L’ENLÈVEMENT DE CHRÉTIENS QUI DOIT SE FAIRE
Ce système est déjà mort, à mon humble avis.
La Grèce est déjà en défaut de paiement, et pas elle seulement. Le jour de l’effondrement des bourses tout
le monde sera surpris, parce qu’il peut tomber aujourd’hui comme demain.
Même les politiques ne sauront à quel moment ça va tomber. Mr Attali dit :
que ce n’est pas sûr que Hollande soit élu, et il a raison. Si la guerre se
déclare, les élections seront suspendues. En un mot, il ne sait pas quand les
choses vont se faire. Ceux qui le savent ne sont pas des politiques, et
eux-mêmes doivent attendre la réponse des puissances des ténèbres. Eux aussi
doivent attendre le signal de DIEU. Car c’est LUI qui est au contrôle de toutes
choses (JÉSUS-CHRIST). Sa Parole doit s’accomplir. La Bible parle de l’enlèvement de chrétiens qui doit se faire, personne
ne connaît le jour ou l’heure où cela va arriver. Les chrétiens vont allez
au Ciel vivre avec JÉSUS-CHRIST. Je précise que je suis sur un site chrétien
qui accepte tout un chacun. LIESI est un site chrétien.
(Auteur inconnu)
RÉVÉLATION CONCERNANT L’ENLÈVEMENT DE
L’ÉGLISE DE JÉSUS-CHRIST
Le 11 Déc. 1952 à Bergen
1 Thessaloniciens 4, 17 - « Ensuite, nous les vivants, qui serons
restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la
rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le
Seigneur. »
Ce qui suit m’a été révélé le matin du 11 décembre 1952 à Bergen
(Norvège), alors que je lisais une brochure, et que j’étais loin de penser à
l’enlèvement de l’Église. Je me sentis poussé de l’écrire, car cette vision
m’avait bouleversé, mais cependant, des doutes subsistaient en moi. Je dis à
Dieu : « Je ne puis me souvenir de tout. Si tu veux que je l’écrive,
donne-moi encore une fois cette révélation ». Après quelques semaines,
« elle » vint à nouveau. Il était dix heures du soir, et ce fut comme
si quelqu’un s’asseyait à mes cotés pour lire un rapport dans un journal. De
suite je pris un crayon et un cahier, et je me mis à écrire sans discontinuer
jusqu’à près d’une heure du matin.
Arrivé là, n’en pouvant plus car j’avais alors 79 ans, je priais le Seigneur lui demandant de pouvoir me reposer. Je lui proposais de bien vouloir me donner la suite le jour suivant, si toutefois Il avait davantage à me montrer. Je m’étendis sur mon lit et m’endormis aussitôt. Une semaine plus tard, également à 22 heures, je reçus à nouveau cette vision. En fait, c’était une continuation de la précédente. Elle commençait exactement à l’endroit où nous nous étions arrêtés la dernière fois.
Je souhaite que ces quelques lignes servent au réveil des âmes
Il est 9 heures du matin, Mme Andersen, assise devant le
poste de radio, écoute « l’heure
des enfants ». Elle trouve le programme à son goût aujourd’hui. Cette
émission mélange un peu de religion à son programme, juste ce qu’il faut, afin
de ne rien exagérer. Alors que l’émission se poursuit depuis 4 ou 5 minutes,
celle-ci s’interrompt subitement. Une nouvelle sensationnelle : Oslo, la
capitale, est dans une horrible panique : la police communique qu’un
événement inexplicable vient de se produire. Un grand nombre d’enfants et
d’adultes ont disparu sans laisser aucune trace. On ne sait encore le nombre de
disparus, il est si grand que les autorités sont impuissantes pour entreprendre
des recherches. Elles demandent aux familles touchées par cet événement de
fournir des informations détaillées sur le lieu et l’heure des disparitions,
car cela est indispensable pour faire face à la situation et en éclaircir les
causes, quelques vendeurs avaient disparu alors qu’ils exerçaient leur travail.
Une dame qui achetait des fleurs vit le fleuriste, qui cherchait la monnaie à
lui rendre, disparaître subitement. Elle
entendit bien qu’il disait : « Merci Jésus », mais elle ne le
vit plus. Elle se frotta les yeux, car il lui semblait avoir du brouillard
devant elle mais l’homme n’était plus là, et le brouillard avait également
disparu. Une jeune femme hurlait à faire frissonner jusqu’à la moelle des os :
elle cherchait dans une poussette vide, criant : « Quelqu’un a volé
mon enfant : c’est un garçon de 8 mois. OÙ est-il ? OÙ est la police ? »
La police était bien là, mais que pouvait-elle faire ? De toutes parts on
criait, et un grand tumulte se fut entendre. Un commerçant de forte taille sortit
de son magasin en criant « Au secours » : deux de ses vendeuses
venaient de disparaître de derrière l’étalage. Qu’était-ce donc que cela ?
Stockholm annonçait aussi la disparition de beaucoup de personnes et la ville
était plongée dans la panique. On rapportait même que plusieurs gendarmes
avaient disparu.
Maintenant, pareilles nouvelles arrivaient de Copenhague
et d’Helsinki. Les informations parvenues de la campagne annonçaient de plus en
plus de disparitions. Partout des enfants et des adultes manquaient. La police
ne sut quoi entreprendre, face à ce mystère. Mme Anderson se leva en
soupirant : « Mon Dieu, mon Dieu, qu’est-ce que cela ? »
Elle sortit de son jardin, et regardant dans la rue bordée de coquettes villas
environnées de beaux jardins, elle vit accourir Mme Holland qui, les mains en
visière sur ses yeux, criait : Ruth ! Ruth ! Lorsqu’elle aperçut
Mme Anderson, elle lui demanda : « As-tu
vu passer un étranger par ici ? Ruth a disparu : elle était assise
devant notre maison sur l’escalier, pendant que je m’occupais des rosiers, et
subitement elle a disparu ! Plus de trace d’elle ! Je l’appelais
et criais : Ruth ! Mais personne ne répondit. J’avais l’impression
que quelque chose était passé dans la rue, mais je suis toute troublée car je
ne comprends plus rien. Ruth ! Où es-tu ? Qui l’a enlevée ? Mme
Holland pleurait dans son désespoir. Maintenant, c’est Monsieur Anderson qui
arrive. « Comment, tu viens déjà ? Ce n’est pourtant pas l’heure, il
n’est que 9 Heures 31 ? » lui dit sa femme.
« Je n’ai plus envie de travailler ! » lui rétorque-t-il. « Dans
notre atelier tout est en désordre, car beaucoup d’ouvriers ont disparu ».
On supposait d’abord que des accidents en étaient responsables et nous avons
fait des recherches, mais sans trouver la moindre trace d’eux. Alors, un homme
qui fréquentait des réunions et qui se disait chrétien se mit à dire : « Maintenant c’est arrivé ! » :
Quoi, lui ai-je demandé ? « Jésus
a enlevé les siens » me dit-il en se tordant les mains. Il pleurait
éperdument en continuant de dire « Et moi je suis resté ici ! ». Je le priais de cesser de dire des bêtises, mais il sanglotait de plus en plus,
et c’était vraiment terrible de l’entendre. Certainement que d’autres se
trouvent dans la même situation. Je pense qu’on devra faire des heures
supplémentaires, ce soir.
« En ville, la situation est plus mauvaise encore.
Un embouteillage monstre s’était créé, car des conducteurs d’autobus et de
voitures privées avaient été enlevés et beaucoup de passagers avaient disparu.
Les tramways durent s’arrêter, bloqués comme les bus et les taxis, formant de
longues files dans les rues. Parmi cet embouteillage, les voitures ayant encore
des conducteurs cherchaient à se frayer un passage. Les gens étaient comme
fous, courant çà et là en cherchant leurs disparus. La police était
impuissante. Mme Holland rentra en pleurant, ainsi que Monsieur et Madame
Anderson ». Le poste de Bergen disait : « De tous côtés on
annonce des personnes disparues. Toute la matinée, le téléphone a sonné. Les
gens questionnent ou apportent leur témoignage. Sur mer, de nombreux bateaux
annoncent des personnes disparues. À la
maternité, tous les nouveau-nés ont disparu et les employées sont effrayées.
Parmi les sœurs religieuses, quelques-unes manquent à l’appel. À l’asile des vieillards,
plusieurs ont disparu ». De Londres cette fois, à 11 heures, la radio
communique que ce matin dès 9 heures, des nouvelles arrivaient subitement
de toutes les parties de l’Angleterre, annonçant la disparition d’une multitude
d’enfants et d’adultes sans qu’ils aient laissé la moindre trace. Aucun n’a été
retrouvé. C’est un grand mystère. Quelques pasteurs ont convoqué les membres de
leur communauté, et ils ont découvert que les plus pieux, les plus fidèles dans
la prière, ont disparu. Une partie des pasteurs manque aussi.
L’évêque d’une grande Église a convoqué le corps pastoral
pour ce soir. Trois heures et demie se sont écoulées depuis le premier rapport
venu d’Oslo, et ceux-ci continuent d’affluer de tous les pays. La nouvelle la plus sensationnelle vient
d’Extrême-Orient, de la Corée, où l’on évalue le nombre de disparus à plusieurs
centaines de milliers, parmi lesquels beaucoup de soldats. Les événements
qui se succèdent sont impossibles à décrire au fur et à mesure. Tous sont
profondément effrayés. Dans la rue, les gens cherchent désespérément les leurs,
particulièrement les mères privées de leurs enfants. Par contre, plusieurs se
moquent et maudissent aussi bien Dieu que les hommes. Un homme arrive en
courant, criant : « Attention ! Attention ! nous serons bientôt tous enlevés ». Il a probablement
perdu la raison. Au coin d’une rue, les mains jointes et les yeux levés au
ciel, une femme âgée dit : « Ô
non ! si nous ne nous sommes pas préparés à temps, maintenant plus personne ne
sera enlevé. Seigneur Dieu, aie pitié ! Maintenant, c’est arrivé !
J’ai toujours été religieuse, mais je ne pensais pas qu’Il viendrait si tôt. Je
ne pensais pas que ce soit aussi sérieux ! » La direction des
chemins de fer communique qu’aucun accident ne s’est produit jusqu’ici. Seul un
convoi est demeuré à Finse sans conducteur, ni
contrôleur. L’ordre a été donné à tous les surveillants de chercher le long des
voies les personnes qui auraient éventuellement sauté du train, car plusieurs
voyageurs sont portés manquants. Pareillement, des nouvelles venaient des
bateaux faisant le service des côtes et des Fjords. Les journaux du soir
publiaient une sorte d’explication, recommandant que tous restent calmes et
raisonnables. La police et les autorités font tout leur possible pour publier
un rapport sur le nombre de personnes disparues. Les savants, particulièrement
les météorologues, travaillent à trouver le plus vite possible la cause de ce
phénomène extraordinaire. On vient d’apprendre des États-Unis que les rapports
commencent d’affluer à la police. Les nouvelles sont pareilles à celles de
Norvège. D’énormes difficultés de circulation eurent lieu et l’on déplore la
perte de vies humaines. Les journaux annoncent pour le lendemain un aperçu plus
complet de ce qui est arrivé dans les différents États. Vingt heures : Il
ressort des nouvelles parvenues du monde entier que tous ont été surpris de la
même manière par cette catastrophe. Les
rapports sur le nombre des disparus arrivent principalement des villes mais
aussi des campagnes.
Dans l’hémisphère Sud, pareilles choses se sont
produites. Une terrible inquiétude règne partout. Les gens n’osent pas se
coucher, et l’on discute jusqu’à l’hystérie dans les rues sur ce qui s’est
passé. De plus en plus, la conclusion est que tout cela se trouve en rapport
avec les chrétiens et le christianisme. Ceux qui ont connu les disparus disent,
en accord avec la parenté, que ceux-ci étaient exclusivement des chrétiens
fanatiques et d’innocents enfants. Un ouvrier de brasserie racontait ce soir :
« Oui ! Hans Olson
est loin. Il lui est arrivé ce qu’il croyait et prêchait par ici, disant que
bientôt Jésus allait venir le chercher ». Oui, répondit un autre,
nous en avions aussi un pareil qui a été emporté. Mais maintenant les autorités
vont bien prendre les choses en mains et interdire toute religion, afin que
pareille chose ne se reproduise plus. « Oh, non ! » s’écria un autre : « cela
n’arrivera plus jamais. Ils ont tout de même eu raison ces chrétiens, car ils
avaient un pressentiment. Oh ! si seulement nous
les avions écoutés, nous serions maintenant dans une meilleure situation, au
lieu de devoir vivre dans cet enfer, dans ce chaos. Et je crains que cela
empire. » « Ah ! si tu croyais en eux,
pourquoi donc n’es-tu pas parti avec eux ? » lui
rétorqua un autre. « Je souhaite bien d’avoir pu le faire »,
dit-il, puis il s’en alla. Quelqu’un cria après lui : « On devrait te
pendre ! Toi et tous ceux qui s’occupent de ce christianisme imbécile ! »
Le lendemain de ce jour, les journaux ne pouvaient encore donner l’explication
à ce mystère. Les rapports de tous les pays concordaient. Des champs de
mission, les nouvelles disaient que les chrétiens avaient disparu en masse. Seul un petit nombre d’entre eux est resté.
Lors de l’assemblée convoquée le soir précédent, un bon nombre de pasteurs
étaient présents, mais beaucoup avaient aussi été enlevés.
L’atmosphère était tendue et sombre, plusieurs se
sentaient malheureux. Aucun doute ne subsistait quant à la nature de l’événement :
c’était l’enlèvement des saints prédit par l’Écriture, l’élévation de
l’Église-Épouse. Quelques pasteurs reconnaissaient que malgré leurs études
théologiques, ils ne s’étaient pas
imaginé l’événement de cette manière. Ils n’avaient jamais expérimenté la
nouvelle naissance, ni connu l’Esprit-Saint donné aux enfants de Dieu. Un jeune
pasteur disait : « Ce n’est pas de cette manière que j’ai été
enseigné. Les professeurs ne nous ont jamais dit que cela arriverait comme nous
venons de l’expérimenter ». Les journalistes prétendaient qu’une forte
tendance à la discussion se faisait jour, cependant, les gens étaient trop
excités pour être objectifs. La police s’était adressé au public pour connaître
le point de vue général, un rapport fut rédigé par les pasteurs et approuvé par
la majorité. Il disait en substance : « Ce qui vient d’arriver
pourrait être un événement prédit par la Bible, qui est appelé « l’enlèvement de l’Épouse ».
Jésus serait venu chercher les siens. Pour l’instant, c’est tout ce que nous
pouvons dire ». Pourtant la police ne voulait pas publier cette
déclaration, estimant qu’elle était le fruit d’une imagination hystérique
névrosée. Vu la portée de ces événements, elle estimait que le gouvernement
devrait s’en occuper. Puisque la religion chrétienne était en rapport avec ces
choses, elle demandait que toutes les églises et lieux de rassemblements
religieux soient fermés jusqu’à ce que tout soit éclairci. Elle déclarait que c’est un problème qui touche toutes les
nations, de sorte qu’une décision commune devait être prise. Ce serait à
l’ONU d’examiner cette question à fond. Les chrétiens semblent être très
déprimés. Hier, qui était un dimanche, toutes les églises et salles de culte
étaient bondées. Quelques églises se trouvaient démunies de pasteurs, et
beaucoup de membres manquaient. Dans plusieurs assemblées, il ne restait que
peu de croyants mais, par contre, un grand nombre de gens du dehors affluaient,
principalement ceux qui avaient été frappés par « le grand malheur »
comme on l’appelait généralement. Le
peuple voulait entendre la Parole de Dieu, mais c’était comme si elle avait été
enlevée. Un homme essayait bien de lire, mais il devait y renoncer, disant :
« je n’y comprends rien ». Un autre, qui avait repris la Bible de ses
mains disait : « Je ne peux lire la Bible ». D’autres
pleuraient, mais la grande masse s’accordait à dire que les chrétiens devaient
être la cause de ces événements tragiques et qu’ils devaient donner une
explication valable. Pourtant un grand nombre venait chercher le secours de
Dieu, ils étaient profondément malheureux.
Dans la plupart des assemblées, la confusion régnait. Un
homme se leva, montrant du poing le pasteur et lui dit : „C’est de ta
faute si tant des nôtres sont restés. Tu ne nous as jamais avertis que Jésus
allait bientôt venir chercher les siens, et que nous devions nous réconcilier
avec notre prochain et que nous devions avoir un cœur pur, rempli du
Saint-Esprit. Je sais bien ce qui m’a retenu, ce ne sont que des peccadilles.
Mais, mais … « Seigneur, aide nous ! » Le pasteur qui estimait
avoir fait son devoir lui disait de se taire, et tous s’accusaient mutuellement
en pleurant et en criant. Ils frappaient
mais la porte demeurait fermée. Il est impossible de décrire la situation.
Le peuple se rendait compte qu’ils marchaient tous au-devant d’un temps
terrible. C’est comme si l’on sentait dans l’air que tout espoir avait disparu.
La porte était fermée, et tous ceux qui s’étaient contentés d’expressions
traditionnelles vides de sens se mettaient maintenant à crier et à frapper. Les
uns étaient venus par camaraderie, les autres avaient été attirés par le chant
ou la musique, mais aucun n’était né de nouveau. Ils n’avaient pas reçu
l’Esprit d’adoption, ni un droit à l’héritage céleste. Pour beaucoup, la fréquentation
des réunions n’était qu’un dada, un passe-temps intéressant, mais maintenant ils frappaient tous à la porte fermée,
disant : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! »
Le problème de l’enlèvement n’avait pas préoccupé
longtemps les gouvernements. Ils défendaient sous peine de mort de prononcer le
Nom de Jésus. Ainsi commençait la plus horrible de toutes les époques de
l’humanité. Un grand nombre de chrétiens qui continuaient à invoquer Dieu ne se
soumirent pas à l’interdiction des autorités ; ils furent arrêtés et interrogés
selon les méthodes de la Gestapo. On leur disait : « Si tu renies
Jésus-Christ et que tu le maudisses, tu peux sauver ta vie ». Mais des
milliers tinrent ferme et le massacre devint indescriptible. Plusieurs furent
torturés terriblement, jusqu’à ce que mort s’en suive. La loi et la justice
n’existaient plus. Satan se déchaînait véritablement. « Malheur à la terre et à ceux qui l’habitent », disait
l’Écriture. Dans cette détresse, plusieurs faiblirent et cédèrent. Ils ne
savaient où s’enfuir car le monde entier se trouvait sous la domination du Mal.
Les nations étaient unanimes à vouloir l’extermination des chrétiens. Le prince
de ce monde manifestait la puissance de son règne. Les enfants trahirent leurs
parents de telle manière que la vie de ceux-ci était en danger. La parole de
Luc 21:16 s’accomplissait : « Vous serez livrés même par vos parents,
par vos frères, par vos proches et par vos amis, et ils feront mourir plusieurs
d’entre vous. Vous serez haïs de tous, à
cause de mon Nom ». Il est impossible de décrire les conditions de
cette tribulation mais Dieu avait tout annoncé dans le livre de l’Apocalypse.
Le grand cri de ces malheureux était :
« Seigneur, veuille abréger ces jours ! ».
Cher ami, ne prends pas le risque de
demeurer en arrière. Plie-toi devant la Face du Dieu Tout-Puissant et
demande-Lui humblement Sa lumière et Sa grâce. Il est encore temps, aujourd’hui, d’être scellé par Jésus-Christ pour Lui
appartenir en propre. Ainsi, tu seras prêt pour le jour où Il reviendra.
(Auteur inconnu)
Ce jour est proche : Seigneur, après la lecture de
cette révélation que tu nous as donnée, donne-nous de la prendre au sérieux,
afin de ne pas avoir à passer par cette terrible tribulation survenant après
cet enlèvement qui est si proche.
Donne-nous de nous engager, de tout notre cœur, dans cette
voie de salut que tu as préparée pour nous au travers de l’Œuvre du Golgotha où
tu as tout accompli pour notre libération, prenant nos péchés et la puissance
du péché ; et nous Te remercions. Amen !
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