Une ancienne icône gay se convertit à Christ
et
épouse une femme
L'information
est passée inaperçue en France, et pour cause ! Elle ne plaît guère aux
lobbys LGBT qui réclament une tolérance qu'ils sont totalement incapables de
manifester...
Michael
Glatze - véritable icône du milieu gay - s'est marié le 26 octobre 2013 avec
une femme prénommée Rebekah. En 2007, quelques années avant cet heureux
événement, il avait quitté le magazine homosexuel "Young Gay America"
- qu'il avait co-fondé et pour lequel il occupait le poste de Rédacteur-en-Chef
-, en raison de sa conversion au Christianisme. En effet, au grand dam des
lobbys LGBT, Michael Glatze est devenu un « born
again », autrement dit : un chrétien « né
de nouveau », en référence aux paroles du Christ, lors de son rdv avec
Nicodème.
« L’homosexualité, c’est la mort »
C'est
par une « note sur son bureau » qu'il avait démissionné du magazine
en 2007. Sur cette note, on pouvait lire : « l'homosexualité c'est la mort, et je
choisis la vie ». Par la suite, il avait expliqué plus en
détail sa transformation : « Le
‘programme’ homosexuel exclut que quelqu'un puisse simplement penser qu'un
changement d'orientation pourrait être viable. De même, personne ne devrait se
poser la question de l'efficacité éventuelle des thérapies. Ce que j'ai vécu me
permet de dire que la libération de l'influence de ce ‘programme’ homosexuel a
été l'expérience la plus libératrice, la plus belle et la plus étonnante que
j'ai jamais vécue ».
Son
changement et ses déclarations lui ont valu d'être « violemment attaqué par le mouvement
homosexuel ». Et son mariage avec Rebekah a ravivé la haine
des activistes homosexuels. Le déferlement de haine a été si important qu'il a
été contraint, par souci de sécurité, de publier un article sur le site
américain WorldNetDaily pour supplier ses anciens amis de le laisser
tranquille. Dans cet article, il s'est notamment écrié : « S'il vous plaît, respectez ma
décision ! ». Une décision qu'il a longuement détaillée :
« Je crois que
l'homosexualité est un défaut, une erreur, une distorsion... et que l'on peut
en être entièrement restaurée. Je sais que ce point de vue va à l'encontre des
discours politiques populaires de ce monde, et je suis conscient que ce point
de vue me vaut d'être considéré comme 'un fanatique de droite' qui doit juste
être anéanti. (...) Je prie Dieu tous les jours pour ma sécurité. J'aime mon
Dieu. J'aime ma vie. Je souhaite vivre une vie qui honore Dieu. (...) Plutôt
que de vouloir ma mort, je voudrais que vous puissiez envisager la possibilité
que j'ai le droit légitime à la vie et le droit légitime de suivre mon propre
chemin de foi. (...) »
Paul OHLOTT
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