UNE MÉTHODE SIMPLE ET EFFICACE

Intéressante découverte faite par la Cour des Comptes

Des pays où l’on vit plus que centenaire

Déjà ne plus payer les retraites aux centenaires. Je pense que s’il y en a encore en vie ils se feront connaître et les autres ne se risqueront pas à réclamer. Et j'étendrai ce dispositif de non paiement même aux 90 ans, pour les autres les obliger à se présenter dans les ambassades (ou si incapable de se déplacer un officier ministériel fera les vérifications qui s'imposent).

Intéressante découverte faite par la Cour des Comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que le nombre de retraités centenaires algériens était particulièrement important. Ce nombre est même supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie.

Rolande Ruellan, présidente de la 6ème chambre de la Cour des Comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire, reconnait le problème : "Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers" dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens.

Pourquoi ? Comment ? C’est ce qu’a tenté de savoir la commission. "Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant-droit" précise la magistrate. "Mais il n’y a pas de contrôle ?" s’étonne un membre de la commission.

En Algérie nous n’en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays. Ce n’est pas évident souligne-t-elle.

En résumé clair : les Algériens bi-nationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite.

Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès. Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.

On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d’euros de retraite à l’étranger, dont 1 milliard pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications : soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence, comme cela se fait en France pour les professions libérales, notamment. Soit, en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions (plus compliqué peut-être ... mais après tout pour percevoir la pension rien n'est impossible... surtout pour leurs enfants qui ne manqueront pas d'accompagner leurs vieux pour récupérer une partie de la pension due et perçue... normalement)

Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il serait bon que nos gouvernants se penchent aussi sur cette question... ne pensez vous pas ?

Et qu'en pensent les "braves" syndicats... Là, ils n'ont pas réagi, on ne les a pas entendus...

Quand on vous dit que les syndicats... ou les élus responsables (notamment nos "super" ministres de gauche ou de droite), car ce problème ne date pas d'hier..., nous prennent pour des C O N S. Alors qu'est ce qu'on fait ? Comme en Tunisie ?

C'EST UNE PERFORMANCE À SALUER...

C'est pire qu'un scandale car à cela s'ajoutent les allocations familiales à tous ceux qui ont X femmes (il fut découvert qu'un magrébin avait 143 enfants... et combien sont-ils dans ce cas, même s'ils n'ont pas atteint ce nombre ?)

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