NI VU NI ENTENDU… ET FORCÉMENT RIEN DIT !
Donner des leçons de morale, qui plus est par un
référendum, mais de qui se moque-t-on !
Là
où il y a problème par la déliquescence du mariage, il n’y a pas de référendum,
mais pour se blanchir, oui, il en faut absolument un.
S’ils
n’avaient vraiment rien à se reprocher, la vie continuerait d’elle-même, dans
la clarté, le respect, la liberté de chaque citoyen. Mais il y a loin de la
coupe aux lèvres, lorsque l’on fuit ses électeurs par peur, jusqu’à prendre des
portes de sortie dérobées? Avec pour tout une visite de quelques personnes. Quelle audace ! Jamais la France n’a connu un
tel régime.
La
fillette de 4 ans qui a été violée par un de leurs ‘amis’, sous leurs yeux,
qu’elle a perdu la vie, qu’a-t-on entendu des témoins de cette affaire
horrible. Rien ! Rien vu, rien entendu et… forcément rien dit. Ceux-là
même qui veulent moraliser. Eh ben voyons !
Cacher
la vérité, c’est mentir, c’est cela que l’on appelle la morale ? La
justice ne fait rien car le silence est complet sur cette affaire. Alors, au
lieu de s’occuper de la moralisation, il faudrait déjà commencer par balayer
devant sa porte et dire la vérité, toute la vérité. Si c’est pour en rester là,
il n’y a aucune raison qui tienne, pas besoin de consulter le peuple, les
Français n’ont demandé que la vérité, la justice, du travail, pas des impôts
nouveaux que l’on découvre en se réveillant le matin, votés (volés) dans la nuit.
Mais
qu’importe le contenu pourvu qu’on ait l’ivresse. Ivres de pouvoir, de luxure,
de plaisirs. Tout cela n’est que bassesse insupportable pour nous les Français,
lorsqu’on laisse s’enfuir le travail et la matière grise hors de nos
frontières, laissant dans la misère des familles honorables, véridiques,
courageuses, jusqu’à la désespérance : 1.300 emplois supprimés
quotidiennement (source officielle).
Il
est où votre courage ? On ne le voit nulle part, il est ailleurs dans les
réunions où ce n'est jamais de la faute de ceux qui parlent.
Cela
ne pourra pas durer. Comme l’a dit le Général de Gaulle, c’est la chienlit, le
chaos qui nous attend. Y a-t-il un pilote dans le navire, c’est à en douter,
car la France va à vau-l’eau, sans cap défini, à la dérive. Nous sommes sur un
radeau et c’est le peuple qui rame sans capitaine, sans gouvernail, en faisant
des ronds dans l’eau, sans but à atteindre.
Il
serait temps de redresser la barre en employant les hommes et les femmes,
plutôt que de les laisser oisifs et sous antidépresseurs. Tous nous avons à y
gagner, encore faut-il une maturité et une volonté farouche de relever le défi.
Mais pour cela il faut écouter le peuple de France et ne pas écouter les voix
venues d’ailleurs.
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