Reçu d'un
journaliste Métropolitain
Document
important à faire connaître et suivre son application !
1- Fin avril, le Comité constitutionnel
Espagnol a été saisi d’une demande d’interdiction du coran, présentée par Imram Firasat, réfugié
pakistanais, apostat de l’islam, et auteur du site internet Mundo
sin Islam (un monde sans l’islam) (1).
Et ce qui, pour beaucoup, tient du miracle,
s’est accompli : sa pétition demandant l’interdiction du coran en Espagne
sera examinée par le Comité Constitutionnel Espagnol.
Ci-dessus, en photo d’accroche, la lettre
officielle, datée du 12 avril, et publiée par notre confrère posteveille.ca (2), par laquelle le Président
de la commission des pétitions du Congrès informe Mr Firasat
que sa demande a été acceptée, et qu’elle sera envoyée au Comité
constitutionnel du Congrès.
Voici
les dix arguments de la pétition :
·
Le coran n’est pas un livre sacré religieux
mais un livre violent, débordant de haine et de discriminations.
·
Le coran est un livre horrible qui incite
une communauté appelée « les musulmans » à s’engager dans le djihad,
à tuer des innocents et à détruire la paix dans le monde.
·
Le coran est responsable de tous les actes
terroristes commis ces dernières années dans lesquels des milliers de personnes
ont perdu la vie.
·
Le coran est un livre infâme qui oblige les
croyants à conquérir le monde entier et à imposer un pouvoir absolu coûte que
coûte.
·
Le coran est un livre qui, en toute
légalité, permet et encourage la violence et la haine, ce qui le rend
incompatible avec le monde moderne, Espagne comprise.
·
Le coran est un livre qui établit des
discriminations directes entre les personnes.
·
Le coran est un livre qui n’autorise ni
liberté d’expression ni liberté de religion.
·
Le coran est un livre qui impose des
souffrances et tortures aux femmes par ses prescriptions misogynes et injustes.
· Le coran est un livre qui enseigne les
divisions plutôt que l’unité : les croyants ne sont pas autorisés à créer
des liens d’amitié avec les non musulmans, car le coran les considère comme des
infidèles.
· Le coran est une menace considérable pour
la liberté de la société espagnole. C’est un livre qui prêche clairement le
djihad, le meurtre, la haine, la discrimination et la vengeance. Pour ces raisons
il ne peut en aucune façon être compatible avec le système espagnol. Ce livre
est totalement contraire aux lois et à la Constitution de l’Espagne et il
incite à la haine et à la violence dans notre pays.
2- Le 26 avril, les 27 ministres de
l’intérieur européens, réunis à Luxembourg, ont débattu du phénomène des
terroristes solitaires, et des moyens de renforcer leurs actions, suite aux
tueries de Toulouse et de Montauban perpétrées par le terroriste Mohamed Merah.
Le coordinateur de la lutte anti-terroriste
de l’UE, le Belge Gilles de Kerchove, précise la
dépêche de l’Agence Europe du 27 avril, est venu présenter aux ministres
plusieurs pistes de réflexion.
Depuis 2008, a expliqué le coordinateur, 13
attentats ont été commis par des individus isolés en Europe, la plupart
relevant de l’islam radical et de l’extrême-droite, a indiqué M. de Kerchove. Ce terrorisme de « loups solitaires »
ainsi que le phénomène de radicalisation constituent même aujourd’hui la
« plus grande menace » à la sécurité des pays de l’UE, a dit la
commissaire Cécilia Malmström sur son blog.
L’UE devrait ainsi plancher sur le
renforcement de ses contre-arguments à la propagande d’Al-Qaïda, par exemple.
D’autres actions doivent également être
menées, a poursuivi le coordinateur, notamment la prévention de la
radicalisation dans les prisons en aidant dirigeants d’établissements ou
surveillants à détecter certains comportements.
3- le 16 mai dernier, le Tribunal Fédéral a
porté un coup décisif contre les tentatives d’interdiction de l’islamophobie,
en faisant condamner la ville de Fribourg, en Suisse (3), pour avoir interdit
au Mouvement Suisse contre l’islamisation de tenir un stand dans la ville, en
2009, durant la campagne de votations fédérales sur la loi interdisant les
minarets, stand qui était destiné à avertir le public sur les dangers de
l’Islam.
« Les libertés d’opinion et
d’information ont été violées » a décidé le juge fédéral, cassant la
décision du tribunal cantonal et l’interdiction de la commune.
Il confirme ainsi que la critique de
l’Islam est un droit fondamental de la liberté d’opinion et d’information,
oblige la ville de Fribourg, à verser 2.000 francs d’indemnité au MOSCI à titre
de dépens, mais, si elle s’inquiète pour l’ordre public, à « prendre des
mesures pour prévenir tout risque de heurts, en demandant des forces de police
supplémentaires, ou en exposant pourquoi cela n’était pas possible », de
façon à prendre des « mesures moins incisives pour les libertés d’opinion
et d’information ».
(3) http://www.24heures.ch/suisse/mouvement-suisse-islamisation-censure-tort/story/11040668
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