USA TECHNO-NAZIS ET TRANSHUMANISTES : NOUVEL ARTICLE DE PROPAGANDE PUTRIDE EN FAVEUR

DES PUCES CÉRÉBRALES !

« LES SAVANTS FOUS »

 

 

Chers amis,

 

LES MENSONGES ET LA PROPAGANDE VISANT À RÉPANDRE LES TRÈS DANGEREUSES PUCES CÉRÉBRALES ET À LES FAIRE ACCEPTER PAR LA POPULATION, CONTINUENT À SE RÉPANDRE, AUX ÉTATS-UNIS !

L’article qui suit en est à nouveau la preuve indéniable…

Je vous propose sans plus attendre la traduction de cet article que j’ai effectuée pour vous en français, ponctuée par des commentaires pertinents.

BONNE RÉVOLUTION, OU BON ESCLAVAGE, BONNE TYRANNIE ET BONNE MORT ! Vic.

Source : http://www.guardian.co.uk/science/2011/apr/17/brain-implant-paralysis-movement

LE BRAINGATE DONNE AUX PARALYSÉS LE POUVOIR DU CONTRÔLE MENTAL

Une minuscule PUCE IMPLANTABLE permet aux personnes paralysées ET BLESSÉES de déplacer des objets par la puissance de leur pensée - et, dans le temps, les chercheurs espèrent qu'elle pourrait les aider à remarcher.

Commentaire : observez bien que le titre utilise bien les mots « contrôle mental », et que l’on parle à présent de personnes blessées ! Avant, on ne réservait ces implants que pour les personnes paralysées… on est donc DÉJÀ en train d’élargir les publics auxquels ces implants sont destinés !

 

Paul Harris

The Observer, dimanche 17 avril 2011  

 

John Donoghue, le fondateur de BrainGate, a développé une technologie qui aide les paraplégiques à bouger leurs membres par la pensée. Photographie : Jamie James Medina pour The Observer

Le bras robotisé saisit un verre et le balança au-dessus d’une série de points colorés qui ressemblaient au plateau du jeu Twister. Derrière celui-ci, une femme était assise tout à fait immobile dans un fauteuil roulant. Lentement, le bras déposa le verre, manquant de peu l'un des points. « C’est elle qui fait ça ! » s'exclame le professeur John Donoghue, en regardant une vidéo de cette scène sur son ordinateur de bureau, bien que la femme n'ait pas bougé du tout. « Elle a en fait le bras (robotisé) sous son contrôle », dit-il, rayonnant de fierté. "Nous lui avons dit de déposer le verre sur ce point."

La femme, qui est presque complètement paralysée, était en train d’utiliser la technologie révolutionnaire de Donoghue pour CONTRÔLER LE BRAS ROBOTISÉ EN UTILISANT UNIQUEMENT SES PENSÉES. APPELÉ BRAINGATE, LE DISPOSITIF EST IMPLANTÉ DANS SON CERVEAU ET RELIÉ À UN ORDINATEUR VERS LEQUEL ELLE ENVOIE DES ORDRES MENTAUX. La vidéo se poursuit, donnant à Donoghue, un homme de 62 ans aux cheveux gris et à la barbe soignée, encore plus de raisons de se sentir heureux. La patiente n'avait pas été satisfaite de son échec si près du but, et le bras robotisé leva le verre à nouveau. Après un bref vol stationnaire, le bras plaça le verre sur le point.

Commentaire : on nous décrit d’emblée les soi-disant effets « bénéfiques », invoquant l’argument pseudo-médical. Constatons à nouveau que cet implant ne soigne pas la maladie, ni ne guérit ! Il ne fait que contourner certains problèmes. Enfin, signalons que l’on nous rapporte l’utilisation unidirectionnelle (un ordre qui part du patient vers l’extérieur), mais en oubliant de signaler que les puces cérébrales bidirectionnelles existent, par lesquelles on peut envoyer un ordre depuis l’extérieur vers le cerveau de la personne implantée. Dans ce dernier cas de figure, la personne ne peut absolument pas résister à l’ordre émis, et les émetteurs de cet ordre peuvent se servir de la puce afin de manipuler la personne comme une marionnette : ainsi, selon les endroits où la puce a été implantée dans le cerveau, on peut faire effectuer des mouvements à la personne, on peut lui faire voir des hallucinations, on peut la faire dormir, on peut lui provoquer une crise d’épilepsie, on peut activer le centre cérébral du plaisir… ou celui de la douleur (= torture à distance) ! Ce dangereux caractère bidirectionnel ne sera bien sûr pas abordé une seule fois dans cet article de désinformation… Abject !

 

Le minuscule capteur BrainGate. Photo : Suzuki Chitose / AP

C'est le monde remarquable de L'INTERFACE CERVEAU-ORDINATEUR, OU BCI (POUR « BRAIN-COMPUTER INTERFACE »), dont BrainGate est l'un des principaux dispositifs et dont Donoghue est un des pionniers qui a obtenu le plus de succès. C’EST UNE BRANCHE DE LA SCIENCE QUI EXPLORE COMMENT LES ORDINATEURS ET LE CERVEAU HUMAIN PEUVENT ÊTRE RELIÉS. Cela sonne comme de la science-fiction (et peut y ressembler aussi), mais c’est motivé par un désir d'aider les blessés chroniques. Ceux-ci incluent les personnes qui ont perdu des membres, les personnes atteintes de la maladie de Lou Gehrig, ou ceux qui ont été paralysés par des blessures graves à la moelle épinière. Mais le groupe de personnes que cela pourrait aider le plus sont ceux que la médecine considérait comme étant au-delà de toute espérance : les personnes souffrant du « locked-in syndrome » (syndrome de l’enfermement).

Commentaire : au-delà du prétexte « médical », L’OBJECTIF EST DONC BIEN DE RELIER LES ORDINATEURS ET LES CERVEAUX ! DÉJÀ 4 CATÉGORIES DE PATIENTS PEUVENT SE FAIRE METTRE UNE PUCE DE CONTRÔLE ET D’ESCLAVAGE MENTAL DANS LE CERVEAU :

1) Ceux qui ont été blessés à la moelle épinière et qui ont été paralysés,

2) Ceux qui ont perdu ou ont été amputés d’un ou de plusieurs membre(s) (possibilité de prothèses cybernétiques commandées par le cerveau et la puce cérébrale),

3) Les personnes atteintes de la maladie de Lou Gehrig,

4) Les personnes souffrant du « locked-in syndrome » (syndrome de l’enfermement, dans lequel l’esprit du patient est toujours actif, mais prisonnier du corps, car le corps est totalement paralysé).

Ce sont souvent des victimes d'AVC (accident vasculaire cérébral) dont les esprits parfaitement sains finissent piégés dans des corps qui ne peuvent plus se déplacer. L'exemple le plus célèbre fut celui du rédacteur en chef du magazine français Jean-Dominique Bauby, qui réussit à dicter ses mémoires, The Diving Bell and the Butterfly (La Cloche de Plongée et le Papillon), en clignant d'un œil. Dans ce livre, Bauby, QUI MOURUT EN 1997, peu après la publication du livre, décrit la prison que son corps était devenu, pour un esprit qui fonctionnait toujours normalement.

Commentaire : vous constaterez que Jean-Dominique Bauby, malgré son implant cérébral, mourut assez rapidement. Preuve s’il en est que ce dangereux gadget ne soigne absolument pas la maladie ou l’infirmité…

Donoghue estime que le BrainGate aurait ouvert la porte de la prison de Bauby, même si ce n’était qu’un tout petit peu.

« J'aurais tout lieu de croire que si nous avions mis un BrainGate DANS SON CERVEAU, il aurait immédiatement commencé à nous donner des signaux », dit Donoghue.

Donoghue et son équipe ont consacré des années de recherche pour mettre au point le BrainGate, TESTANT D'ABORD LA TECHNOLOGIE AVEC SUCCÈS SUR DES SINGES, PUIS PASSANT À UN ENSEMBLE D’ESSAIS CLINIQUES UTILISANT DES SUJETS HUMAINS. À PRÉSENT, CE PROJET PARTICIPE À UNE DEUXIÈME SÉRIE D'ESSAIS SUR L'HOMME, POUSSANT LA TECHNOLOGIE POUR VOIR JUSQU'OÙ ELLE VA ET ESSAYANT DE LA MINIATURISER ET DE LA RENDRE SANS FIL POUR UN MEILLEUR AJUSTEMENT DANS LE CERVEAU.

Commentaire : certaines choses extrêmement importantes sont signalées ici :

1) On a d’abord effectué des essais sur les singes (ce qui vous prouve une fois encore que ce qui est tenté sur les animaux est tenté tôt ou tard aussi sur les humains),

2) La mise au point de ce genre de technologie exige de l’expérimentation sur les humains (un peu comme les nazis le faisaient, mais sous une excuse « médicale » qui permet d’effectuer ces expériences sans rencontrer d’obstacles liés à l’éthique),

3) La puce cérébrale, qui est déjà petite, est encore en train de se miniaturiser ! De plus, l’utilisation du sans fil va se généraliser au niveau de ces applications. OR, nous savons que les systèmes sans fil (Wi-Fi, Bluetooth) sont nocifs pour la santé, et sont potentiellement cancérigènes (voir les nombreuses preuves à ce sujet contenues sur http://www.next-up.org/intro3.php ) ! ÉTONNAMMENT, VOUS CONSTATEREZ QUE CETTE PRÉOCCUPATION SANITAIRE N’EST POURTANT REPRISE NULLE PART DANS CET ARTICLE QUI PRÉTEND POURTANT ÊTRE DÉDIÉ À LA « SANTÉ » !!!

Le concept du BrainGate est simple. Il postule que le problème, pour la plupart des patients, ne se trouve pas dans les parties du cerveau qui contrôlent le mouvement, mais dans le fait que les voies reliant le cerveau au reste du corps, tels que la moelle épinière, ont été brisées. LE BRAINGATE SE BRANCHE SUR LE CERVEAU, CAPTE LES BONS SIGNAUX NEURONAUX ET LES ENVOIE DANS UN ORDINATEUR OÙ ILS SONT TRADUIS EN DÉPLACEMENT D’UN CURSEUR OU EN CONTRÔLE DU CLAVIER D'UN ORDINATEUR. PAR CE MOYEN, LES PERSONNES PARALYSÉES PEUVENT DÉPLACER UN BRAS ROBOTISÉ OU CONDUIRE LEUR PROPRE FAUTEUIL ROULANT, JUSTE EN Y PENSANT.

Dans son livre, Bauby appelé son corps immobilisé une « cloche de plongée », et son esprit un « papillon » emprisonné à l'intérieur. Il décrivait sa tristesse de ne pouvoir répondre lorsque ses proches lui parlaient au téléphone. « Combien j'aimerais être capable de répondre par autre chose que le silence à ces tendres appels », a-t-il écrit. La femme sur la vidéo que Donoghue vient de visionner souffre des symptômes presque exacts que Bauby avait. Maintenant, elle est capable de parler à Donoghue sur Internet, en déplaçant un curseur sur un clavier avec son esprit et en communiquant beaucoup plus rapidement que Bauby ne le faisait.

Donoghue travaille depuis l'intérieur d'une vieille maison perchée au sommet d'une colline. Mais les bureaux de l'Institut Brown pour les sciences du cerveau n’ont pas vraiment l'étoffe des vieux FILMS D'HORREUR. Le bâtiment, agréable à l'œil, fait partie de la Brown University dans la jolie ville universitaire de Providence, dans l’état de Rhode Island, sur la côte de la Nouvelle Angleterre.

Commentaire : la maison où habite le « brave » Pr. Donoghue correspond apparemment au style d'habitation que Victor Frankenstein ou le Dr. Jeckyll affectionneraient… Cependant, c’est bien dans les bâtiments froids de l’université Brown que les expériences sont menées. Nous avons donc ici la preuve que les universitaires, qui développent ce genre d’implant, sans se soucier des conséquences liées aux applications négatives de cette technologie, participent (directement ou indirectement, de façon volontaire ou non) aux projets mondialistes de contrôle biologique total des populations via les puces implantables.

C'est ici que lui et son équipe décodent le langage du cerveau humain. Ce langage est constitué de signaux électroniques déclenchés par des milliards de neurones, et il contrôle tout, depuis notre capacité à bouger, à penser, à se rappeler, et même jusqu’à notre conscience elle-même.

Le génie de Donoghue fut de développer un DISPOSITIF TROMPEUSEMENT PETIT QUI PEUT SE BRANCHER DIRECTEMENT DANS LE CERVEAU ET RECUEILLIR CES SIGNAUX AFIN QU’UN ORDINATEUR LES TRADUISE.

DES FILS EN OR SONT IMPLANTÉS DANS LES TISSUS CÉRÉBRAUX DU CORTEX MOTEUR, QUI CONTRÔLE LE MOUVEMENT. CES FILS D'ALIMENTATION SONT CONNECTÉS À UNE PETITE BATTERIE D’ÉLECTRODES - UN DISPOSITIF DE STOCKAGE DE L'INFORMATION – ET SONT ATTACHÉS À UN "PIEDESTAL" DANS LE CRÂNE. UN AUTRE CABLE TRANSMET LES DONNÉES DEPUIS LA BATTERIE D’ÉLECTRODES VERS UN ORDINATEUR. On dirait que les personnes faisant l’objet d'essais avec le BrainGate possèdent une grosse prise qui sort du dessus de leur tête. Ou, comme le fils de Donoghue le décrivit une fois, ils ressemblent aux « BATTERIES HUMAINES », DANS LE FILM « THE MATRIX ».

Commentaire : constatons que ces puces nécessitent une intervention chirurgicale, sur laquelle l’article évite bien d’insister (il ne faudrait pas effrayer les gens, n’est-ce pas ?) : pour mettre le BrainGate en place, il faut enfoncer les pointes de la batterie d’électrodes qui constitue la puce cérébrale dans le cerveau de la personne (= opération avec trépanation), mais il faut aussi, forer dans le crâne de la personne afin d’y fixer (visser) un « piédestal ». Enfin, signalons le lien révélateur effectué avec le film « The Matrix », film dans lesquels les humains sont parasités par la technologie et sont utilisés, en définitive, comme des pantins animés reliés à un système cybernétique central qui crée une forme de réalité virtuelle alors que les individus sont reliés neuralement à ce système.

LES PROGRAMMES INFORMATIQUES TRÈS AVANCÉS DU BRAINGATE SONT EN MESURE DE DÉCODER LES SIGNAUX DES NEURONES QUI SONT CAPTÉS PAR LES FILS, ET ILS LES TRADUISENT EN MOUVEMENT SOUHAITÉ PAR L’INDIVIDU. En termes bruts, C'EST UNE FORME DE LECTURE DE L’ESPRIT qui repose sur l'idée selon laquelle la pensée de faire bouger un curseur vers la droite générera des signaux cérébraux détectables qui seront différents de lorsqu’on pense à déplacer ce curseur vers la gauche.

Commentaire : nous voyons ici un autre danger montrer son hideuse tête : celui de la LECTURE DE L’ESPRIT ET DES PENSÉES DE L’INDIVIDU ! ON NOUS FERA CROIRE UN PEU PLUS LOIN QUE CE GENRE DE DISPOSITIF EST ENCORE LOIN D’EXISTER. C’EST FAUX, ET J’EN VEUX POUR PREUVE UN ARTICLE QUE JE VOUS AI POSTÉ EN 2010 SUR LE SUJET, ET QUI PROUVE QU’UNE DES PREMIÈRES MACHINES VISANT À TRADUIRE LES PENSÉES EN MOT – DONC, DE LECTURE DE L’ESPRIT – A DÉJÀ ÉTÉ DÉVELOPPÉE (cf. http://www.metrotime.be/digipaperArticlefr.html?storyId=35918489 ) !

La technologie s'est développée rapidement, et le mois dernier BrainGate a franchi une étape essentielle lorsqu’une patiente paralysée a dépassé 1.000 jours avec l'implant toujours dans son cerveau et qui lui permet de déplacer un curseur d'ordinateur par ses pensées. Cette réalisation, rapportée dans le prestigieux Journal of Neural Engineering, a montré que cette technologie peut continuer de fonctionner à l'intérieur du corps humain PENDANT DES DURÉES QUI N’ONT PAS DE PRÉCÉDENT.

Commentaire : Le but consiste donc à implanter ces puces POUR UNE DURÉE MAXIMALE ! D’ailleurs, le fait que ces puces soient implantées dans le cortex correspond de facto à une application de longue, voire de très longue durée. Nous avons vu récemment qu’il est déjà extrêmement difficile de faire retirer une puce sous-cutanée par les médecins… qu’en sera-t-il avec une puce cérébrale, qui exigerait une opération de neurochirurgie pour enlever ce corps étranger ? VOUS L’AUREZ SANS DOUTE COMPRIS : LE BUT EST D’IMPLANTER CETTE PUCE À VIE, SANS QU’IL SOIT POSSIBLE DE LES RETIRER ! D’autre part, AUCUNE étude n’a été menée afin de connaître les EFFETS À LONG TERME de ces implants immondes sur le corps humain et sur la santé…

Donoghue parle avec enthousiasme de brancher un jour le BrainGate à un système de stimulateurs électroniques branchés dans les muscles du bras ou des jambes. Ce qui ouvrirait la perspective de patients qui ne déplacent plus simplement le curseur de leur fauteuil roulant, mais leur propre corps. « NOUS TRAVAILLONS SUR UN SYSTÈME OÙ IL Y A UN STIMULATEUR DANS UNE AUTRE PARTIE DU CORPS, ET QUI EST CONNECTÉ AU MUSCLE, ET QUAND CE STIMULATEUR EST ACTIVÉ, VOUS POUVEZ OBTENIR L'OUVERTURE ET LA FERMETURE DE LA MAIN, AINSI QUE LE MOUVEMENT DU BRAS ».

Commentaire : une fois que ce type de système sera opérationnel, nous verrons les premiers cyborgs pucés dans le cerveau déambuler dans nos rues… sans oublier que ces individus pourront être manipulés à distance, sans que leur volonté ne puisse s’y opposer !

 

Feu Matt Nagle, qui testa le premier l'appareil BrainGate. Il était paralysé suite à une blessure à la moelle épinière. Photo : Rick Friedman

C'est une idée remarquable, avec d’humbles débuts. LE PREMIER PATIENT BRAINGATE, UN QUADRAPLÉGIQUE APPELÉ MATTHEW NAGLE, FUT BRANCHÉ À UN ORDINATEUR EN 2004. Nagle, un vif et jeune fan de sport, avait été poignardé alors qu'il tentait d'aider un ami dans une bagarre. La lame avait touché sa moelle épinière. Donoghue ne savait pas si le cortex moteur de Nagle serait toujours en mesure d'envoyer les bons signaux pour le mouvement. "Le grand moment a été lorsque nous avons activé l'électrode d'enregistrement afin de pouvoir regarder attentivement dans le cerveau. Sauf pour de brefs moments en salle d'opération, NOUS N'AVIONS JAMAIS EU L'OCCASION DE FAIRE CELA CHEZ LES ÊTRES HUMAINS," dit Donoghue à propos du grand moment de la percée du BrainGate.

Commentaire : ce que Donoghue vient de dire à le mérite d’être très clair : ces médecins se servent de cas désespérés - qui sont prêts à tout pour pouvoir améliorer leur triste condition – comme des cobayes. Les expérimentations sur l’humain, à tâtons, se poursuivent, comme cela s’effectuait du temps des Nazis. Le tout dans une atmosphère décomplexée et sans remords, puisque c’est soi-disant « pour le bien de la santé des gens » ! Abominable !

C’était tendu. Si le cortex moteur de Nagle ne fonctionnait plus sainement, l'ensemble du projet BrainGate aurait pu être rendu inutile. Mais lorsque Nagle fut branché et qu’on lui demanda d'imaginer qu’il bougeait ses membres, les signaux surgirent avec un crépitement sain. « Nous lui avons demandé d'imaginer qu’il bougeait le bras vers la gauche et vers la droite et nous pouvions entendre l'activité », dit Donoghue. Lorsque Nagle déplaça pour la première fois un curseur sur un écran en utilisant uniquement ses pensées, il s'écria : "Putain de merde !"

NAGLE devint rapidement un modèle publicitaire pour le BrainGate, apprenant par la suite à jouer à des jeux simples sur ordinateur, à faire fonctionner une télévision et à envoyer et recevoir des e-mails. Malheureusement, il MOURUT EN 2007 D'UNE INFECTION. « Ce fut affreux. Tout simplement affreux, lorsque Matt est mort. Nous étions tous très attachés », dit Donoghue. « Je suis en train d’essayer que des gens qui sont dans un état lamentable aient une vie bien meilleure. À l'heure actuelle, N’IMPORTE QUELLE CHOSE que nous pouvons faire pour eux constitue une énorme amélioration. »

Commentaire : notons que le pauvre Matt Nagle mourut d’une infection… Donoghue ne précise évidemment pas si cette infection provenait de l’engin qu’on lui avait vissé sur et dans le crâne afin de pouvoir utiliser le système BrainGate (il ne faudrait quand même pas qu’il torpille son propre projet, n’est-ce pas ?). Je vous laisse méditer à ce sujet, mais personnellement, je crois qu’il y de sérieuses probabilités que Nagle ait attrapé une infection mortelle via le système BrainGate…

C'est sans doute vrai. Mais LE BRAINGATE ET D'AUTRES PROJETS D’INTERFACE CERVEAU-ORDINATEUR ONT ÉGALEMENT SUSCITÉ L'INTÉRÊT DU GOUVERNEMENT ET DE L'ARMÉE.

Commentaire : le gouvernement et l’armée des USA sont donc hautement intéressés par ce système qui permet le contrôle et l’esclavage mental des individus ! Ceci confirme bien sûr les buts de contrôle des populations que les mondialistes se sont fixés avec ce genre de technologie…

L’INTERFACE CERVEAU-ORDINATEUR EST EN TRAIN DE SOUDER L’HOMME ET LA MACHINE COMME AUCUN AUTRE SECTEUR DE LA MÉDECINE OU DES SCIENCES, ET IL EXISTE DES PRÉOCCUPATIONS CONCERNANT CERTAINES IMPLICATIONS. Tout d'abord, au-delà de la détection et de la traduction des commandes de déplacement simple, le BrainGate pourrait un jour ouvrir la voie à la LECTURE DE L'ESPRIT. Un dispositif destiné à SONDER LES PENSÉES LES PLUS INTIMES DES PRISONNIERS CAPTURÉS OU DES DISSIDENTS serait très intéressant pour certains services militaires ou de renseignement du futur.

Deuxièmement, il y a l'idée selon laquelle le BrainGate ou d'autres technologies d’interface cerveau-ordinateur POURRAIENT OUVRIR LA VOIE À DES ROBOTS GUERRIERS CONTRÔLÉS PAR DES HUMAINS ÉLOIGNÉS QUI UTILISENT UNIQUEMENT LEUR ESPRIT. LORS D'UNE CONFÉRENCE EN 2002, UN HAUT FONCTIONNAIRE DE LA DÉFENSE AMÉRICAINE, ANTHONY TETHER, S’ENTHOUSIASMA À PROPOS DE L’INTERFACE CERVEAU-ORDINATEUR. « IMAGINEZ UN GUERRIER AYANT L'INTELLIGENCE D'UN ÊTRE HUMAIN ET L'IMMORTALITÉ D'UNE MACHINE ». TOUTE PERSONNE AYANT VU TERMINATOR POURRAIT S'INQUIÉTER DE CELA.

Commentaire : voici surgir encore d’autres craintes, qui sont tout à fait fondées. Il y a tout d’abord le risque de souder l’homme à la machine, avec toutes les tragédies sociétales et humaines que cela peut entraîner. La lecture de l’esprit des gens et de leurs pensées les plus intimes (ce qui, comme je vous l’ai démontré par un lien ci-dessus, est DÉJÀ devenu une réalité, réalité qui est appelée, SI personne ne réagit, à se transformer en véritable cauchemar) devient possible avec ce type de système. D’autre part, il y a danger pour les « dissidents » (= opposants, contestataires, mécontents, manifestants etc.) ou pour les prisonniers de guerre. Et enfin, il y a le risque de voir surgir des robots de guerre dignes des scénarios de science-fiction les plus sombres. Nous sommes en droit de nous demander si ce genre de technologie ne constituera pas un début de persécution des êtres humains naturels, non implantés et libres…

Donoghue reconnaît ces préoccupations, MAIS A PEU DE TEMPS À LEUR CONSACRER.

Commentaire : ça, c’est la meilleure ! Alors que ce genre de technologie représente des dangers incalculables et un enjeu de société capital, ce soi-disant « savant » prétend « n’avoir pas de temps à consacrer » à leur étude !? Foutaise ! Mais c’est qu’il FAUT absolument prendre tout le temps nécessaire pour y réfléchir en profondeur ! La vérité, nous le sentons bien, c’est que Donoghue NE SOUHAITE PAS réfléchir aux conséquences néfastes que la dangereuse technologie qu’il a développée va provoquer. Mais attendez ! La suite est encore plus révoltante…

Lorsqu’on en vient à la lecture de l'esprit, la technologie actuelle du BrainGate possède suffisamment de problèmes avec la traduction des ordres consistant à serrer le poing, sans parler de sonder les secrets mentaux de qui que ce soit. « Il y a des craintes irréalistes. Donc, JE NE SUIS PAS TROP INQUIET QUANT AU FAIT QUE NOUS ALLIONS CAPTER DES CHOSES DANS VOTRE CERVEAU », dit-il.

Commentaire : ce Donoghue NIE donc et REJETTE en bloc tout risque et toute réflexion inconfortable, et considère que les craintes pourtant justifiées des gens concernant cette technologie sont « irréalistes » ! Il s’agit là à nouveau d’une preuve de MAUVAISE VOLONTÉ à propos d’une réflexion sérieuse concernant un danger infini. Ces éminents universitaires ne pensent pas plus loin que le bout de leur nez, et surtout pas au futur. « Après moi, les mouches » : telle est leur devise ! Alors qu’il sait pertinemment bien qu’il existe à l’avenir un sérieux risque pour que l’on puisse espionner les gens et capter leurs pensées, avec tout ce que cela représente comme destruction des libertés, ce fumier prétend « ne pas être inquiet » !? Nous voyons bien qu’il y a là quelque chose d’illogique dans son raisonnement.

EN CE QUI CONCERNE LES ROBOTS GUERRIERS, DONOGHUE FUT LÉGÈREMENT PLUS CIRCONSPECT. À l'heure actuelle, la plupart des recherches sur l’interface cerveau-ordinateur - y compris les projets BrainGate - qui touchent au domaine militaire, se concentrent sur le fait de travailler avec des membres artificiels pour les anciens combattants qui ont perdu des bras et des jambes. Mais Donoghue pense qu'il est sain pour les scientifiques d'être conscient des problèmes futurs. « Tant qu'il y aura un dialogue rationnel et que les scientifiques réfléchissent à ce vers quoi on se dirige, ainsi qu’à ce qui constitue L'USAGE RAISONNABLE de cette technologie, alors nous sommes sur le BON CHEMIN », dit-il.

Commentaire : nous avons donc bien la confirmation que les projets de puces cérébrales et d’interface cerveau-machine possèdent bien des développements militaires, qui doivent rester secrets (d’où la prudence et la circonspection de Donoghue, qui ne souhaite sûrement pas tuer cette poule aux œufs d’or). D’autre part, NOUS SAVONS FORT BIEN QUE LA DARPA (Defense Advanced Research Project Agency", département du DoD sur les recherches informatiques, proche de l'ARPA) EST BEAUCOUP PLUS AVANCÉE DANS SES IGNOBLES PROJETS QUE DE « SIMPLEMENT » TRAVAILLER SUR DES SOLDATS AYANT DES MEMBRES CYBERNÉTIQUES (cf. par exemple http://www.raidersnewsupdate.com/leadstory94.htm ). Alors que Donoghue balayait d’un revers de main certains dangers pourtant évidents des puces cérébrales, le voici en train de parler de dialogue rationnel (et ses réflexions, quelques lignes plus haut, étaient fort peu rationnelles, démontrant seulement une mauvaise foi à toute épreuve), et le voici en train de délirer totalement quant au soi-disant « usage raisonnable » de cette technologie ! Pire : il considère qu’actuellement, avec cette technologie hyper dangereuse, nous sommes « sur le bon chemin » !!! EN RÉALITÉ, NOUS SOMMES SUR LE CHEMIN DE LA PERDITION ! NOUS AVONS VU, VIA D’AUTRES ARTICLES ET NOTAMMENT VIA LE CAS DE JAMES WALBERT (CAS RECONNU PAR UN TRIBUNAL AMÉRICAIN), QUE LES PUCES IMPLANTABLES SONT DÉJÀ INJECTÉES PAR DES MÉDECINS, DES SOIGNANTS OU DES DENTISTES CHEZ DES ENFANTS, DES FEMMES ET DES HOMMES DE TOUT ÂGE, À L’INSU DE LA POPULATION AMÉRICAINE ! NOUS AVONS AUSSI VU QUE CES PUCES SONT DÉJÀ UTILISÉES AFIN DE TORTURER LES GENS À DISTANCE (pour les preuves concernant tout ceci, se référer à l’article sur : http://www.examiner.com/human-rights-in-national/secretly-forced-brain-implants-explosive-court-case ) ! COMMENT DONOGHUE PEUT-IL ENCORE PARLER « D’USAGE RAISONNABLE » !? Une chose en tout cas transparaît : DONOGHUE EST BEL ET BIEN UN TRANSHUMANISTE ET UN SCIENTIFIQUE QUI A CONSACRÉ (OU VENDU) UNE PARTIE DE SES RECHERCHES AUX APPLICATIONS MILITAIRES DE CE TYPE DE DISPOSITIF. Il REFUSE obstinément de reconnaître certains dangers évidents du BrainGate, et souhaite implanter les gens de manière permanente. Ce type n’est pas net, et je plains les malheureux qui vont passer entre les mains de ce Mengele moderne…

Donoghue se présente comme un scientifique pragmatique et prudent. Peut-être cela provient-il de ses origines modestes de fils d'un père maçon de la classe ouvrière irlandaise de Boston et d’une mère au foyer. Ou d'une carrière scolaire passée presqu’entièrement dans la même institution. Mais il se permet de rêver, juste un peu, de là où la technologie du BrainGate pourrait aller un jour. SON ÉQUIPE TRAVAILLE DÉJÀ SUR UNE VERSION MINIATURISÉE ET SANS FIL. Bien qu'elle n'ait pas encore été implantée dans un être humain, cette nouvelle version du BrainGate supprime la nécessité d'une "prise" dans le crâne et POURRAIT PERMETTRE AUX PATIENTS D'ÊTRE BRANCHÉS EN PERMANENCE. Le prototype ressemble à un gros stick mémoire aplati, et ira à l'intérieur de la tête. Il COMMUNIQUERAIT SANS FIL AVEC UN ORDINATEUR PORTÉ À LA CEINTURE.

Commentaire : les nanotechnologies vont évidemment amener dans leur sillage des puces de plus en plus petites et de plus en plus performantes, avec une mémoire de plus en plus importante. Ceci représente un danger de plus concernant les puces cérébrales, qui sont déjà dangereuses telles qu’elles sont actuellement. Le système sans fil, comme nous le savons, n’est pas dénué de risques pour la santé. Alors que le but avoué est donc bien que les implantés soient branchés en PERMANENCE, nous pouvons nous faire du souci concernant les effets ravageurs de puces sans fil sur la santé… Enfin, les ordinateurs se miniaturisent eux aussi et deviennent de plus en plus puissants. L’ordinateur porté à la ceinture est donc porteur, lui aussi, de nouveaux problèmes…

Donc, il n’est pas étonnant que Donoghue puisse rêver d'un avenir où le BrainGate et d'autres dispositifs pourront restaurer la pleine mobilité de ceux dont le mouvement physique a été volé. « Le traitement vraiment lointain, que je ne verrai jamais, est que nous connections le BrainGate, peut-être quatre puces dans la zone cérébrale des deux jambes et deux dans la zone cérébrale du bras, et que nous les reliions à tous les muscles avec des stimulateurs, et alors le sujet jouera au basket-ball, ou quelque chose de ce genre », dit-il. "Il n'y a AUCUNE RAISON pour laquelle, avec suffisamment de connaissances et de temps, nous ne puissions faire cela."

Commentaire : de même, il n’y a AUCUNE RAISON pour laquelle ces savants-fous arrêteraient leurs recherches infâmes… Si des barrières juridiques, éthiques et sociales ne sont pas dressées contre les expérimentations sur les humains et même sur les animaux, et si les puces implantables ne sont pas rendues illégales et totalement interdites, le futur ressemblera sans doute a celui décrit dans les films de science-fiction les plus pessimistes…

Ce ne sera pas pour bientôt cependant, certainement pas du vivant de Donoghue. "DANS CENT ANS, QUAND LES GENS SE PROMÈNERONT AVEC UN SYSTÈME NERVEUX ARTIFICIEL CONSTITUÉ DE FILS ET DE PUCES, ILS DIRONT : « JE PARIE QU'ILS N'IMAGINAIENT PAS CECI »."

Commentaire : LA PHRASE CI-DESSUS NOUS DÉMONTRE BIEN QUE LES OBJECTIFS SONT TRANSHUMANISTES, ET QUE LE BUT ULTIME DE CES PUCES CÉRÉBRALES EST DE PARVENIR À LA CRÉATION DE « POSTHUMAINS » MACHINISÉS, CYBERNÉTISÉS, DÉSHUMANISÉS ET TOTALEMENT CONTRÔLABLES ET MANIPULABLES ! À CE TITRE, LES PUCES IMPLANTABLES CONSTITUENT UNE DES TECHNOLOGIES TRANSHUMANISTES NAZIES QUI MÈNE TOUT DROIT À LA CRÉATION DU SURHOMME (= Übermensch) SOI-DISANT « AMELIORÉ » PAR LA TECHNOLOGIE ! À nouveau, afin de RASSURER les populations imbéciles et crédules, et afin qu’elles évitent de se réveiller et de RÉAGIR, on fait croire que les applications sont « encore très éloignées »… ce qui, bien sûr, est totalement faux (nous le voyons tous les jours avec l’expansion véritablement foudroyante et avec la « progression » des technologies liberticides et des puces implantables). Malheur aux apathiques et aux crédules !

Une personne qui y pensait, était Bauby. À la fin de The Diving Bell and the Butterfly, il rêve qu’on le laisse un jour sortir de sa prison. "Le cosmos contient-il des clés pour ouvrir ma cloche de plongée ? Une ligne de métro sans terminus ? Une monnaie assez forte que pour racheter ma liberté ? Nous devons continuer à chercher." Bauby est mort avant qu'il y ait beaucoup d'espoir pour cela. D'autres, affligés de la même façon, pourraient être plus chanceux à l'avenir.

Commentaire et conclusion : cet article, qui comporte de nombreux mensonges, présente systématiquement les puces cérébrales sous leurs soi-disant « avantages » et omet délibérément de dénoncer ou de reconnaître certains dangers réels, constitue un cas d’école de désinformation. Face à la volonté conjuguée des savants-fous transhumanistes, des gouvernements félons et des militaires malfaisants, NOUS DEVONS BIEN PRENDRE CONSCIENCE QUE CE TYPE DE TECHNOLOGIE EST DEVELOPPÉ DANS DES BUTS BIEN DIFFÉRENTS ET BIEN PLUS MALÉFIQUES QUE CEUX QUI SONT GÉNÉRALEMENT PUBLIÉS (buts pseudo-médicaux, qui ne constituent qu’un PRÉTEXTE). SI aucune opposition ne surgit contre ces dispositifs hautement liberticides et dangereux à de multiples niveaux, il est désormais absolument certain que les applications néfastes et totalitaires seront bien mises en œuvre ! IL EST PLUS URGENT QUE JAMAIS DE FAIRE INTERDIRE TOTALEMENT CES DANGEREUSES PUCES, ET DE LES RENDRE ILLÉGALES TRÈS VITE, ET SANS EXCEPTION ! Vic.

 

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