Ils ont détruit la vie d’une toute jeune
fille et c’est la France qu’ils violaient.
Dans la nuit du 29 au 30 mars dernier, Evry, fief de Manuel Valls, a été
le théâtre de la barbarie anti-française dans toute son horreur.
Alors qu’elle sort du RER, quatre garçons interpellent une jeune fille de
18 ans et la conduisent dans un parc pour la frapper, la violer, lui cracher et
lui uriner dessus… Elle est retrouvée le lendemain matin, immédiatement
conduite à l’hôpital, puis entendue par la police. Ses descriptions et les
caméras de surveillance permettront de retrouver ses bourreaux.
Ils sont mineurs, 13, 15 et 17 ans, étrangers, trois Turcs et un Marocain, et
trois d’entre eux sont récidivistes.
Valeurs actuelles, qui est le seul journal à préciser l’origine de
ces monstres, rapportent leurs aveux : Ils n’auraient pas touché cette
fille si elle avait été turque, ils l’ont agressée parce qu’elle était française, et que « les
Français sont tous des fils de pute ».
Ils sont mis en examen pour viol en réunion, barbarie et racisme.
Pas un mot. Aucune déclaration indignée de ministre, aucune condamnation
des féministes de tout poil, aucune soirée contre la haine, pas de une de
journal, personne au chevet de cette jeune fille… Rien.
Pourtant cette jeune fille est un symbole, son martyre est celui qu’ils
destinent à la France.
Le viol est une technique de soumission en temps de guerre, c’est
exactement celle qu’ils utilisent. Ils haïssent la France, ils lui crachent
dessus, ils en violent les lois, les mœurs, la culture, l’identité… et les
filles.
La France ne répond pas, et ils le savent. Ils sont les premiers à
profiter de décennies entières de conditionnement idéologique pour mater tout
esprit de révolte chez les Français de souche. Des Français tellement
culpabilisés par leurs « élites » qu’ils se taisent de peur de « stigmatiser », de « préjuger » ou d’être accusés de « racisme ». Quand les Français affirment à 75% qu’il y a trop d’immigrés en France,
c’est aussi parce qu’ils connaissent trop bien cette réalité, et parce qu’ils
souffrent…
Les faits sont là, récurrents. Anne-Lorraine assassinée dans un RER,
Jérémie égorgé à Marseille, Antoine poignardé à Paris, des agressions et viols
quotidiens…
Le ministère de l’Intérieur tient une page des personnes recherchées en
France… elle est sans appel, la population carcérale reflète l’évidence…
L’amalgame ou la généralisation, c’est la seule réalité qui s’en trouve
responsable.
Face à cette
barbarie : Christiane Taubira, garde des Sceaux.
Elle a accepté de rester à son poste à une condition : faire passer sa
réforme pénale. Cette réforme qui prévoit de continuer à donner ce sentiment de
toute-puissance et d’impunité à des monstres récidivistes, et qui allègera
encore les peines envers les mineurs…
Ils sont mineurs, c’est vrai, mais c’est une guerre qu’ils déclarent. Le
gouvernement doit répondre. La France doit répondre. Nul n’est forcé d’abriter
sous son toit des fils dangereux et qui le haïssent…
Charlotte d'Ornellas
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