Pierre-Yves, un ouvrier de la Croix, donne, ci-dessous, son témoignage.

Aujourd’hui, 21 février 2000, à l’heure de la Bénédiction de Medjugorje (17 h 40), je me décide à vous parler de la première Croix plantée sur la terre de Saint-Martin, patron de la France et des armées, soldat de César, devenu Soldat de la Paix, Soldat du Christ, mort
d’épuisement à Candes, pour avoir voulu apporter la paix à ses frères religieux du monastère de Candes à la confluence de la Vienne et de la Loire. Les grâces de Saint Martin n’ont certainement pas été étrangères à la Compassion du Seigneur notre Dieu, Maître de l’histoire
des hommes, qui a obtenu la paix à la première guerre mondiale, le 11 novembre, jour de l’apôtre des Gaules.

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FRANCE / Près de TOURS


Notre Saint-Père a bien souligné l’importance de Saint Martin, (dont on a fêté, en 1997 dans l’année du Fils, les 1500 ans de la mort), lorsqu’il a atterri à Tours, centre de son voyage en France. C’était le matin pluvieux du 19 septembre 1996, jour de Notre-Dame de la Salette. J’avais dans ma voiture, ce jour-là, une grande statue de Marie de la rue du Bac, confiée par le sculpteur des statues de Notre-Dame de e... La statue de la Vierge devait trôner sur un grand portique en chêne auquel étaient accrochées trois énormes cloches destinées à l’Eglise du Vietnam ; elles ont sonné à la Messe du Saint-Père célébrée, le 21 septembre 1996 sur la base militaire 703 (non je n’ai pas écrit 738 !) de Saint Symphorien de Tours.
Le 19 septembre, on se souvient, le Saint-Père est parti en hélicoptère pour se recueillir sur le tombeau de Saint Louis Marie Grignon de Montfort, planteur de Croix devant l’Eternel.
Le 20 septembre le Saint-Père était chez la Mère de la Vierge Marie à Saint Anne d’Auray. Le 21 septembre donc à Tours et le 22, pour bien signer le testament du Christ destiné à la France, il s’est rendu à Reims. Que le lecteur comprenne !
Durant l’année 1996, la Sainte Vierge Marie, Notre Dame de France, a préparé dans le coeur broussailleux de sa fille aînée, les chemins aplanis par Sa Grâce annonçant à ses enfant le Retour Glorieux de Son Fils.
Le 13 juillet, le 14 et le 15, nous avions reçu, en Touraine, Notre-Dame d’Orcival (Notre-Dame des Fers, des prisonniers). Nous avons prié, un petit groupe de trois personnes, et Marie, Reine de France, nous a montré à quel point l’Eglise et la France étaient prisonnières de barreaux de fer. A la sortie de la messe, le 14 juillet, l’église était encerclée au sens matériel du mot, par des barrières de fer pour les cérémonies civiles et il a fallu l’autorité de
Notre-Dame d’Orcival, que je portais dans les bras, pour que l’on consentît à m’autoriser le passage des portes de fer. Au politique qui m’exprimait son agacement, je me souviens avoir répondu : «C’est la Mère de Dieu qui veut passer». Les barrières se sont ouvertes.

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