Kotel ou Kaaba ? La guerre spirituelle |
François Célier se fait reporter en direct du front de la guerre
spirituelle qui fait rage. |
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Merci de prêter attention à cette
guerre spirituelle qui se déroule sous nos yeux et que je tente d’analyser et
de communiquer à ceux qui l’ignorent ou la sous-estiment car de fait, elle
n’est pas du tout prise en compte par les politiques et leurs médias, polarisés
qu’ils sont par la pensée unique. François Célier.
Sur un plan, disons métaphysique,
deux visions du ciel et de la terre me paraissent totalement antagonistes : Kotel ou Kaaba ? Yéroushalaïm ou la Mecque ? Ha’Shem ou Allah ? Moïse et Jésus ou Mahomet et Mahdi ? Coran et hadîts ou Thora et Évangile ? Droits de l’homme ou glaive de la
Charria ? Démocratie et liberté ou
Communauté et mosquée ?
Pour les adorateurs de la Kaaba
(1), haut lieu sacré d’Allah le Miséricordieux, anéantir le Kotel (2), haut
lieu de la spiritualité des juifs en Ha’Shem d’où émane son amour et la vérité,
constituerait le préliminaire religieux et géopolitique le plus extraordinaire
de tous les temps, seul scoop susceptible d’entrainer la mobilisation de
centaines de millions de musulmans au grand jihad planétaire. Dans cette
perspective d’irrationalité ultime, quoique, Ahmadinejad ne déclare-t-il pas
expressément qu’il va atomiser Israël et Jérusalem ? Se pourrait-il que la tragédie
occidentale du 11 septembre 2001 ne fut qu’un essai expérimental grandeur
nature, permettant aux stratèges de l’idéologie islamiste d’analyser les
réactions des leaders politiques et de leurs médias, de même que l’impact
d’effroi psychologique exercé sur les citoyens des nations occidentales ?
Les islamistes n’ignorent pas que
la troisième guerre mondiale, qu’ils ont la possibilité de déclencher, sera non
seulement totalitaire, mais surtout d’envergure eschatologique, autrement dit
politico-religieuse. Aussi préparent-ils avec zèle la voie royale du douzième
Mahdi messianique et son Califat planétaire (3). Par ailleurs, 25 ans après
Tchernobyl, nous voyons sur nos écrans les dégâts dévastateurs d’un accident
nucléaire japonais s’échappant de trois réacteurs quasiment incontrôlables. Et
dans le monde entier, des images montrent le drame d’un tsunami conjugué au
péril de prolifération nucléaire, qui étreignent les
cœurs et les esprits. Bouleversés, tous les peuples se sentent interpellés au
plus profond d’eux-mêmes.
La troisième guerre mondiale qui
s’ordonnance sous nos yeux, à la fois religieuse, géopolitique et économique,
impliquera l’usage d’armes atomiques. C’est pourquoi pour beaucoup de penseurs,
elle relèvera d’un ordre métaphysique. Un millénaire avant notre ère des
prophètes hébreux nous en avertissait déjà : « Or, voici de
quelle plaie l’Éternel frappera tous les peuples qui auront fait campagne
contre Jérusalem : leur chair se
décomposera, eux étant encore sur pied, leurs yeux s’useront dans leur orbite,
et leur langue pourrira dans leur bouche. En ce jour, règnera parmi eux une grande perturbation de par l‘Eternel ; l’un saisira la main de l’autre,
et la main de celui-ci s’élèvera contre la main de l’autre ». Zacharie 14 :12-13
Stupéfiante prédiction des effets
de la radioactivité sur les hommes d’aujourd’hui qui, depuis soixante sept ans,
étaient parvenus à instaurer une période d’équilibre de la terreur, empêchant
ainsi le déclenchement d’un conflit atomique. Or, la dimension irrationnelle de
la mystique islamiste implique cette éventualité suicidaire, au nom d’Allah.
Elle peut passer outre sans craindre qui que ce soit car les conséquences en
pertes humaines sont pour elle théologiquement dédouanées par le Saint Coran,
pour la cause d’Allah.
De nos jours, le grand ébranlement
qui secoue le monde arabe et le regain de l’islam, demeuré inamovible et
toujours médiévaliste dans ses dogmes, déconcertent l’Occident. Actuellement,
sans concertation préalable, comme allant de soi, des populations de nombreux
pays musulmans fourbissent leurs armes pour des engagements révolutionnaires,
pacifiques dans un premier temps, puis à balles réelles. Ces contagions
ressemblent à une réaction en chaine. Serait-elle commandée par une puissance
cachée ?
Des peuples mahométans se révoltent
dans plusieurs pays du Moyen-Orient. Ils s’ébrouent, hurlent et se défont d’une
trop lourde charge de peurs programmées et orchestrées par leurs potentats
présidents. Seraient-ils poussés, subconsciemment, d’en découdre uniquement
avec leurs guides et pères ? Envers le monde occidental, objet de frustrations insupportables et de
convoitises ? Envers les américains déclinant de
leur prééminence ? Et enfin, in fine, envers le minuscule et
toujours présent État d’Israël, l’adversaire séculaire ? Ou bien, une curiosité légitime de
découvrir l’odeur et la couleur du mot liberté ? Crainte aussi d’un déclin
énergétique qui priverait leurs enfants de goûter aux fruits des pétro-dollars
et du consumérisme ? Serait-ce une sorte de baroud d’honneur millénariste conjuratoire, à la « à dieu va » ?
Quel est en fait le moteur qui
gronde pour donner force à cet irrépressible chambardement ? Débouchant sur quoi au juste ? Un concept de démocratie islamique ? Improbable et illusoire car il sera
dans l’impossibilité de dissocier le Sacré du Politique, le Coran de la Charia.
Telle l’aiguille aimantée d’une boussole religieuse indiquant le magnétisme
spirituel de Jérusalem, les musulmans tournent leurs faces vers ce haut lieu
spirituel, comme le fit jadis leur guide Mahomet, avant que les juifs ne
refusassent de le reconnaître Prophète et que, par dépit, ce dernier se tourna
vers la Mecque ? Que d’étrangetés ontologiques sur
lesquelles s’interroger et méditer pour les intelligents que nous devrions
être…
Ce vivace, coriace et irréductible
petit pays israélien est toujours planté comme une écharde ulcérant dans
l’immense corps des terre arabes patiemment conquises en quatorze siècles de
razzias, d’esclavagisme et de duplicité. Israël demeure depuis toujours la
cible et l’enjeu stratégique majeur, non seulement pour continuer la conquête
du monde des infidèles, mais plus encore, parvenir s’il se peut à détruire le
cœur de Jérusalem et son Kotel, présence et prunelle de l’Eternel posée en
Sion. Autrement dit, les islamistes se doivent de posséder la bombe atomique
pour conquérir Al Qod, ou disparaître de l’Histoire.
Contrairement à l’évolution
séculaire des nations occidentales, le monde de l’islam ne peut perdurer que
par son dogme d’expansion territoriale, un espace vital qui doit se développer
incessamment, contraint qu’il est par l’exigence des exhortations coraniques à
croître spatialement et temporellement. Cette politique expansionniste diffère
en cela de celles des peuples fidèles aux codes éthiques et spirituels de la
Torah et de la Bible judéo-chrétienne.
Autre particularité de l’islam, la haine viscérale, innée, qui l’habita dès
sa naissance en 632, puis sa peur mystique congénitale, réactivée par la
renaissance d’Israël en 1948. Cette stupéfiante parturition étatique, reconnue
à contrecœurs par les nations onusiennes (la providence y veillait), explique
la raison de leur désaveu actuel. L’existence d’Israël au XXIème siècle risque
de mettre en question la croissance de l’Oumma, édifiée par manigances et
guérillas de conquêtes, entrecoupées de longues périodes d’attentisme patient.
Jusqu’alors sans péril ni alarme, voici que l’islam du XXème siècle se trouve
confronté à une menace existentielle inattendue : la critique scientifique et
historique de ses sources, le dévoilement des inexactitudes de son exégèse et
l’adjuration de ses dogmes meurtriers engendrant un terrorisme aveugle
irrecevable.
D’autre part, la peur d’apostasier
et de contrevenir aux absolus du jihad dans lequel les fidèles doivent bon gré,
mal gré s’engager ; les découvertes d’historiens
islamologues honnêtes sur les falsifications coraniques (plusieurs fois
réaménagés aux deux premiers siècles), les contre-vérités historiques, les
fabulations rajoutées, les plagiats bibliques, l’inversion des valeurs
humanistes et enfin, l’astucieuse musulmanisation des prophètes hébreux de la
Thora, de Jésus le juif, de sa parenté et de ses disciples, tous juifs. Ce
nouvel éclairage et ses remises en question dorénavant possibles amènent leurs
fidèles à refuser tout aggiornamento et à éprouver divers effets nocifs d’une
sorte de schizophrénie collective à caractère religieux.
Les juifs fidèles (certains ne le
sont pas) depuis près de quatre millénaires et les judéo-chrétiens fidèles (de
moins en moins nombreux) depuis deux millénaires, partagent une même
conviction, celle de croire que la restauration de l’état d’Israël n’est pas
uniquement le fait d’une tragédie politique génocidaire fomentée par un
national-socialisme qui engendra l’égarement d’une partie de l’Europe civilisée
jusqu’à la faire complice de la Shoah, degré zéro de l’inhumanité, mais aussi par l’évidente preuve de la
fidélité de Dieu à Sa Parole et aux Promesses qu’il fit à Abraham et à la
postérité d’Isaac et de Jacob. « Cette alliance, établie entre moi
et entre toi et ta postérité dernière, je l’érigerai en alliance perpétuelle,
étant pour toi un Dieu comme pour ta postérité après toi. Et je donnerai à toi
et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaan,
comme possession indéfinie ; et je serai pour eux un Dieu tutélaire ». Genèse 17 : 7-8
Pour les judéo-chrétiens du 1er siècle, le jugement des nations
était prophétisé en prévision d’une époque semblable à la nôtre, impliquant une
guerre mystique totalitaire, des pays
entiers criblés de foyers insurrectionnels, d’anarchie généralisée, de
terrorisme aveugle, d’effondrement monétaire et économique, d’accélération de
catastrophes naturelles, tremblements de terre, éruptions volcaniques,
dislocations des fonds sous-marins, pénuries énergétiques et céréalières
provoquant des famines effrayantes et des maladies inconnues qui ravageront des
peuples entiers. Matthieu, un des rédacteurs hébreux évangélique écrivit la
réponse de Jésus à la question qui lui fut posée sur la fin des temps : « Prenez garde que personne ne vous
séduisent, car plusieurs viendront sous mon nom, disant : c’est moi qui suis le Christ. Et
ils séduiront beaucoup de gens. Vous
entendrez parler de guerres : gardez-vous
d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la
fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume,
et il y aura en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tous cela ne sera que le commencement des douleurs. Alors on
vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les
nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont, et ils se
trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront,
et ils séduiront beaucoup de gens. Et parce que l’iniquité se sera accrue, la
charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévèrera jusqu’à
la fin sera sauvé. Matth 24 : 2-13
C’est pourquoi, juifs et chrétiens
en bonne connaissance de la Loi et de la Foi qui les habitent continueront à
soutenir Israël, à son droit d’exister, de jouir de la terre que Dieu donna au
peuple hébreu en possession éternelle, de proclamer que Jérusalem, la cité de
David, est et restera à jamais la capitale éternelle et indivisible du peuple
juif. Ce contrat divin demeure un absolu qui ne peut qu’exaspérer le monde
arabe, issu de la postérité des fils d’Ismaël, pour lesquels d’autres promesses
furent prononcées.
Pour son quatrième millénaire,
Israël entre dans une période existentielle cruciale de son mandat terrestre.
Bien que cerné de toutes parts, avec la menace grandissante d’une guerre totale
avec le monde arabe, associé à une coalition de dizaines de nations onusiennes,
la population juive doit demeurer d’autant plus ferme et déterminée à tenir
bon. Ses seuls amis véritables seront des chrétiens évangéliques éprouvés et
des hommes justes parmi les nations. En regard des grandes et puissantes
métropoles du monde, la modeste capitale de l’état hébreu, décriée et convoitée,
se retrouve à nouveau au cœur d’un conflit majeur qui ne concerne
qu’incidemment le pseudo problème Palestinien, artificiellement créé pour
servir de prétexte récurrent et accommodant pour des pays, tant arabes
qu’occidentaux, par tactique politique, nécessité économique et
militaro-énergétique.
Maintenu dans une
cécité-surdité-mutité, un très grand nombre de citoyens occidentaux
méconnaissent les enjeux d’ordre géopolitiques et métaphysiques. Méthodiquement
endoctrinés sur ce qu’ils perçoivent des mobiles des nations antagonistes,
éperdument déboussolées par une pensée unique pernicieuse, s’empresseront
d’agréer à l’inique désappropriation de la terre ancestrale des juifs, de leur
capitale bien-aimée, réunifiée, épicentre de leur vie spirituelle et prunelle
de l’Éternel. Par méconnaissance, ils semblent tout à fait inconscients des
conséquences que cette animosité de propagandes intenses, représentera pour
leur propre vie. Quant aux autorités dirigeantes, ayant dédaigné les textes
thoraciques et bibliques, ils ignorent tout des avertissements du prophète
Zacharie qui prédisait à quel point la colère de Dieu allait s’abattre sur les
nations qui monteront contre Jérusalem. « Jérusalem sera foulée aux pieds des
nations, jusqu’à ce que le temps des nations soit accompli. Sur la terre, il y
aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire au bruit de la mer
et des flots car les puissances des cieux seront ébranlées ».
Pour clore cette réflexion générale
qui certes dramatise l’état du monde, je dirais qu’il y a une issue de secours.
Que vous soyez musulman, israélite, judéo-chrétien ou croyant en d’autres
religions, étant personnellement convaincu de la bonté et de la justice de
l’Eternel dont le nom immémorial est JE SUIS, je vous adresse les paroles du
poème d’un berger qui devint roi : « Dieu est pour
nous un abri, une force, un appui dans les tourments, facilement accessible.
Aussi, ne craignons rien, dût la terre bouger de sa place, et les montagnes
s’abîmer au sein de l’Océan ; dussent ses
flots gronder et bouillonner, et les montagnes trembler quand il entre en fureur ! L’Éternel Sabahot est avec nous, le Dieu de Jacob est une citadelle pour nous ». (Ps46 :2-3 / 8)
Quant aux agnostiques sourcilleux
et vigilants, aux humanistes affectés de voir tant de détresses humaines et aux
personnes foncièrement athées ou l’étant devenues (ce que je fus jadis), osez
en votre for intérieur vous adresser à « l’hypothèse » qui se nomme JE SUIS, tels que : « Puisque vous dites ÊTRE, veuillez éclairer mon
entendement sur l’irrationalité qui sous-tend la réalité, le sens de ma vie, et
les événements qui défraient ce monde qui se délite sous mes yeux ».
©François Celier, Pasteur et
écrivain
À la Mecque, la Kaaba se présente
comme un cube posé au sein de la mosquée sacrée (masjid al-Haram). Tous les
ans, un culte spiritoïde de grandes foules musulmanes s’y déroule. Il consiste
en une circumambulation autour de la Pierre noire, dans laquelle les anciennes
représentations de 360 divinités résidèrent, dont Vénus Uranie, Alita, Saturne,
Hubbal, al-Uzza et Manat puis, par le choix de Mahomet, Allah qui les remplaça.
Ce nouveau Panthéon religieux fut consacré à sa seule gloire.
(2) Le Kotel, ou Mur occidental
(HaKotel HaMa'aravi), est un mur de soutènement de l'esplanade du Temple à
Jérusalem, datant du premier siècle avant notre ère. Son pan visible mesure 57
mètres et n'est qu'une partie de la muraille occidentale qui mesurait 497
mètres. Selon la religion juive, il est le lieu le plus saint d’Israël par sa
proximité archéologique et spirituelle du Kodesh Ha' Kodashim (Saint des
Saints), salle dans laquelle seul le Cohen Gadol, (grand prêtre) pouvait
accéder une fois par an.
(3) Al-Mahdi, le Messie Shiite en
particulier, devrait apparaître dans notre temps, because la bombe atomique,
seule force apte à réunifier la nation islamique divisée, pour l’établissement
du Califat mondial. Muhammad al-Mahdi, aurait disparu pour devenir l'imam caché
qui doit redescendre sur la terre et instaurer la justice et la paix. Ahmadinejad
semble convaincu que son rôle est de hâter son retour en précipitant le monde
dans l’apocalypse. Lorsqu’il était Maire de Téhéran, il fit même construire une
autoroute reliant la mosquée Jamkaran (où le Mahdi devrait réapparaître) à
Téhéran.
Ce que l’on veut bien
vous dire, TV, radios, presse, n’est que mensonge. Croyez-vous sincèrement que
la CIA ne fait que commencer son travail ? Non ! La CIA était
sur place en Lybie auprès des insurgés qu’ils ont monté contre le régime, et c’est
de là que les prisons se sont ouvertes et ont libérées des individus très
dangereux qui n’ont rien à perdre de faire la guerre plutôt que de croupir dans
les geôles, et c’est la même raison qui a fait ouvrir les dépôts de munitions et
armé les insurgés non formés à la maitrise des armes. Pendant ce temps, et c’est
maintenant seulement que l’on apprend que Al-Qaeda serait en possession d’armes
destructives, tels que missiles sol / air.
Il ne faut pas être candide devant cette manipulation. Le Nouvel Ordre Mondial
veut en finir avec ceux qui s’y opposent et pour cela ils ont trouvé l’Islam,
les durs de l’Islam. Et Al-Qaeda sert de prétexte à toutes ces guerres. Il en
est pour preuve qu’un capitaine de l’armée française avait Ben Laden dans son
viseur en Afghanistan, il en a fait avertir le commandement tenu par les États-Unis
d’Amérique, et celui-ci n’a pas donné signe de vie. Pourquoi ? Eh bien !
pour avoir ce prétexte et surtout ne pas s’en défaire.
Propageons la vérité, car elle seule nous rendra libre. Ne mettons pas au
pinacle ceux qui ont déclenché cette guerre en Lybie, qui ont tiré les
premiers, car ils ont tous été formés par la CIA. Voilà où en est la France et
toute l’Europe, à la merci de ces monstres, ces va-t-en guerre. Oh ! pas
eux, mais les pauvres militaires qui iront se faire tuer pour ce Nouvel Ordre
Mondial qui n’a pas fini avec l’implant de la puce et tant d’autres choses qu’ils
ont prévu depuis un quart de siècle.
Restons dans la Paix, ne soyons pas des gogos ! Les Français ne
sont pas pour la guerre, les sondages sont pipés pour appuyer ces malfaisants
qui nous pourrissent la vie, qui tuent, parce que c’est « vrai »,
leur armes ne tuent pas, que ce soient des militaires ou des civils, mais il y
a quand même eu une bavure de taille qui démontre le contraire : des
insurgés armés et civils ont été tués et d’autres blessés par la coalition.
Alors tout ce montage n’est que manipulation. Ce qui devait durer une semaine,
puis un mois, dixit le chef d’état-major français, et maintenant le
commandement de l’OTAN annonce 3 mois. Nous allons vers un enlisement, et nos
troupes sous ce commandement n’auront pas le choix : il faudra partir.
Alors on voit bien que les Français ne sont pas en accord avec cette guerre qui
risque de s’étendre à d’autres pays.
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