POISONS
EN SERINGUE
Il est vrai que la
composition des prépa rations d’Aventis et de Glaxo-Smith-Kline ne rassure pas.
Le Panemrix de ce dernier, par exemple, est issu d’un... virus inactivé aviaire
prélevé sur des victimes décédées au Vietnam Des stocks inutilisés dont GSK entend
se débarrasser. S’y ajoutent les “adjuvants” : Aluminium, Formaldéhyde (un
puissant détergent, qui est un des composants de l’aspartame), Phénoxyéthanol
(antigel, à très fort pouvoir allergisant), Thiomersal mercure (composé
d’éthyl, d’acide thiosalicylique, d’hydroxyde de sodium et d’éthanol, il est
fortement mis en cause dans le développement exponentiel de l’autisme dans le
monde), Gentamicine aux effets secondaires très graves.
Et
puis le squalène. Cet adjuvant, notamment utilisé par GSK dans ses vaccins H4N1
et H1N1, a la propriété d’absorber l’oxygène. On le trouve en grande quantité
dans le foie des requins et à très faible dose dans les huiles d’olive et
céréalière. Composant du vaccin contre l’anthrax largement utilisé dans l’armée
américaine dans les années 1970, il est considéré comme responsable, avec le
gaz sarin et l’uranium appauvri, du Syndrome de la Guerre du Golfe, qui a
frappé des dizaines de milliers de vétérans de la première guerre d’Irak. Ainsi
que des militaires qui, vaccinés, n’y avaient pas mis les pieds.
Ingéré
sous la forme d’un adjuvant vaccinal, le squalène est d’autant mieux reconnu
par notre système immunitaire que, molécule huileuse aux propriétés anti-oxydantes,
il est présent dans notre cerveau et notre système nerveux. Pénétrant dans
notre organisme par une voie inhabituelle, il provoque cependant la réaction de
notre système immunitaire qui s’attaque alors à toutes les sources de squalène,
bonnes ou mauvaises, y compris celles qui sont essentielles au fonctionnement
de notre système nerveux. Le danger vient donc moins du squalène en tant que
tel que de la façon dont on l’introduit dans le corps. Une étude publiée en
2000 dans l’American Journal of Pathology
démontrait qu’une seule injection suffisait à provoquer chez le rat des crises
d’arthrite rhumatoïde. Pour Viera Schreibner, scientifique australienne qui a
longtemps travaillé sur le squalène, on lui doit la « cascade de réactions », définie comme Syndrome de la
Guerre du Golfe : arthrite, fibromyalgie, lymphadénopathie, exanthèmes,
fatigue chronique, photosensivité, ulcères aphteux, perte de mémoire,
faiblesses cardiaques, problèmes neuro-psychiatriques, anémie, sclérose en
plaque, lupus, et on en passe.
Tels
sont les ingrédients qui, pandémie ou pas, seront inoculés à 2 milliards
d’individus *, dont au moins 20 millions d’Hexagonaux. Peut-on en effet imaginer
que le Big Pharma accepterait de détruire ses stocks ? On comprend en tout
cas que des scientifiques états-uniens ayant participé à la recherche sur le
vaccin contre la grippe A aient formellement déconseillé à leur famille et
leurs amis de se faire vacciner.
René
BLANC.
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