PAS D'EXPO PORNO PÉDO AUX FRAIS DES CONTRIBUABLES
L’AGRIF demande au Procureur et à la Justice d’agir contre
l’obscène et abominable exposition pornographique
de Larry CLARK mettant en scène des mineurs
Riposte à actes criminels pédo culturel de la Ville de Paris
Voici ce que j'écrivais dans le lien ci-dessous "alors que l'État condamne à la prison pour crime des détenteurs de photos porno-pédophiles, il est inqualifiable de voir ce type de manifestation exposée à Paris avec le consentement de la Ville : les organisateurs méritent d'être mis en procès immédiat pour détenir et inciter à des actes criminels".
Le lien est très facile à remplir, bravo aux organisateurs.
Bruno http://pasdexpopedo.com/?p=6
À l’ouverture de l’exposition, une permanente de l’AGRIF s’est
rendue avec l’un de nos avocats pour s’assurer de son illégalité préalablement
à toute action judiciaire.
Ce qu’ils y ont vu dépasse l’entendement : il s’agit ni plus
ni moins que d’une exposition pornographique mettant en scène des mineurs que
l’on justifie bien entendu au nom de l’art moderne.
Cette rétrospective est consacrée à l’adolescence. On y voit donc
des photos d’adolescents, dont beaucoup à peine pubères, qui se droguent, qui
miment des suicides, qui sont représentés nus dans des scènes d’une étonnante
laideur, d’une grande vulgarité et d’une rare obscénité.
Surtout, de nombreuses photographies mettant en scène des
adolescents et des adolescentes, sortant à peine de l’enfance pour certains,
sont explicitement pornographiques.
Comme pour l’infâme exposition de l’infamille à Metz, qui a donné
lieu à ouverture d’une enquête préliminaire, l’AGRIF a décidé d’agir.
En effet, cet objectif est contenu depuis l’origine dans les
statuts de l’AGRIF qui « entend lutter contre le racisme
anti-français et anti-chrétien, l’étalage public de la pornographie et tout ce
qui porte notamment atteinte à la dignité de la femme et au respect de
l’enfant ».
Les organisateurs ont cru se protéger d’une interdiction judiciaire
et même de poursuites pénales, en se fondant sur le seul article 227-27 du Code
pénal, issu de la loi du 5 mars 2007 sur la protection de l’enfance
qui réprime les messages à caractère violents ou pornographiques s’ils sont « susceptibles
d’être vus par un mineur ». D’où l’interdiction aux moins de 18 ans
dont plusieurs bonnes consciences se sont émues.
Cependant, ils n’ont tenu aucun compte de l’article 227-23 du Code
pénal modifié par la même loi du 5 mars 2007 sur la protection de
l’enfance qui punit de la peine de 5 ans d’emprisonnement et de
75.000 € d’amende le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit,
l’image ou la représentation d’un mineur à caractère pornographique.
Dans n’importe quel État civilisé, cette exposition eût été interdite.
Dans n’importe quel État de droit, les pouvoirs publics feraient
fermer cette exposition séance tenante et engageraient des poursuites pénales.
C’est pourquoi l’AGRIF, qui constate qu’elle est encore bien seule,
a chargé un de ses avocats de porter plainte pénale entre les mains du
Procureur et d’engager toute action judiciaire pour que cesse immédiatement le
scandale de ces gravissimes infractions pénales organisées dans la capitale.
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