénario aussi effroyable que celui-là !).

 

ON PARLE MÊME DANS LA LOI DE « ZONES FERMABLES » (= ZONES D’ENFERMEMENT OU DE DÉTENTION DES PATIENTS) !!!

 

APRÈS LES MALADES MENTAUX ET LES PATIENTS EN PSYCHIATRIE, À QUI SERA-CE LE TOUR ? Les autres personnes malades ? Les prisonniers ? Les écoliers, lycéens et étudiants ? Les jeunes des banlieues ? Les Roms ? Les immigrés (légaux ou non) ? Les chômeurs ? Les employés ?

 

CE QUE CECI SIGNIFIE EST DONC TRÈS CLAIR : LAISSER CETTE TECHNOLOGIE ET CE SYSTÈME PUTRIDE ARRIVER CHEZ NOUS CONSTITUE LA GARANTIE ABSOLUE QU’ON L’UTILISERA TÔT OU TARD CONTRE L’ENSEMBLE DE LA POPULATION, COMME MOYEN DE CONTRÔLE GÉNÉRALISÉ, ET AVEC TOUS LES DANGERS (SANITAIRES, ANTIDÉMOCRATIQUES, LIBERTICIDES, ETC.) QUE CELA COMPORTE !

 

Il est donc IMPÉRATIF que les populations exigent UNE INTERDICTION TOTALE de ces puces RFID – à tous les niveaux - afin qu’elles deviennent, au niveau européen et de par des lois inflexibles et contraignantes, absolument illégales !

 

ÉVIDEMMENT, NE NOUS FAISONS AUCUNE ILLUSION : IL FAUDRA BATAILLER FERME, CAR NOUS AVONS VU QUE L’U.E. EST TOTALITAIRE ET BASÉE SUR DES PRINCIPES NAZIS, ET QU’ELLE DÉFEND LE CARTEL INDUSTRIEL NAZI DES PRODUITS PHARMACEUTIQUES, CHIMIQUES ET PÉTROLIFÈRES !

 

MAIS À NOUVEAU, SANS SOULÈVEMENTS ET INSURRECTIONS POPULAIRES INFLEXIBLES ET INTRAITABLES, ON NE PARVIENDRA À RIEN, ET LES HORREURS SONT GARANTIES.

 

À bon entendeur…

 

Les 4 articles, ci-dessous :

 

BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Vic.

 

P.S. : Merci à la personne qui m'a signalé ces articles... elle se reconnaîtra.

 

ARTICLE 1 : http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=13218

 

L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE VA COMMENCER À INSERER DES MICRO-PUCES DANS DES MÉDICAMENTS

 

18 novembre 2010 | Auteur: Jo

 

 

L’ère du MICRO-PUÇAGE PHARMACEUTIQUE est maintenant devant nous. NOVARTIS AG, L’UNE DES PLUS IMPORTANTES SOCIÉTÉS PHARMACEUTIQUES DANS LE MONDE, A DEVOILÉ UN PROJET AFIN DE COMMENCER A IMPLANTER DES MICRO-PUCES DANS DES MÉDICAMENTS DANS LE BUT DE CRÉER UNE TECHNOLOGIE DE « PILULE INTELLIGENTE ».

 

La technologie de micro-puçage est BREVETÉE PAR PROTEUS BIOMEDICAL à Redwood City, Californie. UNE FOIS ACTIVÉE PAR L’ACIDE DE L’ESTOMAC, LA MICRO-PUCE INTÉGRÉE COMMENCE À DÉTECTER SON ENVIRONNEMENT ET À ÉMETTRE DES DONNÉES À UN RECEPTEUR UTILISÉ PAR LE PATIENT. CE RÉCEPTEUR EST ÉGALEMENT UN ÉMETTEUR QUI PEUT ENVOYER LES DONNÉES PAR INTERNET A UN MÉDECIN.

 

L’IDÉE DERRIÈRE TOUT CELA EST DE CRÉER DES « PILULES INTELLIGENTES » QUI PEUVENT DÉTECTER CE QU’IL SE PASSE DANS LE CORPS ET DÉLIVRER CETTE INFORMATION AU MÉDECIN DU PATIENT. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. CETTE MÊME TECHNOLOGIE POURRAIT ÉGALEMENT BIENTÔT SE RETROUVER DANS DES PILULES FABRIQUÉES PAR D’AUTRES SOCIÉTÉS PHARMACEUTIQUES.

 

Les meilleurs programmes mis en avant…

 

En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, NOVARTIS NE PRÉVOIT APPAREMMENT PAS DE RÉALISER DES ESSAIS CLINIQUES QUI POURRAIENT PRENDRE EN COMPTE LES PROBLÊMES DE SÉCURITÉ LIÉS À L’INGESTION DE MICRO-PUCES. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « À la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. »

 

http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108

 

Mais j’ai une question : QUELS PRODUITS CHIMIQUES OU QUELS MÉTAUX LOURDS SONT-ILS PRÉSENTS DANS LA MICRO-PUCE ELLE-MÊME ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite BATTERIE OU un genre de CONDENSATEUR. LES MATÉRIAUX UTILISÉS DANS LES CONDENSATEURS ET LES BATTERIES, À MA CONNAISSANCE, SONT TOXIQUES POUR LE CORPS HUMAIN ET NE DEVRAIENT JAMAIS ÊTRE AVALÉS.

 

LES MICRO-PUCES NE SONT PAS DE LA NOURRITURE, ET LE FAIT DE LES AVALER SEMBLE DANGEREUX POUR VOTRE SANTÉ, PARTICULIÈREMENT SI VOUS INGÉREZ PLUSIEURS MICRO-PUCES PAR JOUR.

 

La confidentialité des données

 

Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur CONFIDENTIALITÉ. SI CES MICRO-PUCES ÉMETTENT DE L’INFORMATION, ALORS CETTE INFORMATION PEUT ÉVIDEMMENT ÊTRE COLLECTÉE PAR TOUT CE QUI SE TROUVE À PROXIMITÉ, Y COMPRIS ÉVENTUELLEMENT PAR DES INDIVIDUS PEU SCRUPULEUX OU DES ORGANISATIONS QUI POURRAIENT EN FAIRE UNE MAUVAISE UTILISATION.

 

 

Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.

 

DES AGENTS GOUVERNEMENTAUX POURRAIENT ÊTRE ÉQUIPÉS DE « SCANNERS À MICRO-PUCE PHARMACEUTIQUE » QUI DÉTERMINENT QUELLES PILULES VOUS PRENEZ EN CE MOMENT. CECI POURRAIT ÊTRE UTILISÉ AFIN DE VIOLER VOTRE VIE PRIVÉE EN PARTAGEANT CETTE INFORMATION AVEC D’AUTRES AGENCES GOUVERNEMENTALES OU MÊME EN LA VENDANT À UN TIERS, COMME DES SOCIÉTÉS DE MARKETING.

 

JE DOUTE CLAIREMENT DU FAIT QUE LES DONNÉES TRANSMISES PAR CES MICRO-PUCES DANS CES PILULES SERONT CODÉES CAR LE CRYPTAGE NÉCESSITÉ UNE VÉRITABLE PUISSANCE DE TRAITEMENT, ET DANS CES TOUTES PETITES MICRO-PUCES, IL N’Y A PAS VRAIMENT DE PLACE POUR UNE UNITÉ DE TRAITEMENT OU UNE SOURCE D’ÉNERGIE.

 

Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.

 

Souvenez-vous de prendre vos médicaments

 

MAIS LA PARTIE LA PLUS EFFRAYANTE À PROPOS DE CES MICRO-PUCES MÉDICALES EST LE FAIT QUE CETTE TECHNOLOGIE SERA UTILISÉE AFIN DE S’ASSURER QUE LES GENS PRENNENT BIEN LEUR TRAITEMENT. Les compagnies pharmaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules.

 

Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.

 

CETTE TECHNOLOGIE DE PILULE MICRO-PUCE INTELLIGENTE VA DONC PROBABLEMENT ÊTRE UTILISÉE POUR TRAQUER LES PILULES QUE LES PATIENTS AURONT PRISES AFIN QU’IL LEUR SOIT « GENTIMENT RAPPELÉ » DE PRENDRE LES ÉVENTUELLES PILULES QU’ILS AURAIENT OUBLIÉES DE PRENDRE. DANS LE DOMAINE DU MARKETING, CELA S’APPELLE UN « PROGRAMME DE CONTINUITÉ ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.

 

Dans ce contexte, LE MICRO-PUÇAGE DES PILULES PROFITE AUX COMPAGNIES PHARMACEUTIQUES, MAIS PAS NÉCESSAIREMENT AUX PATIENTS. C’EST PARTICULIÈREMENT VRAI LORSQUE L’ON CONSIDÈRE CES PRODUITS PHARMACEUTIQUES QUI SONT NOCIFS POUR LA SANTÉ HUMAINE - ET NOUS SAVONS TOUS QUE LE MARCHÉ PHARMACEUTIQUE EST REMPLI DE PILULES DONT ON A PLUS TARD DÉCOUVERT QU’ELLES ÉTAIENT EXTRÉMEMENT DANGEREUSES VOIRE MORTELLES (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).

 

Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs

 

Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : LES EMPLOYEURS QUI RÉALISENT DES ENTRETIENS POUR DES CANDIDATS À UN TRAVAIL POTENTIEL POURRAIENT ÊTRE CAPABLES D’ACHETER (OU DE FABRIQUER) UN SIMPLE SCANNER À MÉDICAMENTS QUI DÉTECTE LA PRÉSENCE D’UN SIGNAL DE TRANSMISSION D’UNE MICRO-PUCE PHARMACEUTIQUE.

 

CECI POURRAIT ÊTRE TRÈS UTILE POUR DES EMPLOYEURS QUI NE SOUHAITENT PAS ENGAGER DES PERSONNES SOUS TRAITEMENT. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».

 

 

Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que C’EST UNE MÉTHODE QUI SERA PROBABLEMENT UTILISÉE PAR LES EMPLOYEURS AFIN D’ÉCARTER LES EMPLOYÉS QUI SONT SOUS TRAITEMENT.

 

LES POLICIERS POURRAIENT ÉGALEMENT UTILISER UN SCANNER SIMILAIRE AFIN DE DÉTERMINER SI UN CONDUCTEUR SUR UNE SCÈNE D’ACCIDENT POURRAIT ÊTRE AFFECTÉ PAR DES MÉDICAMENTS. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. À propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).

 

Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple.

 

C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. LE POLICIER APPUIE SIMPLEMENT SUR UN BOUTON, PATIENTE DEUX SECONDES, ET PEUT ALORS DÉTERMINER SI VOUS ÉMETTEZ DES DONNÉES MÉDICALES. Jusque-là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».

 

Une autre raison de ne pas prendre de médicaments

 

Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. POUR CERTAINES PERSONNES, LES PROBLÈMES DE VIE PRIVÉE SONT LES PLUS IMPORTANTS DE TOUS, CAR ÉVIDEMMENT, QUI SOUHAITE ÉMETTRE DES DONNÉES SUR LE FAIT QU’IL PREND DES MÉDICAMENTS ?

 

Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. NE MISEZ PAS VOTRE VIE (ET VOTRE VIE PRIVÉE) SUR LES PILULES DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE. OPTEZ POUR UN MODE DE VIE HOLISTIQUE ET SAIN BASÉ SUR DES ALIMENTS BIOLOGIQUES, NUTRITIFS, DE L’EXERCICE RÉGULIER ET LE REFUS DE TOUS LES PRODUITS CHIMIQUES (SYNTHÉTIQUES) D’ORIGINE HUMAINE, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.

 

L’ÈRE DU MICRO-PUÇAGE DES PEUPLES ET DU MICRO-PUÇAGE DES MÉDICAMENTS SE TROUVE DEVANT NOUS. Étant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels :

 

http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html

 

VOUS POUVEZ CLAIREMENT IMAGINER CE QUE BIG BROTHER FERA AVEC VOS DONNÉES MÉDICALES QUE VOUS POURRIEZ ÉMETTRE DEPUIS L’INTÉRIEUR DE VOTRE CORPS.

 

En fait, L’IDÉE MÊME D’AVOIR UNE MICRO-PUCE QUI ÉMET DES DONNÉES DEPUIS L’INTÉRIEUR DE VOTRE CORPS POURRAIT VOUS FAIRE SIGNALER COMME TERRORISTE POTENTIEL PAR LA TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie »

 

http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html

 

La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). NE DEVENEZ PAS UN SUJET TRAÇABLE ET MICRO-PUCE DE L’INDUSTRIE MÉDICALE QUI SOUHAITE TRANSFORMER VOTRE CORPS EN UN CENTRE DE PROFIT PAR PRODUITS CHIMIQUES.

 

Sources :

 

Article original : http://www.naturalnews.com/030341_microchips_drugs.html

 

Auteur : Mike Adams

 

Traduction : la-matrice pour Conspipedia

 

ARTICLE 2 : source : http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-kodak-invente-la-puce-rfid-a-avaler-433.html

 

KODAK INVENTE LA PUCE RFID À AVALER

 

Edition du 01/03/2007 - par Dirk Basyn

 

 

Les laboratoires de Kodak viennent de déposer auprès de l'Office des brevets américains (U.S. Patent & Trademark) pour une PUCE RFID QUE L'ON PEUT INGÉRER AVEC UN MÉDICAMENT. Pour le fabricant américain, cette PILULE « À ANTENNE » offrirait de nombreux avantages: on pourrait, grâce à un scanner, suivre le cheminement de la potion dans le corps, constater les interactions possibles avec d'autres médicaments, VÉRIFIER QUE LE PATIENT A BIEN PRIS SON REMÈDE... ou n'en a pas abusé.

 

Bonne nouvelle tout de même, la puce devrait se désintégrer au moment de la digestion.

 

Il y a tout juste un an, un médecin belge se proposait d'implanter une puce RFID dans la bouche de ses patients afin de faciliter l'identification des corps en cas d'accident ou d'attentat.

 

ARTICLE 3 : source : http://www.lemonde.fr/old-societe/article/2006/12/25/les-labos-veulent-entrer-au-domicile-des-patients_849190_3226.html#ens_id=824239

 

LES "LABOS" VEULENT ENTRER AU DOMICILE DES PATIENTS

 

25.12.06 | 11h46 • Mis à jour le 25.12.06 | 12h23

 

PROGRESSIVEMENT, LES FIRMES PHARMACEUTIQUES S'INFILTRENT DANS L'ESPACE PRIVÉ DES PATIENTS. LE GOUVERNEMENT S'APPRÊTE À AUTORISER LES LABORATOIRES À DÉVELOPPER DES "PROGRAMMES D'AIDE À L'OBSERVANCE" à destination des malades, afin de les inciter, par contact téléphonique ou visite à domicile, à bien prendre leurs médicaments. Inséré dans un projet de loi transposant une directive européenne sur le médicament, qui sera discuté le 11 janvier par l'Assemblée nationale, CE PROJET SUSCITE L'OPPOSITION DE LA REVUE MÉDICALE INDÉPENDANTE PRESCRIRE ET L'INQUIÉTUDE DES ASSOCIATIONS DE PATIENTS. L'inspection générale des affaires sociales a exprimé elle aussi ses réticences : dans un rapport publié en septembre, elle affirmait que "dès lors qu'un programme est initié par un laboratoire (...), il ne pourra pas échapper au soupçon de biais en faveur des produits du promoteur".

 

PRATIQUES À GRANDE ÉCHELLE AUX ÉTATS-UNIS, LES PROGRAMMES D'OBSERVANCE THÉRAPEUTIQUE ONT FAIT LEUR APPARITION DISCRÈTE EN FRANCE, PROFITANT D'UN VIDE JURIDIQUE. Depuis 2001, L'AGENCE FRANÇAISE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DES PRODUITS DE SANTÉ (AFSSAPS) A ÉTÉ SAISIE D'UNE QUINZAINE DE DEMANDES D'AUTORISATION PAR LES LABORATOIRES ET EN A ACCEPTÉ LA MOITIÉ.

 

Pour l'heure, ces programmes concernent des pathologies chroniques (hypertension, sclérose en plaques...) et visent soit à apprendre au patient un geste technique (comme une injection sous-cutanée), soit à l'inciter à prendre son traitement de façon appropriée. Proposés au patient via son médecin traitant, ces programmes ne sont pas directement dispensés par la firme pharmaceutique mais par un prestataire payé par elle, comme une infirmière ou une société d'assurance en cas de relance téléphonique.

 

Face à la multiplication des demandes des firmes, le ministère de la santé a pris l'option de réglementer ces programmes, en officialisant le contrôle effectué par l'Afssaps. "On s'est retrouvé devant le fait accompli, les programmes d'observance existent, autant les encadrer plutôt que de laisser faire", explique-t-on dans l'entourage du ministre de la santé, Xavier Bertrand. Signe des temps, les considérations économiques ne sont pas étrangères à ce feu vert : "Quand des gestes techniques sont difficiles à apprendre, est-ce à l'assurance-maladie d'endosser ce coût ou au laboratoire d'assurer le "package" de la prise en charge de son produit ?", s'interroge ainsi le ministère de la santé.

 

CES ARGUMENTS SONT LOIN DE CONVAINCRE CEUX QUI S'INQUIÈTENT DE L'INFLUENCE CROISSANTE DES LABORATOIRES DANS TOUS LES SECTEURS DE LA SANTÉ. POUR LA REVUE PRESCRIRE, LA POURSUITE D'UN TRAITEMENT MÉDICAL EST UNE AFFAIRE DÉLICATE QUI NE PEUT ÊTRE DISCUTÉE QU'ENTRE UN PATIENT ET SON MÉDECIN ET NON CONFIÉE À UN LABORATOIRE, JUGE ET PARTIE.

 

ACTEUR DE SANTÉ

 

"CES PROGRAMMES NE SONT QU'UNE NOUVELLE STRATÉGIE DE PROMOTION DÉGUISÉE DES FIRMES, DOUBLÉE D'UNE FORME DE RÉTENTION DES PATIENTS", dénonce le docteur Philippe Foucras, membre de Prescrire. La revue dispose ainsi d'un témoignage d'un médecin dont une patiente suivait un programme d'observance pour le Forstéo, prescrit contre l'ostéoporose. Quand des vertiges sont apparus, le praticien a demandé à sa patiente de suspendre le traitement quand l'infirmière payée par le laboratoire lui conseillait au contraire de le poursuivre... La patiente a finalement changé de médecin.

 

Pour les militants de Prescrire, LES PROGRAMMES D'OBSERVANCE NE POURSUIVENT QU'UN SEUL OBJECTIF : ACCROÎTRE LES PROFITS DE L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE. Selon un site d'information médicale anglais, les firmes perdraient 30 milliards de dollars par an du fait des arrêts prématurés des traitements. Le syndicat français des firmes pharmaceutiques, les entreprises du médicament (LEEM), récusent pourtant l'argument : "Les programmes d'observance sont réalisés dans un objectif de santé publique, pour que les patients prennent bien leur traitement, non pour faire vendre plus de boîtes, indique-t-on au LEEM. Notre éthique nous interdit de pousser à la consommation au-delà de la posologie et des indications médicales."

 

Avec les programmes d'observance, c'est une place de véritable acteur de santé que revendiquent les firmes pharmaceutiques auprès des patients. CETTE ÉVOLUTION, si elle semble inéluctable à beaucoup, N'EST PAS SANS INQUIÉTER : "Il y aura à l'avenir moins d'argent pour la santé, donc les laboratoires vont s'imposer, analyse Christian Saout, vice-président du Collectif interassociatif sur la santé (CISS) et représentant des usagers. Il vaut mieux encadrer ce mouvement, mais pas à n'importe quel prix : nous sommes pour l'aide à l'apprentissage des gestes techniques mais contre les interventions psycho-sociales directes auprès des patients, qui doivent rester de la compétence exclusive des professionnels de santé."

 

Cécile Prieur

 

ARTICLE 4 : source : http://www.jerpel.fr/spip.php?article306

 

 

NON AUX 3 P : POLICE, PSYCHIATRIE RÉPRESSIVE, PEUR

 

Analyse, réalisée par le service juridique de la Ligue des Droits de l’Homme, du projet de loi pour la révision de la loi régissant l’hospitalisation psychiatrique.

 

Novembre 2010

 

Par Jérôme P.

 

Ci-dessous, l’analyse, réalisée par le service juridique de la Ligue des Droits de l’Homme, du projet de loi pour la révision de la LOI RÉGISSANT L’HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE.

 

(Analyse reçue via le collectif Non à la Politique de la Peur)

 

(Sur ce sujet, voir aussi : Si c’est un Homme : Appel contre les soins sécuritaires.)

 

« Projet de loi relatif aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et à leurs modalités de prise en charge » - Analyse critique et premières réponses :

 

DEPUIS LE 2 DECEMBRE 2008, DATE DU 1ER DISCOURS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE SUR LA PSYCHIATRIE, LE GOUVERNEMENT AVANCE de manière opaque et cauteleuse VERS UNE RÉFORME À VISÉE SÉCURITAIRE DU SOIN PSYCHIATRIQUE. Un texte intitulé « projet de loi relatif aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et à leurs modalités de prise en charge » est en voie de validation. Il est porteur de modifications de fond annoncées à la loi du 27 juin 1990 (relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d’hospitalisation).

 

CE TEXTE PRÉTEND ŒUVRER POUR LE BIEN DU PATIENT ET DE SON ENTOURAGE, ET RÉAJUSTER LA LÉGISLATION SUR LES PRATIQUES PSYCHIATRIQUES DE LA LOI D’INTERNEMENT. IL EST AISÉ D’Y LIRE UNE ORIENTATION SÉCURITAIRE ET UN GRAND RISQUE D’HYGIÉNISME GÉNÉRALISÉ.

 

Ce projet de loi introduit diverses dispositions nouvelles, dont essentiellement deux : le TRAITEMENT OBLIGATOIRE DANS LA COMMUNAUTÉ ET LA POSSIBILITÉ DE RÉTENTION POUR ÉVALUATION DE 72 HEURES DANS LE CADRE HOSPITALIER.

 

IL RÉORGANISE LE SOIN PSYCHIQUE AUTOUR DU « SOIN SANS CONSENTEMENT », AVEC UN POUVOIR ACCRU DU PRÉFET ET DU DIRECTEUR D’HÔPITAL. IL NE FAIT QUE RENFORCER LE PROCESSUS DE DURCISSEMENT SÉCURITAIRE AUQUEL NOUS ASSISTONS DEPUIS DEUX ANS avec la création de 4 nouvelles Unités pour Malades Difficiles et de chambres d’isolement supplémentaires, de ZONES « FERMABLES » et de la vidéosurveillance dans les établissements, annoncées en décembre 2008 par Sarkozy, et qui sont déjà réalisées ou en bonne voie de l’être.

 

De plus, la circulaire du 11 janvier 2010, confirmée de fait dans ce projet, fait passer les psychiatres sous les fourches caudines des préfets chargés de s’assurer de la compatibilité de la levée des mesures d’internement avec les impératifs d’ordre et de sécurité publics.

 

Enfin, LE DIRECTEUR D’HÔPITAL, DE SON COTÉ, DEVIENT OMNISCIENT PUISQU’EN CHARGE NOTAMMENT DE DÉCIDER DES SUITES À DONNER EN CAS DE NON OBSERVANCE DU SOIN SANS CONSENTEMENT AMBULATOIRE.

 

Les « soins sans consentement », notamment ceux hors hospitalisation complète, que propose ce projet de loi équivalent à une pieuvre faisant des lieux de soin, du domicile et des espaces d’hébergement associatifs des ESPACES DE CONTRÔLE ET DE CONTRAINTE. La défense sociale et la collocation à domicile ne sont guère loin. LES SOINS SANS CONSENTEMENT EN AMBULATOIRE NOUS PLACENT AU CŒUR D’UNE SOCIÉTÉ DE SURVEILLANCE, D’UNE « PSYCHIATRIE CRIMINELLE » VOULUE PAR LE CHEF DE L’ÉTAT (DISCOURS DU 6 OCTOBRE 2009) ET FONT PLANER LA MENACE D’UN HYGIÉNISME GÉNÉRALISÉ. MAIS, C’EST AUSSI UNE « PSYCHIATRIE INDUSTRIELLE » QUI SE DESSINE AINSI, CONCEVANT LE PATIENT COMME UN OBJET DE SOINS SOUS TUTELLE (n’oublions pas la tutelle à la personne, mais aussi un certain usage possible de la personne de confiance), COMPLIANT, MÉDIQUE ET GÉOLOCALISABLE.

 

Ajoutons que « soins sans consentement » est une formulation qui consacre UNE FUSION AUTOMATIQUE ET POURTANT DISCUTÉE ET DISCUTABLE ENTRE TRAITEMENT ET DÉTENTION OU LIMITATION DE LIBERTÉ, AUX PLANS DU DROIT ET DE LA JURISPRUDENCE.

 

Ce projet de loi introduit également des modifications diverses pour les HO et les HDT (Hospitalisations d’Office et sur Demande d’un Tiers) censées convenir aux familles et aux psychiatres. Nous soulignerons plus particulièrement qu’il prévoit un RÉGIME SPÉCIAL POUR les personnes en cas d’antécédent d’internement en Unités pour Malades Difficiles, ou pour les personnes déclarées pénalement irresponsables suite à des actes criminels. LE FICHIER NATIONAL DES MALADES MENTAUX SERAIT AINSI DE FAIT LÉGALISÉ. Le pouvoir en place souscrit toujours à la version initiale de LA LOI RELATIVE À LA PRÉVENTION DE LA DÉLINQUANCE (Loi n° 2007-297 du 5 mars 2007) ASSIMILANT MALADES MENTAUX ET CRIMINELS. Quels que soient l’histoire de l’aliénation mentale et les faits divers tragiques, surexploités par les grands médias et bon nombre d’hommes politiques, la dangerosité n’est pas une particularité de la maladie mentale. Plus encore, ON FAIT DU FOU UN INDIVIDU DANGEREUX comme virtualité d’actes délictueux ou criminels, ET ON DONNE A LA SOCIÉTÉ DES DROITS POTENTIELLEMENT REDOUTABLES SUR CET INDIVIDU à partir de ses variables pathologiques et non de ses actes.

 

La sortie de ces patients internés par décision du préfet, ne pourrait être recommandée que par un collège de 2 psychiatres et d’un cadre de santé (rappelons-le sans pré-requis de compétence spécifique en psychiatrie et qui est mis en place ici comme sbire du directeur). Il s’agit là d’une illustration supplémentaire de la POLITIQUE ACTUELLE SYSTÉMATIQUE D’ÉCRASEMENT DES PROFESSIONNALITÉS (qui vaut également dans les milieux de l’enseignement, de la justice, etc.).

 

Ce projet de loi qui nous est présenté relève donc d’une préoccupation sécuritaire, bien qu’il prétende être sanitaire, et prétend légaliser un état donné, perverti, des pratiques psychiatriques. Il s’inscrit bel et bien dans la lignée de contre réforme ayant la volonté d’éradiquer plus de cinquante ans d’évolution d’une psychiatrie portée par l’exigence de la qualité de malade et de sujet de droit du patient psychiatrique dans le cadre de la politique de secteur.

 

NOTRE PROTESTATION RADICALE CONTRE CE PROJET DE LOI NOUS PERMET EN MÊME TEMPS UN RAPPEL DES PRINCIPES DÉMOCRATIQUES ET TECHNIQUES QUI NOUS ANIMENT.

 

LES MESURES DE CONTRAINTE SANITAIRE À LA PERSONNE NE PEUVENT ÊTRE FONDÉES SUR LA DANGEROSITÉ SOCIALE – PIERRE ANGULAIRE DES LOIS LIBERTICIDES DITES DE « TOLÉRANCE ZÉRO » CRIMINALISANT LES « FOUS », LES SDF, LES JEUNES (SURTOUT DE BANLIEUE) etc.-, mais sur l’état de nécessité clinique. Toute loi dont le propos relève d’une contrainte, même de soins, doit être une loi de protection de la personne et non une loi de police donnant lieu à une mesure de sûreté sous la houlette du préfet. Le recours à toute privation de liberté nécessite la supervision et l’aval de la justice en matière de protection des citoyens. La législation psychiatrique ne doit plus être une législation d’exception. Il s’agit de répondre à l’état de nécessité de soin psychiatrique dans le cadre du droit commun. En aucun cas, la décision, l’application et la gestion d’une telle disposition ne peuvent relever du préfet. Nous ne voulons pas de « soins sans consentement » qui soit une mesure de sûreté, qui plus est administrative.

 

NOUS DÉNONÇONS L’EXPLOITATION POLITIQUE À DES FINS SÉCURITAIRES DE LA SOUFFRANCE DES MALADES ET DE CEUX QUI EN SONT PARFOIS AUSSI LES VICTIMES. Nous dénonçons la baisse des moyens et la perte de culture de ce soin spécifique à travers les réformes et autres restrictions budgétaires de ces dernières années avec pour conséquence la disparition de fait de la politique publique de secteur psychiatrique et l’abandon de nombreux patients à leurs seules ressources ou à celle de leur entourage.

 

EN CONCLUSION, NOUS SOMMES RÉSOLUMENT OPPOSÉS À CE PROJET ET À L’INSTRUMENTALISATION DE LA PSYCHIATRIE AU PROFIT D’UNE POLITIQUE SÉCURITAIRE. POUR NOUS, LA CONTRAINTE NE PEUT ET NE DOIT ORGANISER LA PSYCHIATRIE. Nous ne nous laisserons pas embarquer dans un nouveau grand renfermement opérant aussi bien dans les institutions que sur le territoire. NOUS APPELONS TOUTES LES FORCES MOBILISÉES DANS LES CHAMPS DE LA SANTÉ, DU SOCIAL, DE LA JUSTICE, DES DROITS DE L’HOMME À S’OPPOSER RADICALEMENT À CE PROJET QUI RENFORCE UNE POLITIQUE INTOLÉRANTE, RÉPRESSIVE, FONDÉE SUR LA PEUR ET L’ÉLIMINATION."

 

 

Téléchargez en Word

 

Accueil / Home

 

 

--