Non au « baiser de la lune » dans les écoles !
>>> Signez la pétition <<<
Nous relayons l’appel à pétitionner
lancé par l’hebdomadaire Les 4 Vérités :
Appel à pétition contre une
incitation à l’homosexualité à destination des enfants de 9 à 10 ans, avec le
soutien du ministère de l’Éducation nationale.
Il arrive un moment où il faut dire
stop. Stop à la stupidité, stop à la provocation, stop à l’immoralité. Une
souscription légale vient d’être lancée par Sébastien Watel,
réalisateur d’un film intitulé « Le baiser de la lune », qui serait
diffusé dans les classes de CM1 et de CM2.
Dans son appel à souscription, Watel lui-même explique :
« Le baiser de la lune est un
court métrage d’animation poétique (sic !) destiné
à servir d’outil pédagogique pour aborder les relations amoureuses entre
personnes du même sexe à l’intention des enfants de CM1/CM2.
« Le film d’animation le baiser
de la lune dépeint, de façon poétique, différentes façons de s’aimer, dont celle
de deux « poissons-garçons ».
« À travers ce film, je souhaite
apporter une meilleure représentation des relations amoureuses entre les
personnes du même sexe.
« Il s’agit de montrer que deux
hommes ou deux femmes peuvent s’aimer, même si leurs amours paraissent
différents ou impossibles.
« Au-delà de la problématique
homosexuelle, ce film est une lutte contre les discriminations, par un
apprentissage du respect de l’autre et de sa différence. »
« Prisonnière d’un château de
conte de fée, une chatte, « la vieille Agathe », est persuadée que
l’on ne peut s’aimer, que comme les princes et princesses. Mais cette vision étroite
de l’amour est bouleversée par Félix, qui tombe amoureux de Léon, un
poisson-lune, comme par la lune, amoureuse du soleil : deux amours
impossibles, pour « la vieille Agathe ». Pourtant, en voyant ces
couples s’aimer, librement et heureux, le regard de la chatte change et s’ouvre
à celui des autres. C’est ainsi qu’elle quitte son château d’illusion et se
donne enfin, la possibilité d’une rencontre… »
Lors de sa diffusion dans les
classes, ce film sera accompagné d’un « livret pédagogique » (sic)
destiné à « faire réfléchir les élèves sur les différentes relations
amoureuses. »
« Ce dvd-livret est à
l’intention des enseignants ou intervenants souhaitant débattre avec leurs
élèves, des différentes relations amoureuses suite au visionnage du film. »,
est-il précisé sur le site.
« Une première partie sera
destinée à analyser le film de façon ludique, afin de discuter des intentions
de l’auteur et de la psychologie des personnages. »
« Une seconde partie développera
des exercices ludiques amenant les élèves à réfléchir sur les relations
amoureuses : norme, stéréotypes, relations amoureuses entre personne du
même sexe. »
Il est permis de se demander en quoi
consisteront ces « exercices ludiques ». On peut tout craindre !
« Une troisième partie donnera
des informations simples mais juste sur les relations amoureuses entre personne
de même sexe. Ces informations sont destinées à répondre de manière appropriée,
aux interrogations éventuelles des élèves. »
Les « interrogations
éventuelles » d’élèves de 9 et 10 ans !
En consultant, toujours sur le site
du film, les partenaires officiels du projet, on trouve, à côté du « magazine
des gays et des lesbiennes », Têtu, du Centre Gays, Lesbiennes, Bi et
Transsexuels (CGLBT) de Rennes, de SOS-Homophobie et de la Ligue de l’Enseignement
d’Ille-et-Vilaine, une quantité d’institutions publiques, parmi lesquelles :
le ministère de la Jeunesse et des Sports ; l’Éducation nationale
(Inspection académique d’Ille-et-Vilaine) ; Le Centre National de la
Cinématographie (CNC) ; le Conseil régional de Bretagne ; le Conseil
général des Côtes d’Armor ; la Ville de Rennes ; TV Rennes…
En voilà assez ! Ce sont nos
enfants qu’il s’agit de défendre, c’est leur intégrité mentale qui est menacée
par ce genre de projet, avec la complicité active de la puissance publique !
Les parents français sont fondés à
refuser que la propagande pernicieuse et l’idéologie du lobby homosexuel
pénètrent dans les écoles et jusque dans les classes de leurs enfants.
Ils sont fondés à se révolter dès
lors que l’école publique est financée par leurs impôts.
Ils sont fondés à se rebeller dès
lors que l’État leur fait une obligation de scolariser leurs enfants pour les
instruire, par pour les pervertir.
On comprend qu’ils soient de plus en
plus nombreux à choisir d’inscrire leurs enfants dans des écoles hors contrat,
malgré les sacrifices financiers que cela représente.
Nous appelons donc les parents
français à dire leur révolte et leur refus en signant la pétition ci-jointe,
qui sera adressée aux ministères des sports et de l’Éducation, au Conseil
régional de Bretagne et au Conseil général des Côtes d’Armor. Il faut faire
savoir aux responsables politiques complices de cette indignité que la révolte
des Français aura très bientôt des répercussions certaines sur leur réélection.
>>> Signez la pétition<<<
--