USA TOTALITAIRES : L'AMÉRIQUE NAZIE : PARTIE 4 !

 

"N'allez donc pas les craindre ! Rien, en effet, n'est voilé qui ne sera révélé, rien de caché qui ne sera connu." Matthieu 10:26

 

Chers amis,

Je vous propose aujourd'hui de découvrir la suite de la traduction concernant l'Amérique nazie. Nous allons nous intéresser de très près à l'UNE DES FAMILLES LES PLUS ODIEUSES ET LES PLUS SINISTRES DE L'HISTOIRE DES ÉTATS-UNIS : LA FAMILLE BUSH !

CE QUI SUIT DÉMONTRE SANS AUCUN DOUTE LA CULPABILITÉ DE PRESCOTT BUSH (le grand-père du psychopathe George W. Bush), QUI AIDA ET FINANCA LES NAZIS VIA DES JEUX DE PASSE-PASSE BANCAIRES !

Prescott Bush était aidé par un MULTI-MILLIARDAIRE (élite mondiale, donc) NÉERLANDAIS : FRITZ THYSSEN !

Dans cette haute trahison reposant sur des magouilles bancaires, ON RETROUVE ÉGALEMENT L'IGNOBLE ALLEN DULLES, AINSI QU'UN BARON ALLEMAND SANS SCRUPULE, LE BARON KURT VON SCHROEDER !

LA FAMILLE ROYALE NÉERLANDAISE, AVEC LE PRINCE BERNHARDT (UN FERVENT NAZI ET FONDATEUR DU GROUPE BILDERBERG), ÉTAIT AUSSI REPRÉSENTÉE DANS CE JEU VICIEUX DE TROMPERIE, DE TRAHISON ET DE CRIMES !

Tous ces individus n'hésitèrent pas un seul instant à mentir aux Alliés lors des interrogatoires, à envoyer sur de fausses pistes les chercheurs et journalistes qui se rapprochaient trop de la vérité, et même à faire assassiner les individus qui représentaient un danger réel !

La dernière partie de cette traduction sur les liens répugnants entre certains Américains et les Nazis, devrait suivre d'ici quelques jours... Wink

BONNE RÉVOLUTION... OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Vic.

Source : http://www.concernedhumanity.net/nazi_america.html

L'AMÉRIQUE NAZIE (SUITE)

LA CIA ET LES CRIMINELS DE GUERRE NAZIS

Les Archives de la Sécurité Nationale publient l’histoire secrète de la CIA, parue sous la loi de divulgation des crimes de guerre nazis (Nazi War Crimes Disclosure Act)

LE GÉNÉRAL REINHARD GEHLEN PERSUADA L'ARMÉE AMÉRICAINE, PUIS LA CIA, DE PARRAINER SON RÉSEAU DE RENSEIGNEMENT, MÊME S’IL EMPLOYAIT DE NOMBREUX ANCIENS NAZIS ET CRIMINELS DE GUERRE CONNUS.

Washington DC, le 4 février 2005 - Aujourd'hui, les Archives de la Sécurité Nationale (National Security Archive) ont posté un documentaire secret CONCERNANT L'HISTOIRE DE LA CIA ET LA RELATION DU GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS AVEC LE GÉNÉRAL REINHARD GEHLEN, CHEF DES SERVICES SECRETS DE L'ARMÉE ALLEMANDE POUR LE FRONT DE L'EST PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE. À LA FIN DE LA GUERRE, GEHLEN ÉTABLIT UNE RELATION ÉTROITE AVEC LES ÉTATS-UNIS ET RÉUSSIT À MAINTENIR SON RÉSEAU DE RENSEIGNEMENT (QUI DEVINT, EN DÉFINITIVE, LE BND OUEST ALLEMAND), MÊME S’IL EMPLOYAIT DE NOMBREUX ANCIENS NAZIS ET CRIMINELS DE GUERRE CONNUS. L'utilisation du groupe de Gehlen, selon « The CIA history, Forging an Intelligence Partnership : CIA and the Origins of the BND, 1945-49 » (« L'histoire de la CIA : forger un partenariat du renseignement : la CIA et les origines de la BND, 1945-49 »), fut une épée à double tranchant qui stimula les efforts de propagande du pacte de Varsovie et qui subit des pénétrations dévastatrices par le KGB. [Voir Tome 1: Introduction, p. xxix :

http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB146/Volume%201%20intro.pdf

Cette histoire déclassifiée en deux volume a été compilée par l’historien de la CIA, Kevin Ruffner, et présentée en 1999 par le sous-directeur des opérations de la CIA, Jack Downing, au service de renseignement allemand (Bundesnachrichtendienst ou BND) en souvenir des liens nouveaux et proches, formés pendant l'après-guerre en Allemagne, afin de marquer le cinquantième anniversaire de coopération entre la CIA et l’Allemagne de l’Ouest. Cette histoire a été déclassifiée en 2002 à la suite des travaux du groupe de travail inter agence sur les crimes de guerre nazis et les registres du gouvernement impérial du Japon (The Nazi War Crimes and Japanese Imperial Government Records Interagency Working Group, ou IWG - cf.

http://www.archives.gov/iwg/about_iwg/about_iwg.html et CONTIENT 97 DOCUMENTS CLÉS PROVENANT DE DIVERSES AGENCES.

Cette annonce s'inscrit dans le sillage des griefs publics déposés par les membres de l’IWG, GRIEFS SELON LESQUELS LA CIA N'A PAS PLEINEMENT RESPECTÉ L’OBLIGATION DE LA LOI DE DIVULGATION SUR LES CRIMES DE GUERRE NAZI, ET CONTINUE DE CACHER DES CENTAINES DE MILLIERS DE PAGES DE DOCUMENTS RELATIFS À LEUR TRAVAIL.

Note 1 : http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB146/#1

Au cours d’interviews avec le New York Times, trois membres publics de l'IWG ont dit :

* Je pense que LA CIA A DÉFIÉ LA LOI ET, CE FAISANT, A AUSSI BANALISÉ L'HOLOCAUSTE, FAISANT UN PIED DE NEZ AUX SURVIVANTS DE L'HOLOCAUSTE ET AUSSI AUX AMÉRICAINS QUI ONT DONNÉ LEUR VIE DANS L'EFFORT FOURNI AFIN DE VAINCRE LES NAZIS DURANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE. – L’ancienne membre du Congrès, Elizabeth Holtzman.

* Je peux seulement dire que la position que la CIA a prise diffère de toutes les autres agences qui ont été impliquées, et CE N'EST PAS UNE POSITION QUE NOUS POUVONS ACCEPTER. - Richard Ben-Veniste, avocat à Washington.

* Trop de choses ont été gardées secrètes pendant trop longtemps. LA CIA N'A PAS RESPECTÉ LA LOI. - L'ancien procureur fédéral Thomas H. Baer.

Lire la suite ici : http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB146

Note : Si vous veniez à rencontrer des difficultés pour accéder aux liens inclus dans l’article des Archives de la Sécurité Nationale ci-dessus ou autres, veuillez noter le communiqué de presse suivant, datant du 2 mars 2006 : « Un archiviste des États-Unis annonce de nouvelles mesures en réaction au retrait de documents déclassifiés des open shelves (étagères ouvertes) des Archives nationales », sur :

http://www.archives.gov/press/press-releases/2006/nr06-67.html

VIDÉO À VOIR ABSOLUMENT : LA CONNEXION BUSH-HITLER VÉRIFIÉE :

http://www.brasschecktv.com/page/263.html

 



LE CHEF DE LA GESTAPO DE HITLER, HEINRICH MUELLER, DEVINT LE CONSEILLER EN CHEF DE TRUMAN, partie 1 :

http://www.savethemales.ca/001699.html

L’AVERTISSEMENT DU CHEF DE LA GESTAPO À L'AMÉRIQUE, partie 2 :

http://www.savethemales.ca/001707.html

Les Illuminés de Bavière ont été présents depuis des siècles, d'une manière ou d'une autre. Leur présence durant le 20ème siècle est la conséquence directe des Nazis. Les connexions nazies à l'occultisme, et la société Thule de Bavière, étaient parallèles aux membres américains de la franc-maçonnerie du 33ème degré. Lorsque l'opération Paperclip fut exécutée avec succès, l'élément nazi de la société Thule de Bavière fusionna avec les membres américains de la franc-maçonnerie pour créer les Illuminatis. Opération Paperclip, MK-ULTRA, October Surprise et George Bush sont tous des facettes des Illuminatis, un groupe dont les idéaux sont enracinés dans l'occulte, et dédié à la domination du monde. Peu de temps après la Révolution américaine, John Robinson, professeur rural de philosophie à l'Université d'Édimbourg en Écosse et membre d'une loge maçonnique, dit qu'il avait été invité à rejoindre les Illuminatis. Après avoir étudié ce groupe, il conclut que les buts des Illuminatis n’étaient pas compatibles avec ses croyances. En 1798, il publia un livre intitulé Proofs Of A Conspiracy (« Les Preuves d'une Conspiration »), qui stipule :

« Une association a été formée dans le but exprès de DÉRACINER TOUS LES ÉTABLISSEMENTS RELIGIEUX ET DE RENVERSER TOUS LES GOUVERNEMENTS EXISTANTS... Les dirigeants domineraient le monde avec une puissance incontrôlable, pendant que tout le reste serait utilisé comme des outils de l'ambition de leurs supérieurs inconnus ».

http://www.theinfovault.net/vault/politics/projectpaperclip.html

 

 

La structure de base de l'occultisme des Illuminatis ("La pyramide de Satan")

Tetrahedron Publishing Group

COMMENT LA FAMILLE BUSH A TIRÉ SA FORTUNE DES NAZIS

http://www.tetrahedron.org/articles/new_world_order/bush_nazis.html

Posté par Robert Lederman - robert.lederman@worldnet.att.net - Le 9 février 2002

Note : l’auteur de cet article, John Loftus, est un ancien procureur contre les crimes de guerre des Nazis au ministère de la Justice des États-Unis, est le président du Musée de Floride sur l'Holocauste et l'auteur très respecté de nombreux livres sur la connexion entre la CIA et les Nazis, dont « The Belarus Secret » (« Le secret biélorusse ») et « The Secret War Against the Jews » (« La guerre secrète contre les Juifs »), qui possèdent tous deux beaucoup d'informations sur la CONNEXION ENTRE BUSH, ROCKEFELLER ET LES NAZIS.

Le 27 septembre 2000 par le procureur John Loftus

LA CONNEXION NÉERLANDAISE : COMMENT UNE CÉLÈBRE FAMILLE AMERICAINE A TIRÉ SA FORTUNE DES NAZIS

Pour la famille Bush, c'est un cauchemar persistant. Pour LEURS CLIENTS NAZIS, la connexion néerlandaise fut la mère de tous les stratagèmes de blanchiment d'argent. De 1945 jusqu'en 1949, un des interrogatoires les plus longs et, semble-t-il maintenant, les plus futiles d’un individu suspecté de crimes de guerre nazis, commença dans la zone américaine de l'Allemagne occupée. LE MAGNAT DE L'ACIER MULTI-MILLIARDAIRE FRITZ THYSSEN, L'HOMME DONT L'ALLIAGE EN ACIER AVAIT CONSTITUÉ LE CŒUR FROID DE LA MACHINE DE GUERRE NAZIE, parla, parla et parla encore à une équipe d'interrogatoire américano-britannique. Pendant quatre longues années, des équipes successives d'inquisiteurs essayèrent de briser la simple revendication de Thyssen selon laquelle il ne possédait ni de comptes bancaires étrangers, ni des intérêts dans des sociétés étrangères, ni d'actifs qui pourraient conduire aux milliards manquants des actifs du Troisième Reich. Ces inquisiteurs échouèrent complètement.

Pourquoi ? Parce que ce que le rusé Thyssen attesta, en un sens, était vrai. Ce que les enquêteurs alliés ne comprirent jamais, c'est qu'ils ne posaient pas la bonne question à Thyssen. THYSSEN N'AVAIT PAS BESOIN DE COMPTES BANCAIRES ÉTRANGERS PARCE QUE SA FAMILLE POSSÉDAIT, EN SECRET, UNE CHAÎNE DE BANQUES. IL N'AVAIT PAS EU À TRANSFÉRER SES ACTIFS NAZIS À LA FIN DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE, TOUT CE QU'IL AVAIT EU À FAIRE ÉTAIT DE TRANSFÉRER DES TITRES DE PROPRIÉTÉ - ACTIONS, OBLIGATIONS, ACTES ET FIDUCIES - DEPUIS SA BANQUE À BERLIN, VIA SA BANQUE AUX PAYS-BAS, VERS SES AMIS AMÉRICAINS À NEW YORK CITY : PRESCOTT BUSH ET HERBERT WALKER. LES PARTENAIRES DE THYSSEN DANS CE CRIME ÉTAIENT LE PÈRE ET LE BEAU-PÈRE D'UN FUTUR PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS.

Les enquêteurs alliés avaient sous-estimé la portée de Thyssen, ses relations, ses motivations et ses moyens. La toile des établissements financiers que Thyssen aida à créer dans les années 1920 resta un mystère pendant le reste du XXème siècle, une conduite d'égout souterraine presque parfaitement cachée et VISANT À DÉPLACER DE L'ARGENT SALE, DE L'ARGENT QUI AVAIT FINANCÉ LES FORTUNES D'APRÈS-GUERRE, NON SEULEMENT DE L’EMPIRE INDUSTRIEL DE THYSSEN... MAIS AUSSI DE LA FAMILLE BUSH. C'était un secret que Fritz Thyssen emmènerait jusque dans la tombe.

C'était un secret qui conduirait l'ancien agent des renseignements, William Gowen, qui se dirige à présent vers ses 80 ans, JUSQU’À LA PORTE MÊME DE LA FAMILLE ROYALE NÉERLANDAISE. Les Gowens ne sont pas étrangers à la controverse, ni à la noblesse. Son père fut l'un des émissaires diplomatiques du président Roosevelt au pape Pie XII, et qui avait mené une vaine tentative afin de persuader le Vatican de dénoncer le traitement qu’Hitler réservait aux Juifs. Ce fut son fils, William Gowen, qui servit à Rome après la seconde guerre mondiale en tant que chasseur de Nazis et en tant qu’enquêteur dans le corps de contre-intelligence. CE FUT L’AGENT GOWEN QUI DÉCOUVRIT EN PREMIER LE SECRET DU RÉSEAU D’ÉVACUATION DU VATICAN VISANT À ÉPARGNER LES NAZIS, EN 1949. CE FUT ÉGALEMENT LE MÊME WILLIAM GOWEN QUI COMMENÇA À DÉCOUVRIR LE PIPELINE SECRET NÉERLANDAIS UTILISÉ POUR LA CONTREBANDE DE L'ARGENT NAZI, EN 1999.

Un demi-siècle plus tôt, Fritz Thyssen racontait aux enquêteurs alliés qu'il n'avait aucun intérêt dans des entreprises étrangères, que Hitler s’était retourné contre lui et avait saisi la plupart de ses biens. Ses actifs restants se trouvaient, pour la plupart, dans la zone allemande occupée par les Russes (dont il savait qu'ils étaient une perte sèche, de toute façon). Ses parents lointains (et détestés) habitant dans des pays neutres comme la Hollande, étaient les véritables propriétaires d'un pourcentage important de la base industrielle allemande qui restait. En tant que victimes innocentes du IIIe Reich, ils faisaient du lobbying auprès des gouvernements d'occupation alliés en Allemagne, exigeant la restitution des biens qui leur avaient été pris par les Nazis.

Sous les règles de l'occupation alliée de l'Allemagne, tous les biens appartenant à des citoyens d'une nation neutre et qui avaient été saisis par les Nazis, devaient être rendus à ces citoyens neutres sur présentation appropriée des documents qui en prouvaient la propriété. Tout à coup, toutes sortes de parties neutres, en particulier en Hollande, revendiquaient la propriété de divers morceaux de l'empire Thyssen. DANS SA CELLULE, FRITZ THYSSEN SOURIAIT SIMPLEMENT ET ATTENDAIT D'ÊTRE LIBÉRÉ DE PRISON TANDIS QUE LES MEMBRES DE LA FAMILLE ROYALE NÉERLANDAISE ET LE SERVICE DE RENSEIGNEMENT NÉERLANDAIS RASSEMBLAIENT POUR LUI SES AVOIRS FONCIERS D'AVANT-GUERRE.

LES INTERROGATEURS AMÉRICAINS ET BRITANNIQUES PEUVENT AVOIR GRAVEMENT SOUS-ESTIMÉ THYSSEN, MAIS ILS SAVAIENT NÉANMOINS QU’ON LEUR MENTAIT. Leurs soupçons se concentrèrent sur une banque néerlandaise en particulier, la Bank voor Handel en Scheepvaart, à Rotterdam. Cette banque avait fait beaucoup d'affaires avec les Thyssen au fil des ans. EN 1923, EN FAVEUR POUR LUI, LA BANQUE DE ROTTERDAM PRÉTA L'ARGENT POUR CONSTRUIRE LE TOUT PREMIER SIÈGE DU PARTI NAZI, À MUNICH. Mais de toute façon, les enquêtes des alliés continuaient à ne mener nulle part, les pistes des renseignements semblaient se tarir.

SI LES ENQUÊTEURS S’ÉTAIENT RENDUS COMPTE QUE LE CHEF DU RENSEIGNEMENT DES ÉTATS-UNIS DANS L'ALLEMAGNE DE L’APRÈS-GUERRE, ALLEN DULLES, ÉTAIT ÉGALEMENT L’AVOCAT DE LA BANQUE DE ROTTERDAM, ILS AURAIENT PU POSER DES QUESTIONS TRÈS INTÉRESSANTES. ILS NE SAVAIENT PAS QUE THYSSEN ÉTAIT AUSSI LE CLIENT DE DULLES. ILS NE SE RENDIRENT JAMAIS COMPTE NON PLUS QUE C'ÉTAIT L’AUTRE CLIENT D’ALLEN DULLES, LE BARON KURT VON SCHROEDER, QUI ÉTAIT LE DÉPOSITAIRE NAZI POUR LES SOCIÉTÉS THYSSEN qui prétendaient maintenant être détenues par les Hollandais. La Banque de Rotterdam était au cœur du système de camouflage de Dulles, et il gardait jalousement ses secrets.

PLUSIEURS DÉCENNIES APRES LA GUERRE, LE JOURNALISTE D'INVESTIGATION PAUL MANNING, LE COLLÈGUE D’EDWARD R. MURROW, TRÉBUCHA SUR LES INTERROGATOIRES DE THYSSEN DANS L’US NATIONAL ARCHIVES. MANNING AVAIT L'INTENTION D'ÉCRIRE UN LIVRE SUR LE BLANCHIMENT D'ARGENT DES NAZIS. LE MANUSCRIT DE MANNING ÉTAIT UN POIGNARD PLACÉ SUR LA GORGE D’ALLEN DULLES : SON LIVRE MENTIONNAIT EXPRESSEMENT LA BANK VOOR HANDEL EN SCHEEPVAART PAR SON NOM, MAIS EN PASSANT. DULLES SE PORTA VOLONTAIRE POUR AIDER MANNING, QUI NE SE DOUTAIT DE RIEN, AVEC SON MANUSCRIT, ET IL L'ENVOYA SUR UNE FAUSSE PISTE, à la recherche de Martin Bormann, en Amérique du Sud.

Sans savoir qu'il avait été délibérément dérouté, Manning écrivit un forward à son livre, remerciant personnellement Allen Dulles pour sa « certitude que j'étais » sur la bonne voie, et devrais continuer. DULLES AVAIT ENVOYÉ MANNING ET SON MANUSCRIT BIEN LOIN, DANS LES MARAIS DE L'OBSCURITÉ. LA MÊME ESCROQUERIE CONCERNANT CETTE « RECHERCHE DE MARTIN BORMANN » FUT ÉGALEMENT UTILISÉE AVEC SUCCÈS POUR DISCRÉDITER LADISLAS FARAGO, UN AUTRE JOURNALISTE AMÉRICAIN QUI SONDAIT TROP LOIN DANS LE DOSSIER DU BLANCHIMENT D'ARGENT DES NAZIS. Les enquêteurs américains ont dû être envoyés n'importe où, sauf en Hollande.

ET AINSI, LA CONNEXION NÉERLANDAISE RESTA INEXPLORÉE JUSQU'EN 1994, lorsque je publiais le livre "The Secret War Against the Jews" (« La guerre secrète contre les Juifs »). En tant que question de curiosité historique, je mentionnais que FRITZ THYSSEN (ET, INDIRECTEMENT, LE PARTI NAZI) AVAIENT OBTENU LEUR FINANCEMENT TÔT, DE LA PART DE BROWN BROTHERS HARRIMAN, ET DE SA SOCIÉTÉ AFFILIÉE, L'UNION BANKING CORPORATION. L’UNION BANK, À SON TOUR, ÉTAIT LE HOLDING DE LA FAMILLE BUSH POUR UN CERTAIN NOMBRE D'AUTRES ENTITÉS, INCLUANT LA "HOLLAND AMERICAN TRADING COMPANY".

Il était de notoriété publique que les exploitations Bush avaient été saisies par le gouvernement américain après que les Nazis aient envahi la Hollande. EN 1951, LES BUSH RÉCUPÉRÈRENT L’UNION BANK DE CHEZ LE DÉPOSITAIRE DES BIENS ÉTRANGERS DES ÉTATS-UNIS, AVEC LEURS ACTIFS NÉERLANDAIS "NEUTRES". Je ne le savais pas, mais j'étais tombé sur un très gros morceau de la connexion néerlandaise manquante. LA PROPRIÉTÉ DE BUSH DE LA SOCIÉTÉ D'INVESTISSEMENT HOLLAND-AMERICAN (DUTCH HOLLANDISCHE-AMERIKANISCHE INVESTMENT CORPORATION) CONSTITUAIT LE CHAÎNON MANQUANT À LA RECHERCHE ANTERIEURE DE MANNING DANS LES DOSSIERS D'ENQUÊTE CONCERNANT THYSSEN. En 1981, Manning avait écrit :

"La première étape de Thyssen dans une longue danse de fraudes fiscales et monétaires commença [à la fin des années 1930], quand il écoula ses actions dans la Dutch Hollandische-Amerikanische Investment Corporation afin que celles-ci soient débitées de la Bank voor Handel en Scheepvaart, NV, à Rotterdam, la banque qui avait été fondée en 1916 par August Thyssen Senior".

Dans ce paragraphe obscur, dans un livre peu connu, Manning avait involontairement documenté deux points intrigants :

1) LA UNION BANK DES BUSH AVAIT APPAREMMENT ACHETÉ LE MÊME STOCK D'ENTREPRISE QUE CELUI QUE LES THYSSEN VENDAIENT DANS LE CADRE DE LEUR BLANCHIMENT D'ARGENT NAZI, ET

2) LA ROTTERDAM BANK, LOIN D'ÊTRE UNE INSTITUTION NEUTRE NÉERLANDAISE, AVAIT ÉTÉ FONDÉE PAR LE PÈRE DE FRITZ THYSSEN. Avec le recul, Manning et moi avions découvert les différentes extrémités de la connexion néerlandaise.

Après avoir lu l'extrait de mon livre concernant la propriété de Bush de la Holland-American trading Company, l’agent du renseignement américain à la retraite, William Gowen, commença à rassembler les pièces du puzzle. M. Gowen connaissait chaque recoin de l'Europe via son passé en tant que fils de diplomate, agent du renseignement américain, et journaliste. William Gowen mérite à lui seul les honneurs pour avoir découvert le mystère de la façon dont les industriels nazis avaient caché leur argent aux Alliés à la fin de la seconde guerre mondiale.

En 1999, M. Gowen voyagea en Europe, à ses propres frais, afin de rencontrer un ancien membre du renseignement hollandais qui avait détaillé des informations internes sur la banque de Rotterdam. Le scrupuleux Gowen prit une déclaration écrite, puis fit lire sa source et fit corriger les erreurs. Voici, sous forme de résumé, la façon dont les Nazis cachèrent leur argent en Amérique.

Après la Première Guerre mondiale, August Thyssen avait été gravement brûlé par la perte d'actifs, suite aux termes sévères du traité de Versailles. Il était déterminé à ce que cela ne se reproduise jamais. Un de ses fils rejoindrait les Nazis, l'autre serait neutre. Peu importe qui gagnait la prochaine guerre, la famille Thyssen survivrait, avec leur empire industriel intact. FRITZ THYSSEN REJOIGNIT LES NAZIS EN 1923; SON JEUNE FRÈRE SE MARIA DANS LA NOBLESSE HONGROISE ET CHANGEA SON NOM EN BARON THYSSEN-BORNEMISZA. Le baron revendiqua plus tard la citoyenneté hongroise, ainsi que la nationalité néerlandaise. En public, il faisait semblant de détester son frère nazi, MAIS EN PRIVÉ, ILS SE RENCONTRAIENT À DES CONSEILS D’ADMINISTRATION SECRETS EN ALLEMAGNE AFIN DE COORDONNER LEURS OPÉRATIONS. SI UN FRÈRE ÉTAIT MENACÉ DE PERDRE DES BIENS, IL TRANSFÉRERAIT SES AVOIRS À L'AUTRE.

POUR AIDER SON FILS DANS LEUR JEU DE PASSE, AUGUST THYSSEN AVAIT ÉTABLI TROIS BANQUES DIFFÉRENTES AU COURS DES ANNÉES 1920 – LA BANQUE AUGUST THYSSEN À BERLIN, LA BANK VOOR HANDEL EN SCHEEPVAART À ROTTERDAM, ET L'UNION BANKING CORPORATION À NEW YORK. AFIN DE PROTÉGER LEURS AVOIRS D'ENTREPRISE, TOUT CE QUE LES FRÈRES AVAIENT À FAIRE ÉTAIT DE DÉPLACER LA PAPERASSERIE DES ENTREPRISES D'UNE BANQUE À L'AUTRE. CE QU'ILS FIRENT AVEC UNE CERTAINE RÉGULARITÉ. LORSQUE FRITZ THYSSEN « VENDIT » LA HOLLAND-AMERICAN TRADING COMPANY POUR UNE BOUCHÉE DE PAIN, ET L'UNION BANKING CORPORATION À NEW YORK ACHETA LE STOCK. DE FAÇON SIMILAIRE, LA FAMILLE BUSH INVESTIT LES BÉNÉFICES DÉGUISÉS DES NAZIS DANS L’ACIER AMÉRICAIN ET DANS DES SOCIÉTÉS DE FABRICATION QUI DEVINRENT DES PARTIES DE L'EMPIRE SECRET DE THYSSEN.

Lorsque les nazis envahirent la Hollande en mai 1940, ils enquêtèrent sur la Bank voor Handel en Scheepvaart à Rotterdam. FRITZ THYSSEN ÉTAIT SOUPÇONNÉ PAR LES VÉRIFICATEURS D’HITLER D'ÊTRE UN FRAUDEUR FISCAL ET DE TRANSFÉRER ILLÉGALEMENT SA RICHESSE EN-DEHORS DU IIIème REICH. Les vérificateurs nazis avaient raison : THYSSEN sentait que les politiques économiques d'Hitler dilueraient sa richesse à travers l'inflation de guerre ruineuse. Il AVAIT FAIT ENTRER CLANDESTINEMENT SES PROFITS DE GUERRE VIA LA HOLLANDE. Mais les coffres-forts de Rotterdam ne possédaient aucun indice concernant l'endroit où l'argent avait disparu. LES NAZIS NE SAVAIENT PAS QUE TOUS LES DOCUMENTS ATTESTANT LA PROPRIÉTÉ SECRÈTE DE THYSSEN AVAIENT ÉTÉ DISCRÈTEMENT RENVOYÉS À LA BANQUE AUGUST THYSSEN A BERLIN, SOUS LA SURVEILLANCE BIENVEILLANTE DU BARON KURT VON SCHROEDER. Thyssen passa le reste de la guerre en résidence VIP surveillée. IL AVAIT TROMPÉ HITLER, CACHÉ SES PROFITS IMMENSES, ET À PRÉSENT, IL ÉTAIT TEMPS DE TROMPER LES AMÉRICAINS AVEC LE MÊME JEU DE PASSE.

DÈS QUE BERLIN TOMBA FACE AUX ALLIÉS, IL FUT TEMPS DE RÉEXPÉDIER LES DOCUMENTS À ROTTERDAM DE SORTE QUE LA BANQUE "NEUTRE" PUISSE EN REVENDIQUER LA PROPRIÉTÉ SOUS LA SUPERVISION BIENVEILLANTE D'ALLEN DULLES QUI, COMME LE CHEF DES RENSEIGNEMENTS DE L’OSS EN 1945 À BERLIN, ÉTAIT BIEN PLACÉ POUR GÉRER TOUTES LES ENQUÊTES GÉNANTES. Malheureusement, la banque August Thyssen avait été bombardée pendant la guerre, et les documents furent enterrés dans les coffres-forts souterrains, sous les décombres. Pire encore, ces coffres-forts se trouvaient dans la zone soviétique de Berlin.

Selon la source de Gowen, LE PRINCE BERNHARD COMMANDAIT UNE UNITÉ DU RENSEIGNEMENT NÉERLANDAIS, LAQUELLE DÉTERRA CES PAPIERS INDUSTRIELS COMPROMETTANTS EN 1945, ET LES RAMENA À LA BANQUE « NEUTRE » À ROTTERDAM. LE PRÉTEXTE FUT QUE LES NAZIS AVAIENT VOLÉ LES JOYAUX DE SON ÉPOUSE, LA PRINCESSE JULIANA, ET LES RUSSES DONNÈRENT AUX NÉERLANDAIS LA PERMISSION DE DÉTERRER LE COFFRE-FORT AFIN DE LES RÉCUPÉRER. L’OPÉRATION JULIANA CONSTITUA UNE FRAUDE DES NÉERLANDAIS FACE AUX ALLIÉS QUI CHERCHAIENT PARTOUT LES PIÈCES MANQUANTES DE LA FORTUNE DE THYSSEN.

En 1945, l'ancien directeur néerlandais de la banque de Rotterdam en reprit le contrôle pour découvrir qu'il était assis sur un énorme tas de biens cachés des Nazis. En 1947, ce gestionnaire menaça d'informer les autorités néerlandaises, et fut immédiatement viré par les Thyssen. CE DIRECTEUR DE BANQUE UN PEU NAÏF, S'ENFUIT ALORS À NEW YORK CITY OÙ IL AVAIT L'INTENTION DE PARLER AU DIRECTEUR DE L'UNION BANK, PRESCOTT BUSH. COMME LA SOURCE NÉERLANDAISE DE GOWEN S’EN EST RAPPELÉE, CE GESTIONNAIRE AVAIT L'INTENTION « DE RÉVÉLER [À PRESCOTT BUSH] LA VÉRITÉ CONCERNANT LE BARON HEINRICH ET LA BANQUE DE ROTTERDAM, [AFIN QUE] TOUT OU PARTIE DES INTÉRÊTS THYSSEN DANS LE GROUPE THYSSEN PUISSENT ÊTRE SAISIS ET CONFISQUÉS EN TANT QUE PROPRIÉTÉ ENNEMIE DES ALLEMANDS ». LE CORPS DE CE GESTIONNAIRE FUT RETROUVÉ À NEW YORK DEUX SEMAINES PLUS TARD.

DE MÊME, EN 1996, UN JOURNALISTE NÉERLANDAIS, EDDY ROEVER, SE RENDIT À LONDRES POUR INTERVIEWER LE BARON, QUI ÉTAIT LE VOISIN DE MARGARET THATCHER. LE CORPS DE ROEVER FUT DÉCOUVERT DEUX JOURS PLUS TARD. Peut-être, fit remarquer sèchement Gowen, était-ce seulement une coïncidence que ces deux hommes en bonne santé soient décédés d'une crise cardiaque immédiatement après avoir tenté de découvrir la vérité sur les Thyssen ?

Ni Gowen, ni sa source néerlandaise ne connaissaient les éléments de preuve contenus dans les archives de l’Alien Property Custodian (gardien des biens étrangers) ou dans les archives de l’OMGUS. Ensemble, les deux séries distinctes de fichiers américains se chevauchent et corroborent directement la source de Gowen. LA PREMIÈRE SÉRIE D’ARCHIVES CONFIRME ABSOLUMENT QUE L'UNION BANKING CORPORATION À NEW YORK ÉTAIT LA PROPRIÉTÉ DE LA BANQUE DE ROTTERDAM. LA DEUXIÈME SÉRIE (CITÉE PAR MANNING) CONFIRME QUE LA BANQUE DE ROTTERDAM, À SON TOUR, ÉTAIT DÉTENUE PAR LES THYSSEN.

Il n'est pas surprenant que ces deux agences américaines n'aient jamais partagé leurs fichiers sur Thyssen. Comme l'historien réputé Burton Hersh l’a documenté :

"L’Alien Property Custodian (gardien des biens étrangers), Leo Crowley, était sur la liste de paie de la banque J. Henry Schroeder, à New York, où Foster et Allen Dulles siégeaient tous deux en tant que membres du conseil d’administration. Foster avait organisé un rendez-vous pour lui-même en tant que conseiller juridique spécial pour l’Alien Property Custodian, tout en représentant les intérêts [allemands] qui allaient contre ce gardien."

Pas étonnant qu’Allen Dulles avait envoyé Paul Manning sur une fausse piste en Amérique du Sud. Il était très proche de découvrir le fait que LA BANQUE DES BUSH À NEW YORK CITY ÉTAIT SECRÈTEMENT DÉTENUE PAR LES NAZIS, AVANT, PENDANT ET APRÈS LA SECONDE GUERRE MONDIALE. Une fois que la propriété de l'Union Banking Corporation par Thyssen est prouvée, elle constitue une PREUVE DE TRAHISON APPAREMMENT CORRECTE CONTRE LES FAMILLES DULLES ET BUSH POUR AVOIR AIDÉ ET ENCOURAGÉ L'ENNEMI EN TEMPS DE GUERRE.

John LOFTUS

LE PLUS CATASTROPHIQUE POUR LA FRANCE, LE PLUS DÉSOLANT POUR LES FRANÇAIS, C'EST LÀ QU'ELLE A ÉTÉ CHERCHER SA FEUILLE DE ROUTE IL Y A 3 ANS ET QU'ELLE A COMMUNIQUÉ LES ORDRES À LA COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE.

 

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